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Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG

Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain.
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 Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]

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Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] Empty
MessageSujet: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeJeu 9 Jan - 22:40

Présentation, Lost ParadiseIzaya Orihara || Durarara !!

Mortimer Adams

Allez-y, vous pouvez tout me dire.

    Surnom(s): Mortem. Connard, enfoiré et j'en passe . . .
    Âge : 25 ans
    Sexe : Masculin
    Nationalité : Français
    Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
    Race : Humain
    Métier : Psychiatre.
    Taille : 1m75
    Poids : 58 kg
    Pourquoi venir au Lost Paradise ? " J'aimerais étudier en paix, éloignez vous. Votre présence est semblable à celle d'un nuisible. "

Autre chose ?
Il y a l'avant et l'après avoir connu M. Adams. C'est le post-mortem.

You look like…

Le diable en velours.



Mortimer est un jeune homme assez grand et maigre. On se demande souvent de quoi il se nourrit car il a souvent le teint blafard et il n'est pas rare de voir des cernes sous ses yeux. Il est du genre à prendre soin de lui mais sans plus.
Toujours habillé à peu près de la même manière vous le reconnaîtrez certainement grâce à son manteau en feutre dont le bas et le col sont ornés de fausse fourrure blanche.
C'est sa petite fantaisie personnelle et à vrai dire, il l'a retrouvé dans les vieilles affaires familiales. Il sort de temps à autres mais ce n'est jamais sans but, aussi vous le verrez plus souvent devant un dossier et ses patients (ce terme peut vous inclure, à peu près tout le monde est sujet de ses expérie- de ses soins).

Son regard est vif et ses yeux d'une lueur étrangement brunie. Virant presque au rouge parfois, mauvais jeu de lumière certainement. Il est difficile de lui soutenir le regard, car ce dernier vous donne souvent l'impression que Mortimer lit en vous comme dans un livre ouvert. Certains de ses airs peuvent vous figer sur place.
Et vous feriez d'ailleurs mieux de vous arrêtez à ce regard. C'est lorsque vous voyez sa langue se délier que vous regrettez d'avoir provoqué ce sourire malin.
Mortimer montre peu ses émotions, où du moins elles sont assez imperceptibles, ce qui vous laisse généralement le temps d'admirer une expression neutre, concentrée et toujours à l'affût de vos moindre faits et gestes.

Ses cheveux lui tombent parfois devant les yeux, mais il sont coupés court, quelque peu en bataille. Noir de jais couvrant partiellement sa nuque, il passe assez inaperçu à travers la foule. Cela dit, la foule ne lui plait pas vraiment, il fait de son mieux pour ne pas se mêler aux autres êtres humains.
M. Adams aime les couleurs sombres et sobres, c'est pourquoi le noir lui va le mieux. On notera toutefois quelques touches de violet ou de rouge quand l'humeur lui prends. Il a toujours sur lui un calepin et un crayon pour prendre des notes ou bien ranger ses idées volantes. On voit souvent le carnet dépasser de sa poche gauche.
De la poche intérieur de sa veste vous verrez souvent une paire de lunettes simple et rectangulaire accrochée par la branche. Il s'en sert peu, mais y est souvent contraint le soir, sa vue fatigue à force de concentration.

Mortimer est un exemple de discrétion. Du moins physiquement, car c'est lorsqu'il ouvre sa bouche que toute l'acidité de sa personne vous ronge. Son attitude est plutôt féline, il prend extrêmement soin de ses affaires et de tout objet en général. C'est comme s'il en identifiait les plus petits détails et les rangeait à son humeur. Plutôt maniaque, il va souvent chercher à enlever la poussière de ses chaussures. Noires, évidemment, en cuir et très souvent entretenues.
En revanche, ces airs perfectionniste cachent un trouble quasi constant, comme si le monde qui l'entoure le dérange. Et vous n'auriez pas tort, vous le dérangez.

Ses doigts fins et habiles vous prouveront qu'il est ambidextre, pourtant il n'écrit que de sa main droite. Sa main gauche servant plus à griffonner de l'inconscient, lorsqu'il se permet des séances personnelles pour vérifier ses théories sur l'inconscient. Dans le même teneur, sa peau à la couleur blanchâtre semble être toute aussi fines que celle de ses mains et son visage. On lui donnerait presque "le bon dieu sans confessions" si on ne lui connaissait pas cette réputation désagréable.
Lorsque l'on évoquait plus haut le fait qu'il ne montre pas ses émotions, Mortimer arbore cependant un étrange panel de maîtrise d'expression. Il est capable de sourire d'un air pur tout en vous rappelant que vous avez le QI d'une mouette.

Enfin, Mortimer est quelqu'un de très .. élastique, lorsqu'il réfléchit il a souvent ce petit réflexe de garder deux ou trois doigts sur sa bouche pour la laisser close le temps de ses réflexions, de ce fait il ne lui reste qu'une main pour aller chercher les dossiers dont il a besoin pour parfaire son cheminement de pensée. Et comme le fauteuil de bureau est plutôt confortable, il va avoir tendance à courber le dos en arrière pour récupérer le dit dossier dans l'étagère derrière, tenant en équilibre sur le fauteuil.
Dans ses meilleures formes, il s'amusera à lancer en l'air son ouvre-lettre et à le rattraper avec ses genoux.

Enfin, son air confiant lui donne souvent une démarche rapide mais entièrement contrôlée. Comme si le monde lui appartenait. Si vous le croisez dans un couloir il n'aura pas besoin d'ouvrir les lèvres pour vous faire comprendre que vous devez vous écarter. Il a cette sorte d'aura qui fait que vous le feriez vous même sans poser de question.
En d'autres termes, si vous ne voulez pas vous sentir mal à l'aise, évitez de le regarder dans les yeux trop longtemps, et gardez vos distances il n'est pas très contact humain, et le haussement de ses épaules et de ses sourcils vous le feront comprendre lorsque vous tenterez de lui serrer la main. Ce genre de cordialités sont réservée aux personnages VIP.



You are…

Je ne suis pas bizarre, je suis juste dérangé, nuance.



Les capacités mentales de Mortimer pourraient être jugées .. autres.
Il a une sorte de passion pour la maîtrise totale de soi même. Entendez par là un complexe certain de supériorité. Quoi que ce complexe soit plus ou moins satisfait autant dans le domaine de son travail que dans ses relations, qui sont moindres soit dit en passant.

Vous l'aurez peut être comprit, Mortimer n'est pas du genre à se faire des amis, ou alors pas sans intérêts. Mais pensez qu'on peut aisément dire que le mot "relation" est bien choisit. Car c'est cela, il n'a que des relations. Il aime se mêler aux autres par sadisme, rien de plus. La plupart du temps il préférera rester seul avec son violon à composer des morceaux étranges et lugubres.
Il a un certain goût pour le spectaculaire oral. Aucune occasion ne sera manqué pour étendre son large vocabulaire devant vous, vous affublant d'un lot conséquent de critiques et observations dites dans la courtoisie la plus formelle mais grinçante.
Adepte de l'ironie et de la joute verbale, il apprécie (même si cela l'agace) trouver un adversaire à sa mesure. Bien que la plupart des êtres humains soient à son goût dénué d'intelligence, il saura remarquer les exceptions et en faire des "compagnons de jeu" si vous voyez ce que je veux dire . . .

Mortimer Adams est un homme capable d'organiser lui même son cerveau, c'est de l'auto-manipulation intellectuelle. Le contrôle de soi est pour lui une nécessité ou alors peut être deviendrait-il fou. Ce qui le sépare de ceux qui y ont succombé est justement sa volonté de fer. Il met en place des sortes de méthode capable d'agir sur son subconscient. Il ne peut par définition pas y accéder, en revanche il peut lui délimiter son espace par le conscient. C'est pour cela qu'une nuit, endormit au bureau à force de travail, on tenta de le réveiller et son subconscient aurait répondu : " Plait-il ?"
Alors qu'un malheureux avait prit son courage à deux mains pour tenter de lui tapoter l'épaule à fin de le faire réagir.
Mortimer su également grâce à son oreille indiscrète qu'il aurait par la suite répondu à la personne qui avait tenté de le réveiller de s'asseoir sur la chaise devant son bureau et de lui expliquer sa présence. Après quoi, le dit subconscient aurait congédié " cet inutile humain dont l'activité nocturne est douteuse ".


Il oublie rarement les détails de sa journée et même ceux dont il ne prête pas "attention". En réalité sa concentration est passive. Il ne le fait pas exprès il est juste comme ça. Le jeune Adams retient tout, range tout, étudie tout et observe tout. Les pensées de cet être étrange iront de la couleur de votre cravate à ce que vous pouvez penser à l'instant même.
Avant de vous dire ce qui va suivre, sachez que Mortimer ne souffre pas de complexe de double personnalité ou de perte de la réalité aussi appelée schizophrénie (la double personnalité découlant souvent de ce problème mental et y faisant souvent amalgame pour les non-initiés).
 Mortimer est souvent en simulation constante et situationnelle. Il s'invente, s'exerce et teste souvent des dialogues dans sa propre tête avec lui même. Pouvant conclure parfois à des monologues interprétés à haute voix.

En fait, le plus grand "problème" de Mortimer (car il ne considère pas cela comme en étant un) c'est qu'il ne sait pas calmer ses pensées, et qu'il ne sait pas non plus mentir. Il va souvent vous dire la vérité, aussi tranchante soit elle. Mais il vous dira aussi tout ce que vous ne voulez pas entendre (cela fait d'ailleurs partie de ses méthodes de soins. Il s'agit de faire ressortir du refoulé et de l'inconscient les choses que vous savez déjà mais refusez d'admettre). En revanche il s'amusera souvent sur la forme de ses phrases pour laisser ou non une libre interprétation parfois confuse. Mortimer Adams aura d'ailleurs déjà pensé à ce que vous en auriez pensé et ajuste ses répliques en conséquence de votre avancée.

Rapide d'esprit, ne lui échappe que les choses attachées aux sentiments.
Non, ce n'est pas non plus un psychopathe. Rappelons ici qu'un psychopathe est une personne comme vous et moi, à ceci près que ce sont des personnes dénuées d'émotions. Malgré les apparences, Mortimer a des émotions, il n'en fait simplement pas part. Ou alors c'est que vous avez réussit à le prendre sur le fait.
Chose rare, notez l'instant.

Le petit plaisir malin de notre psychiatre est de déjouer la déontologie médicale en révélant les petits ragots de ses patients. Des moeurs étranges et décalées, jusqu'à vos plus profondes et honteuses pensées, Mortimer prendra plaisir à raconter et exposer tout cela à ces relations. Et fort malheureusement pour vous, son oreille la plus avertie est le chef d'édition du Dandy. Doublez votre karma par deux, car il est rare que vous ne lui racontiez pas tout, ou à défaut le devine, quand vous prenez une séance avec lui.
Mais alors comment fait il pour avoir et garder ses patients ?

Manipulation ? Il en serait capable mais il n'y a aucun challenge, aucune récompense intellectuelle à cela dans cette situation pour lui. Non, la raison pour laquelle vous y allez encore (et on parle bien de raison et non de folie) c'est parce qu'il est simplement le meilleur en son domaine. Rappelez vous, la population humaine entière est sujette à ses expériences. Faire tourner en bourrique les simples d'esprits est un passe-temps. Mais soigner les ténèbres de votre conscience est son devoir. Et Mortimer n'est ni du genre à lâcher prise, ni à s'avouer vaincu.

Il laissera aux humains leur désirs irréels. Sa motivation à lui est de trouver ce qui a causé la folie de son père et de la soigner. C'est d'ailleurs pour cela qu'il est devenu psychiatre, mais je m'égare.
L'amour n'est pas quelque chose dont il se nourrit, à vrai dire il se considère marier à son travail et à ses recherches sur l'esprit humain. Mesdames quand bien même il parviendrait à vous trouver joli sans rien à redire sur vos petites habitudes qu'il déduirait, cet homme n'est pas fait pour la vie conjugale.

Bref, Mortimer a tout du sociopathe assumé. Les lois sont des choses écrites pour l'homme, mais comme il ne se considère pas comme appartenant à ces méprisables créatures il n'en comprends pas vraiment leur portée. Bien sûr qu'il ne tuera personne, c'est logique de ne pas le faire en son sens.
Concrètement il n'éprouve pas de remords ni de peur, de la surprise à la grande limite.






Once upon a time…

Liens de causalités



La majeure partie de son enfance, Mortimer a apprit à se maîtriser et à contrôler l'être qu'il est maintenant devenu.
Les parents de Mortimer l'aimaient comme on pouvait aimer un enfant, mais ils avaient très vite senti qu'il avait quelque chose qui .. clochait ou du moins qui était différent des autres. En effet, le jeune Adams était pour ainsi dire précoce et sa rapidité d'esprit n'avait d'égal que son effrayant tempérament à l'expérience morbide.

C'est lorsque les parents de Mortimer l'emmenèrent voir ce qui peut s'apparenter aujourd'hui à un pédiatre qu'il prit conscience que ce n'était pas "normal". En effet notre petite tête de mule ne s'était pas imaginé un seul instant qu'il pouvait être "anormal" que les autres n'étaient pas comme lui. Qu'il pensait d'une certaine manière mieux que les autres.
Comme on l'a dit il avait une conscience dès son plus jeune âge (vers ses 4-5 ans) de la vie et surtout de la mort. Aussi les expériences sur les petits animaux ne manquèrent pas. Il n'a jamais quitté Paris sauf peut être pour voir sa tante qui habitait non loin de la bretagne. Autant vous dire que les voyages étaient peu fréquents et les réunions de familles difficilement annuelles.

Cette rencontre chez le psychologue se solda par un échec. Dès que le jeune enfant entra dans la pièce, seul, il comprit qu'une personne était là pour l'épier, l'étudier et possiblement le changer.
Tout bêtement, l'enfant trouva cela injuste et entreprit avec un grand effort de concentration à ne pas révéler son lui intérieur. Il imita les autres enfants (dont il ne comprenait pas vraiment la légèreté) et tenta tant bien que mal de parler comme eux. Il avait en effet déjà un certain vocabulaire pour un enfant de son âge, et il comprit que la manière de s'exprimer avec le monde extérieur était la clé pour qu'on le laisse tranquille.

Il n'avait pas peur qu'on le reconnaisse comme il l'était, mais il avait peur que ce soit la cause d'ennuis. Quoi qu'il en soit la séance fut fort silencieuse et les rares réponses qu'il donnait se tenait à des "oui monsieur", "non monsieur" et à des mouvements nerveux de vas et viens de ses pieds au dessus du vide. La chaise était trop haute.


Mortimer avait l'air d'un garçon dissipé, toujours la tête dans les nuage, plongé dans ses questions sans réponses. Mais pourtant il n'avait aucune difficultés à comprendre et à appliquer. Il apprenait passivement et s'ennuyait souvent en classe, entouré de tous ces gamins, à suivre le cours d'un adulte qui répétait 100 fois la même chose d'une manière différente.
Dès qu'il le pouvait, il allait voler un livre de la bibliothèque de son père. Certaines histoires étaient passionnantes d'autres l'ennuyaient fermement. Mais c'était à peu près la seule activité intéressante à faire.
Parfois il explorait le dehors, quand il en avait l'autorisation parentale et le chaperon qui allait avec.

Ce chaperon, c'était ni plus ni moins que leur voisine. Une mère elle aussi qui sortait souvent en promenade avec son fils. Par un certain arrangement, Mortimer participait aux ballades. Il s'amusait à poser 1001 questions et à manipuler son 'ami'. Ensemble il faisait le plus de bêtises possibles, et cela ne s'est certes pas soldé sans coups de martinets. Mais peu importait à Mortimer de ressentir de la douleur physique, il ne regrettait jamais ses choix, c'était pour la science ! Et aussi pour tronquer l'ennui.

C'est lorsque le début de l'adolescence, et donc du rapprochement social, se faisait sentir que Mortimer commença à s'attirer des ennuis un peu plus grands.
Outre les corrections de son père, il se vit souvent au centre des bagarres due à sa langue acide et bien pendue. C'est simple, il ne voyait pas où était le mal dans ses propos. Et c'est peut être là à la fois son mal et son atout ; Mortimer Adams a un certain mal avec les valeurs humaines.
Après tout c'est quoi le bien ou le mal ? Une classification de principes moraux édictés par d'autres êtres humains aux valeurs morales dispersées jugeant du conforme et du non conforme.
Autant dire que pour Mortimer, cela ne valait pas le coup d'y faire foi. En revanche il fit toujours attention à surveiller ce qui était socialement admit de ce qui ne l'était pas pour lui permettre de faire ce qu'il voulait tout en attirant pas de soupçons sur lui.

Le tout, était de survivre dans un milieu hostile sans se cacher (ce soucis de vérité, en même temps il ne se reproche rien) tout en faisant en sorte que cela passe socialement. Parfois même juste à la limite, tant que cela passait, c'était acceptable.

Et puis, ce qui devait arriver arriva. Il est de notoriété publique que le père Adams sombra dans une sorte hystérie noire et étrange et qu'on finit par le faire interné. C'était inattendu et bien trop soudain pour Mortimer pour que ce dernier comprennent réellement ce qui s'était passé.

Tout ce qu'il sait, c'est que c'est à la suite de la lecture d'une lettre que son père avait céder à la folie. Ce dernier était déjà assez paranoïaque, mais cela s'était aggravé avec le temps jusqu'au jour où la barrière fut dépassée.
___________________________________________________________________


Mortimer était assit et recroquevillé dans le fauteuil du salon, à lire un livre sur la construction de l'empire romain. Sa mère s'occupait du dîner tandis que le père Adams faisait les 100 pas devant la table de travail, visiblement soucieux d'un quelconque ennui.
Cela faisait plusieurs jours qu'il avait des sueurs froides mais perosnne ne pouvait dire pourquoi et visiblement lui non plus n'était pas clair quant à son ressentit. Quoi qu'il en soit ce 'petit problème' était caché à Mortimer. Cela dit l'enfant n'était pas aveugle et voyait bien que son père était en trouble. Mais il n'était pas à la première crise de panique humaine, et comme chaque crise, Mortimer penserait que cela passerait. De plus sa parole n'avait pas de valeur auprès de son père, qui considérait que son enfant ne serait digne de sa parole qu'une fois adulte. Vous avez là l'image à peu près concrète de la relation père/fils entretenue.

Le jeune Adams avait sentit comme une rupture dans les mouvements de son père. Lorsqu'il leva ses yeux brunis, presque rouges, de son livre il aperçut une expression qu'il n'avait jamais identifié sur le visage de son père. C'était de la peur à l'état pur. Le soir tombait sur la ville et le père de Mortimer regardait en direction de la fenêtre. Les lueurs livides des lampadaires de la rue donnait un aspect encore plus effrayant à la scène. Les yeux exorbités de son père lui glacèrent le sang, tandis que les tremblements qu'il avait identifier sur les mains de son père montrait qu'il n'arrivait pas à contenir son choc. Il y avait visiblement quelque chose de louche, et Mortimer se pencha sur son fauteuil en tendant le cou et baissant le livre pour tenter de voir à travers la fenêtre.

Au départ, l'adolescent ne remarqua rien, puis, entre deux souffle haletant de son père, il aperçut un simple corbeaux appuyé sur le rebord de la fenêtre. Nous étions au deuxième étage jusque là rien d'anormal à ce qu'un oiseau vienne se poser sur votre fenêtre. Mais il y avait quelque chose d'autre, ce corbeau était tout à fait étrange, il tenait en son bec une lettre qui paraissait extrêmement raffinée. Scellée par de la cire rouge, le jeune Adams n'en reconnu pas le symbole alors qu'il passait en revu dans un coin de sa tête tous les symboles qu'il avait rencontrés dans sa vie. Ceci se fit naturellement mais il fut étonné de ne pas trouver de références.

Son père commença à avancer fébrile vers la fenêtre et Mortimer eut l'audace de l'interrompre. Il sentait qu'il y avait trop de choses étranges et une trop haute tension pour que cela soit considéré comme un stress quotidien.

- Papa est-ce qu- "
- SILENCE MORTIMER !!

La peur de son père le rendait violent et Mortimer fut coupé dans son élan. Il y eut ce moment, comme suspendu au bout d'un fil, ou vous avez l'impression que tout passe au ralenti alors que vous vous apprêtez à vous jetez dans le vide.
La mère de Mortimer fut alerté par cette voix inhabituellement haute. Elle n'avait pourtant pas entendu Mortimer proférer de remarques désobligeantes . . . Lorsqu'elle sortit de l'autre pièce son mari leva la paume vers elle pour lui faire signe de reculer. Dans un silence trop lourd il ouvrit la fenêtre et tendit la main vers la lettre du corbeau. Ses doigts tremblaient mais il n'eut pas à se saisir de la lettre car le corbeau semblait presque l'y déposer.

Le père Adams faillit échapper la lettre par stupeur lorsque le corbeau ouvrit ses ailes pour s'envoler au loin. Dans la précipitation, le père de Mortimer rattrapa lettre qui était en train de tomber, le souffle presque coupé sa vie semblait tenir à cette lettre.
Il donna l'impression presque de se jeter par la fenêtre et la mère tout autant que le fils étaient en train d'accourir à la rescousse.
Mais il s'arrêtèrent net lorsque le mari se releva et se retourna, l'expression de la mort collée au visage. Ses yeux semblaient perdus dans le vide, la bouche entrouverte et le papier de la lettre dépliée dans la main, Mortimer vit pour la première fois une larme sur la joue de son père.
Tandis que sa mère eut comme un haut le coeur elle s'écria :

" Mais enfin que se passe t il ?! Gorges dis moi ! "

Il y eut d'abord un silence inexplicable, durant lequel Mortimer s'approcha de sa mère pour en prendre la défense, il avait un mauvais pressentiment. Puis ce fut le saut au dessus de la barrière. ... Non rassurez vous, le père n'a pas sauté par la fenêtre ! Il est simplement allé de l'autre côté de la raison, là où il y a ce no man's land de bon sens.
Il hurla de tout son être, la lettre à présent froissée dans sa main droite. La tête vers le plafond, c'était le cri du désespoir. On y sentait à la fois une haine et une perdition telle que personne n'aurait pu le retenir. Il se jeta sur sa femme et son fils les bousculant violemment au sol tout en criant et gueulant des inepties incompréhensibles sur l'autre monde et des êtres malsains.

Sous le choc, Mortimer ne réalisa pas tout de suite que son père était devenu complètement fou et commençait à tout jeter par terre. Sa mère essaya de l'ne empêcher mais elle eut pour réponse un violent coup dans la tempe qui la projeta une nouvelle fois au sol, cette fois ci avec du sang comme amortisseur. Les yeux ébahis de son fils croisèrent celui du père, Mortimer sentit comme une rage immense emparer son père. Il ne mit pas longtemps à comprendre que c'était son tour et que s'il ne faisait rien il y passerait certainement aussi.

Sa mère était au sol et visiblement inconsciente et il était actuellement entouré du fauteuil, du livre qu'il avait toujours dans sa main et du tapis qui faisait office de moquette. C'était déjà un bazar mais Mortimer du se défendre, qui sait combien de temps la crise de panique ou de folie de son père pouvait durer. Et qui en pâtirait ?  
Ni une ni deux, Mortimer se saisit du tapis et tira violemment vers lui à fin de faire choir son père. Sans réfléchir il brandi la tranche de son livre vers le haut pour l'abattre aussi fort que possible sur la tête de son père. Ce dernier rugit de douleur, visiblement sonné il avait du mal à se relever. Prit de surprise, Mortimer ne réfléchissait que dans l'instant présent aussi il pensa d'abord à neutraliser son père coûte que coûte. Pour la première fois il craignait vraiment pour sa vie. Bien sûr bon nombre avaient proférés des menaces à son égard mais encore jamais il n'avait sentit la mort approcher.
Seulement il la sentait, elle était quelque part dans cette pièce et habitait son père !

Mortimer eut un éclair de bon sens et commença à s'époumoner pour alerter le voisinage. Il se saisit de la lettre froissée de son père et la cacha dans la poche arrière de son pantalon avant de sonner l'alarme :

" AU SECOURS !! S'IL VOUS PLAIT ARRÊTEZ LE !! "

Pour gagner du temps, Mortimer enjamba la pièce et s'accrocha à la poignée de la porte d'entrée pour l'ouvrir. Mais dans la précipitation ce n'est pas si simple. Il entendait son père se relever péniblement de l'autre côté de la pièce et il craignait pour la suite des événements maintenant qu'il avait osé le frapper. Par chance quelqu'un entre en trombe au moment où Mortimer était parvenu à déverrouiller la porte. Il tomba à la renverse et c'était le traumatisme crânien en trop il perdit connaissance pendant environ 20 minutes.

A son réveil 6 personnes plus ou moins familières étaient présentes pour contrôler son père et le calmer alors qu'il proférait menaces injures et propos absurdes ; tandis qu'une autre appelait du combiné de la maison les services policiers.

___________________________________________________________________


La suite vous la connaissez, du moins en partie. La famille des Adams qui avait un avenir plutôt aisé tomba en disgrâce. On soupçonna pendant un temps la méchanceté et la violence de Mortimer Adams, mais la folie de son père était telle que la version du jeune homme était plus plausible que les racontars.
Mortimer su aussi que sa mère avait succombé à l'incident plus tard à l'hôpital, visiblement victime d'un fêlure sur le côté droit de son crâne. Le coup de poing à la tempe avait du lui être fatal et le plancher n'avait pas été tendre avec l'autre partie de son crâne non plus.

Le choc fut tel que Mortimer eut du mal à se remémorer l'ordre des événements. Il ne savait plus dire si son père avait d'abord tué sa mère puis vu le corbeau ou l'inverse, ou peut être les deux ...
Quoi qu'il en soit, il avait gardé la lettre et revoir les deux mots qui y figuraient lui remettait toujours les souvenirs dans l'ordre.
Article Quatre.
Il garde précieusement cette pièce à conviction chez lui dans un tiroir fermé sous clé à présent. Mais l'idée de découvrir l'origine de la folie de son père ainsi que de la soigner ne l'a jamais quitté depuis. Il aimait son père. Pas vraiment de la manière la plus chaleureuse mais en tous cas il ne lui voulait aucun mal. La mort de sa mère était un accident, il se le répétait souvent comme un rituel. Le tueur c'est la folie, pas son père.

Dans le malheur de Mortimer, ce dernier eut la chance d'être un jeune débrouillard et il finit par trouver arrangement avec sa tante qui lui versait un certain dividende, tandis qu'il en gagnait ailleurs en travaillant quelque fois de nuit à l'imprimerie. Il s'était trouvé une chambre de bonne qu'il a habité le temps de ses études, seul.
La bibliothèque était devenu sa deuxième maison, il lui arrivait parfois de tromper la surveillance et d'y dormir dans un vieux coin où les livres prenaient poussière en réserve. Il n'avait de cesse de chercher ce dit article 4 sans jamais le trouver, tout comme il passait le plus clair de son temps dans ses études en médecine. Seule voie d'accès alors aux études psychologiques.

Il se souvient avoir côtoyé quelques étudiants, isolés et lui servant la plupart du temps d'oreilles aux détails croustillants qu'il avait remarqué chez un tel, ou de martyr de son acidité. Mortimer passait le plus clair de son temps à jouer avec un esprit qu'il appréciait un peu plus que les misérables autres êtres humains qui peuplaient cette planète. Axel, dont il déplorait le trop grand coeur fragile en médecine, était un être assez amusant quand il n'était pas ... désespérant.
A l'époque il avait rencontré cette personne par hasard au gré d'un couloir suivit d'une séance de pratique.
Sa tendance à être désagréable avait rebuté sa nouvelle relation, mais cette dernière resta plus ou moins dans la sphère de ses contacts humains jusqu'à la fin de ses études.

L'obtention haut la main de ses diplômes permirent à Mortimer de continuer dans sa volonté de trouver remède aux maladies et hystéries mentales.
Ses études l'ont toutefois convaincu que ceux jugés "fous" n'étaient en fait que des malheureux trop différents. Ce qu'il fallait c'était réussir à formater les trop simple d'esprit, et peut être, peut être trouverait il la perle rare, un être sensé qui ne sait pas comment se contrôler pour qu'on le laisse tranquille autour.

Et il semble qu'au fil de son ascension dans le domaine de la psychiatrie, Mr Adams trouva enfin cette perle, voire même deux. La première était le gérant du Lost Paradise, qu'il avait rencontré très succinctement mais avec qui il gardait un contact plus ou moins régulier se comptant en mois d'écart entre chaque rencontres ; tant leur discussion les agaçait. Mais chacun y trouvait des intérêts : L'un obtenait des renseignements sur le travail et les pathologies que Mortimer étudiait et traitait. L'autre s'amusait avec un esprit à la hauteur du sien, ce qui avait pour vertu d'agacer le jeune psychiatre tout en reconnaissant en son interlocuteur une certaine forme de grandeur, qui lui fit porter un certain respect. Chose que Mortimer place peu en les êtres humains.

L'autre perle, c'était Alice Lindel. L'une des pauvres patientes qui n'avaient rien à faire dans son bureau, mais qui y était contraintes par ses parents. Déléguant leur responsabilité au détriment de Mortimer Adams. En effet leur séances tiennent à peu de choses, généralement il prends un malin plaisir à la couper dans ses réflexions et à sans cesse la tester dans son contrôle de soi. Comme s'il lui apprenait par maïeutique comment se servir et découvrir ses capacités intellectuelles enfouies. Enfin, il doit surtout ressembler à un jeune connard à qui tout réussit et qui n'a aucune conscience de ce que peut être la vie d'une jeune femme, pour cause c'est un homme. Cependant, il garde un oeil amusé à son sujet.

Dès qu'il obtenu le grade de chef du service psychiatrique de la salpêtrière, Mortimer fit rapatrié son père, qui avait été enfermé vers Orléans, mit exprès le plus loin possible de sa famille. Ce qui le rendait nécessairement plus ou moins fous, dépendamment des points de vues.
Mortimer avait du mal à venir voir son père, d'autant plus que ce dernier l'ignorait presque désormais ou ne le reconnaissait qu'à moitié. Le jeune Adams avait tout tenté, drogues, hypnoses, tests divers de réactions à des symboles . . . Mais rien ! RIEN !
Rien de concret ou de sensé ne sortait de la bouche de son père. Il semblait s'être enfermé dans un mutisme quand au motif de sa crise ou même du contenu de la lettre. Un jour, Mortimer tenta le diable et ramena la lettre devant les yeux de son père. Ce dernier entra dans une rage folle et il fallut ré-enfermer le patient en lui administrant au passage quelques calmants. Le père de Mortimer était ce qui l'agaçait le plus mais pour lequel aussi Mortimer se donnait tout ce mal. Il ne supporte pas l'échec et, il le savait, parviendrait un jour à soutirer du cerveau dérangé de son père la vérité.

Pour passer le temps Mortimer vient raconter les anecdotes croustillantes de ses patients à ce qui ressemble le plus à un ami, Gaspard Durnay, accessoirement chef du journal Le Dandy. Il avait eut à faire à lui plusieurs fois pour régler les problèmes de presses dus à certains de ses patients connus pour être entre autres incurable ou dangereux. Autant vous dire que le petit rire malsain de Mortimer s'élève souvent dans les airs en présence de cet homme. Bien qu'il le trouve un rien ... humain et donc déplaisant.  

Au fur et à mesure des séances, Mortimer trouvait des liens entre certaines histoires de ses patients. Certains étaient convaincus de côtoyer des êtres surnaturels.
Il avait beaucoup rit après la séance d'une de ses patientes qui était persuadée d'avoir été mordue par un vampire au cours de ses ébats avec ce dernier. Elle lui avait raconté, et Mortimer l'y avait aidé, tous les détails de leur rencontre flambante. Ce fut l'une des histoire les plus drôles à raconter à Gaspard.

Cependant, les séances de ce genre ce multipliaient, et ce qui était considéré comme des hallucinations et ou des mensonges/inventions de ses patients commencèrent à lui trotter dans la tête.
Mortimer n'oubliait jamais que les fous étaient seulement pour la plupart des êtres incompris, ou qui avait une manière trop différentes des autres de ranger leur petite caboche. Une séance avec un patient visiblement dérouté lui restait en mémoire car il était persuadé que son patient lui disait la vérité. Il disait en avoir vu, pour sûr, au Lost Paradise.

L'endroit avait une forte réputation, mais Mortimer entreprit quelques fois de faire ses "études" non loin de là, seulement il évitait d'y aller trop souvent pour éviter de recroiser Mr. White avec qui, on l'a vu plus haut, il entretenait une relation plutôt tendue. Tout ce qu'il vit, c'était des artistes, des humains jouer aux fous, jouer avec leur désirs et rêves et bon nombre de maniaquo-dépressifs sur la voie de l'oubli.
C'est le lendemain en revanche, que deux hommes étranges prirent séance avec lui alors qu'il travaillait sur certains dossiers à signer pour autorisation de sortie ou non. Le nombre de ses rendez-vous étaient tels qu'il avait du mal à ne pas les renvoyer sur le champ.
___________________________________________________________________

Penché sur ses paperasses, en train d'écrire une longue lettre de recommandation à un autre établissement pour l'un de ses infirmiers ;

-comprenez ici qu'il essaye de se débarrasser d'un infirmier qui a la fâcheuse tendance à donner des pics de stress à ses patients les plus retords-

Deux hommes entrèrent dans son bureau. On avait bien tenté de les arrêter à en juger par les légers signes de mises en garde comme : "c'est vous qui voyez" "je serais vous, je prendrais rendez - vous, c'est déjà assez difficile comme ça" et la meilleure pour la fin, dans l'art d'avoir raison au féminin ; "Je vous l'aurais dit."

La porte s'ouvrit sur sa droite, la double porte pour être exact. La première étant une porte simple, suivit d'une porte avec des sortes de coussins en cuir dessus pour confiner le bruit au maximum, système ingénieux pour garder le secret médical . . . Bien qu'il ne soit pas d'une grande utilité avec Mortimer.
Tout d'abord Mortimer leva les yeux et identifia les malheureux qui allait déguster de son agacement journalier.
L'un était assez grand et visiblement cadre. A en juger par l'état impeccable de ses chaussures il était du genre à travailler en espace clos, tandis que les dossiers dépassant de sa besace trahissait certainement un métier juridique. L'autre avait plus l'air d'être un accompagnateur, voire même d'un stagiaire en formation.

Il ne savait pour qui on le prenait, mais il n'était pas d'humeur à servir de cobaye pour un apprentissage. Plusieurs situations tournèrent rapidement dans sa tête pendant qu'il eut la gentillesse de les accueillir :

" Je vous en pries, asseyez vous sur les fauteuils qui ne vous sont pas destinés avec les crayons et papiers qui ne vous serviront pas à vous sortir de la frustration dans laquelle vous allez vous installer ici, au milieu de mes dossiers ...
Dois-je aussi rappeler à votre supérieur que, non, je ne signerais pas l'entrée en mon établissement de mademoiselle Perrine Amoridi ; qui est, soit dit-en passant, simplement victime de son génie créatif incompris ? "


Il avait rapidement conclu, et ce pour une fois à tort, que ces hommes étaient l'avocat et son stagiaire venu défendre le cas de la jeune femme annoncée.
Aucune réponse ou manifestation de mécontentement ce qui irrita encore un peu plus la patience du jeune Adams.

- Monsieur Mortimer Adams ?

L'intéressé haussa un sourcil.

- Votre déficit intellectuel vous empêche-t-il à ce point de lire le nom à ma porte ? A laquelle vous avez oublié de frapper d'ailleurs . . .

Mortem (le surnom qu'avait donné le personnel de l'établissement à leur chef) entreprit d'ouvrir une enveloppe empilé avec d'autres sur son bureau. Comme pour témoigner du peu d'intérêt qu'il leur portait, tout en déchirant méchamment la dite enveloppe de son ouvre lettre.

" *soupir* Non, mais cela pourrait être votre secrétaire ... Quoi qu'il en soit nous sommes ici car nous avons remarqué que vous portez un certain intérêt aux ... faits sociaux étranges... "

- J'ai une tête à faire du social ? Dit-il en ajustant son regard au dessus des verres de ses lunettes, Bon, hormis mon travail y consistant pour les lacunes de mes patients en ce domaine ?

- M'bon, écoutez, vous comme moi ne voulons pas que cet entretien dure longtemps. Donc écoutez moi bien. En ver- "

- Ha ! Et bien si vous voulez me confier vos lacunes il fallait le dire plus tôt. Allez voir ma gestionnaire au deuxième étage troisième porte à droite, elle vous donnera un rendez-vous avec l'un de mes psychiatres. Je suis bien trop occupé à rejeter de mon bureau des gens comme vous. "

Mortimer faisait exprès de ne pas comprendre, rien que pour agacer celui qui avait osé entrer en son bureau sans sa permission. Son assistant ou stagiaire avait visiblement l'air effaré par le manque de civisme de Mr Adams. On ne lui avait pas envoyé n'importe qui, aussi, bien que des signes de nervosités étaient présents, l'homme garda son calme. Il serra néanmoins les orteils dans ses chaussures, chose que Mortem remarqua d'un vif coup d'oeil. Ce qui lui arracha un sourire narquois, alors qu'il faisait mine de retourner à son travail tout en montrant de son bras gauche la porte de sortie.

- Et bien qu'attendez-vous ? Sortez, votre indécision m’horripile."

- Deux mots monsieur Adams : Article Quatre."

Mortem se figea. Ces mots le surprirent et vous vous doutez certainement pourquoi. On pu s'apercevoir qu'un milliers d'informations avaient dansé la polka en l'espace d'une fraction de seconde dans un creux de sa conscience. Mortimer posa soigneusement son stylo en parallèle de sa feuille. Puis, comme s'il venait de recevoir un plateau remplit de caramel salé (l'une des rares choses qu'il aime) ; il regarda droit dans les yeux son interlocuteur, le sourire aux lèvres. Cette phrase l'avait refroidit, mais il était excité à l'idée que la vérité sur la folie étrange qui avait frappé son père était là devant ses yeux.

Son sourire était assez discret, mais suffisamment retenu pour que l'on puisse voir dans les yeux de Mortem un pic de curiosité. Il n'avait maintenant plus aucune envie de faire sortir ces messieurs.

- Ho ... C'est ainsi. Bien, qu'avez vous à me dire ?"

- Voyez vous Monsieur Adams, nous avons récemment remarqué votre-euh .. Petite lubie pour les phénomènes inexpliqués. Et vous commencez certainement à en faire des déductions qui pourrait compromettre plus de gens que vous ne pourriez le penser, dont vous."

Que savez-vous de ce que je peux bien penser ?"

Mortimer tenta le bluff, il était sur le point d'apprendre quelque chose d'assez intéressant, mais s'il pouvait en soutirer davantage en leur faisant croire qu'il en sait plus, ce serait d'une pierre deux coups.

- Et bien, que vous le gardiez en pensées à la limite ne nous dérange pas. Mais nous connaissons vos manies sur le secret professionnel. Aussi nous sommes venus vous avertir que ces créatures ne sont pas toutes clémentes envers le genre humain. "

Mortem eut un petit frisson en bas des hanches. Imperceptible à l'oeil, mais on avait piqué son intérêt à vif. Alors c'est bien ce qu'il pensait. Toutes ces petites histoires qui se ressemblaient n'était pas que le signe d'une pathologie, il y avait autre chose. Et la séance d'hypnose sur Mr J. Harnier avait révélé des choses plutôt intéressantes. Le subconscient ne ment pas, et il est très dur de le faire mentir, ou à défaut de le convaincre d'un fait qu'on sait faux consciemment.

- Dans ce cas là on va avoir des choses en commun, je n'aime pas non plus le genre humain. "

- Comment pouvez vous être sûr que l'un de vos patients est humain ? ... Sachez à l'avenir que si la couverture de l'une de ces créatures devait être dévoilée, vous seriez interné pour folie. Faites bien attention à la manière dont vous déliez votre langue monsieur Adams. "

Mortimer lâcha un petit rire sinistre. L'homme qui se trouvait en face de lui essayait de le prendre au jeu. Bien que le fait de penser un instant que l'un de ses patient pouvait être autre chose qu'un humain coupa son rire assez brièvement.

- Ne vous en faites pas, ma langue ne dévoile jamais le motif de l'internement d'un de mes patients.
Si vous voulez bien m'excuser maintenant, j'ai du travail qui m'attends. Mon oreille est attentive, mais ma patience connait ses limites. "


Le jeune psychiatre se leva de son fauteuil et ouvrit la porte de son bureau en leur faisant un geste aimable (oui VRAIMENT) pour les inviter à sortir. Les deux hommes se levèrent et avant de partir l'homme ajouta :

- J'espère que vous comprenez votre situation. "

- Bien entendu, ainsi que vous la vôtre." Fit-il en insistant de son bras la voie de la sortie.

- bien "

Les deux hommes sortirent et le jeune Adams prit grand soin de claquer la porte derrière eux. C'est en voyant les hommes de dos qu'il s'aperçu que sur le coin inférieur droit de leur veste se trouvait cet étrange symbole dont il n'avait jamais pu répertorier la référence. Il eut un sourire jaune et se rassit sur son bureau.

Le résultats des comptes était stimulant. Quelle magnifique journée !
Ainsi donc il se trouvait dans la situation ironique où il était lui même rouage de cette machine qui consiste à interner les gens dits fous dont son propre père. Mais en plus il avait là une information extrêmement importante sur la situations de certains de ses patients. Des créatures non-humaines se cachaient dans ce monde ci. Et une sorte de ... d'institution veillait au bon déroulement de la masquarade.

* Désolé Gaspard, celle ci, je la garde. *

Mortimer était comme un enfant devant un nouveau jouet, il  ne pouvait s'empêcher de sourire et de lancer son ouvre lettre en l'air par satisfaction. C'était si motivant, il fallait qu'il fasse un tour à la bibliothèque pour voir si des livres ne parlaient pas de ce genre de ... d'anomalies ?
Il y avait bien des livres écrit par ce genre de créatures si elle se cachait parmi les êtres humains non ?

Lui même devait en écrire dans le cadre de son travail et de ses recherches cela devait bien se trouver . . .  Autant chercher une aiguille dans une botte de foin, mais Mortem ne lâcherai pas un aussi beau caramel.

___________________________________________________________________





Sous le masque

IL VAUT MIEUX MOURIR EN CAPSLOCK que vivre en minuscules.


    Surnom(s) : Roxy, hika, la folle mais appelez moi dieu, entre nous soyons simples.

    Âge : 21 ans

    Expérience en RP : ça fait longtemps que j'en fait mais les fautes de frappes sont un fléaut !

    Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : z'être cools. j'ai pas pour habitude d'aller sur les forums types réalistes. Mais là c'est bien goupillé *.*
    Comment avez vous connu le forum ? FACEBOOK ET OUI ! Je ne sais plus quel contact a partagé ce lien à un autre de ses contact, ça s'est affiché le nom m'a plu ça avait l'air intéressant et . . . . ben voilà.

    Avez vous lu le règlement ? Dévoré par un loup gourmand


Dernière édition par Mortimer Adams le Jeu 9 Jan - 23:08, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeJeu 9 Jan - 22:50

Bienvenue ! \o

Je pense que ce contact, c'était moi parce que je suis genre la seule personne ici à partager le lien sur FB (enfin, je crois XD)
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeJeu 9 Jan - 23:38

Izayaaaaaaaaaaaa ! o/ *sbaff*

Sur cette entrée très subtile, soit le bienvenue sur le fofo. J'espère que tu te plairas parmi nous x3

*Caty met son lapin en peluche à 2cm du visage de Mortimer*

Caty: Lui, c'est Alphonse. C'est mon meilleur ami *^* Allez dit bonjour au nouveau membre, Alphonse !
Al: Non, ça me tente pas ! ><
Caty: Alphonse èé Continue comme ça et tu vas te faire jeter contre le mur.
Al: J'en ai rien à faire, face de cupcake ! èé
Caty: *jete le lapin contre le mur et le boude*

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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeJeu 9 Jan - 23:51

Bienvenue parmi nous ! ♥
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 0:29

O_O Ouah ! Ton histoire est... SUBLIME. Je suis fan (pas au point de t'appeler Dieu faut pas déconner non plus, hein 8D) mais je dis bravo. Les répliques et les passages rps m'ont fait rêver. J'adore comment Mortem casse les gens, quelle magnifique réparti !

En tout cas je te dis bienvenue et je suis contente d'avoir attendu sagement (car oui j'avais vu ton inscription et je trépignais de voir qui serait la personne qui incarnerait ce psychologue chercheur de merde professionnel XD)

Ps: Toi aussi tu as comme surnom Hika ? Bienvenu au club ♥! /o/
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 0:49

Nathanaël >> Merci ! ^^ Ben c'est bien possible, je me souviens plus de QUI l'a partagé sur le mur d'une autre amie TT du coup . . .

Cait >> Tiens, une nouvelle patiente <3 Enfin deux si on compte la . . . peluche.

Alice >> Merci ! ^^ Demain 18h30 n'oublies pas notre séance, j'aurais encore aucune quesiton à te poser .. MOUAHAHAHAHA
Blagues à part merci beaucoup à tous de cet accueil ça fait plaisir vraiment ^^

Le forum est vivant, il est en vie, EN VIIIIIIE !

Valentine >> merci beaucoup ! ^^ ça fait plaisir de faire plaisir ! XD
Dans mon test rp j'avais fait un truc soft, mais du coup je voulais un peu plus explorer ça, c'est ce qui fait le charme de ce perso *.*
Désolée pour le temps que j'ai mit, il a fallu se synchroniser avec notre cher White, qui a d'ailleurs été très à l'écoute je l'en remercies. Et j'ai apssé la journée entière à écouter des morceaux et me renseigner sur pas mal de choses pour écrire le tout. Normalement y'a pas d'incohérences avec le background >< mais sait on jamais >.>

Yup, hikaru sur un forum de air gear, mais j'y suis plus trop active fort malheureusement.



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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 15:40

Non au contraire tu dois être le premier perso a mentionner les règles de la Curia. Comme personnellement j'étais inscrite avant les rajouts sur la Curia, ma pauvre journaliste est également dans le caca niveau fréquentation avec les Legendaires, surtout qu'elle adore écrire des trucs là dessus et découvrir la vraie nature des personnes qu'elle croise. Mais heureusement, elle assume pleinement et a toujours eu cette mentalité donc pour le moment elle ne semble pas si folle que ça, juste trop imaginative XD.

Hikaru me vient personnellement d'un forum de samurai deeper kyo. Ça remonte à loin et ce pauvre fofo est mort, mort et remort. Mais j'ai depuis garder ce pseudo, Horace peut le confirmer XD.

*arrête de raconter sa life et fait une petite courbette* En tout cas encore bravo ♥
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 18:03

Ben, il sait pas ce que c'est en fait XD il sait jsute que ça a un rapport avec les problèmes d'hystéries et l'autre monde après il est pas plus avancé >.>
Ha tiens ça pourrait être marrant les rp Valentine et Mortimer ... Hey tu connais pas les nouvelles ? 8D Y'a un de mes patients qui pensent que sous la bastille y'a des tonneaux remplit de verts luisants 8D Il en dort plus la nuit MOUHAHAH

HUM HUM HUM bref, je vais arrêter de flood et attendre patiemment les retours du staff XD
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 20:56

Bienvenue Morty /o/

Eh bien, tu n'as pas idée du nombre d'heureux que tu peux faire en prenant ce pv ! Très bon choix ! ^^

Ta fiche est claire, nette et précise, que demande le peuple ?
Tu as beau être un peu fâchée avec certains accords de verbe, tu as réussi le tour de force de donner vie à ce personnage qu'on te pardonne volontiers. D'autant -qu'entre nous- compte tenu de son longueur c'est un exploit qu'il y ait si peu de fautes, j'avais rarement vu ça sur un forum rpg. Bravo à toi ^^

Puisque tu as déjà tout vu avec Ed, je ne peux que plussoier les autres : on sent que tu as de la bouteille et on le vit bien !

J'ai hâte de te lire à nouveau sur le forum en tous cas  cheers 



Edward White
l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS l
Edward White

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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 21:23

Mortimer

Et me voilà o/

Bon je préviens tout de suite que la place de Dieu est déjà prise par mon humble personne, alors il faudra que tu trouves autre chose pour affirmer ta supériorité mon p"tit ~

Mais je ne vais pas te faire languir d'avantage !
Passons immédiatement au décorticage de ta fiche /o/

La description physique est assez simple, mais elle se lit bien et j'aime beaucoup les petites libertés que tu as prises sur certains détails comme le fait qu'il soit ambidextre, on son jeu - potentiellement crétin - du jet de couteau à lettre.
Ça correspond tout à fait au personnage et ça me fait plaisir de voir que tu es assez à l'aise avec lui pour ne pas craindre l'ajout de ce type d'info.

La partie sur le mentale est toute aussi rondement menée, et plus fouillée.
Tu es vraiment aller au fond des choses en lui donnant parfois un petit côté Sherlock Holmes tout à fait séduisant, comme le fait qu'il réussisse à organiser son cerveau ou son goût pour le « spectaculaire oral ».
Et même s'il conserve ce côté détestable qu'on affectionne tant, les dernières lignes tendent à le rendre plus humain, prisonnier de sa propre rigueur de vie et confiné dans son carcan médical où il sait qu'il excelle.
Tu as réussi à te l'approprier et à le rendre plus intéressant encore en poussant ses vices jusqu'au bout, et ça j'aime !

L'histoire maintenant.
J'avoue que je ne m'attendais absolument pas à ça ! J'ai été très agréablement surpris.
Le début m'a tout d'abord laissé un peu sceptique, mais finalement je me suis fait piéger par ton histoire que j'ai lue avec délice.
L'idée du corbeau et du message était vraiment bien trouvée – pour ne pas dire géniale, ménageons tes chevilles – et la suite s'enchaîne à merveille. C'est bien raconté, même si j'ai, peut-être, été un peu perplexe devant la mort de Mme Adams. Sans oublier que les dialogues sont parfaits !
Je ne vois pas de soucis au niveau de l'intervention des hommes de la Curia, ils auraient peut-être été plus subtils dans leur déclaration, mais ça n'a rien de gênant. Tu as réutilisé les liens des prédéfinis juste comme il faut, et conservé toutes les données du prédéfini pour en faire un personnage très travaillé et des plus dignes d'intérêt.
Je te félicite pour l'excellente adaptation que tu as fait de Mortimer, nul doute qu'il était fait pour toi !

Maintenant, je ne te cache pas que j'ai retrouvé plusieurs fautes d'orthographe (surtout de participes passés ou des "s"), mais ce qui m'a le plus dérangé dans ma lecture c'est le manque de virgules à certains endroits. Pas que tes phrases soient longues, mais certainement moins évidentes à comprendre. Il y a aussi quelques répétitions qui coupent un peu le rythme de lecture, principalement dans le passage un peu avant la réception de la lettre où on retrouve « son père » assez souvent, mais rien de dramatique ! xD
Je te mets quelques exemples de fautes relevées dans l'histoire, tu peux t'amuser à faire une dernière correction si tu veux ~ :

Mortimer a écrit:
    […] tout en n'attirant pas […]
    […] son père avait cédé à la folie.
    Mortimer était assis […]
    Sa mère essaya de l'en empêcher […]
    […] à qui tout réussi […]
    Ce fut l'une des histoires […]


Bref je me tais – enfin – /o/ (Un jour j'arrêterai d'écrire des pavés pour répondre aux fiches.)

Je t'annonce avec une immense joie que tu es VALIDÉ !!
Je vais immédiatement t'ajouter au groupe des civils et indiquer le prédéfini comme pris o/

Je te laisse suivre les indications suivantes pour terminer ton inscription et te lancer dans les RPs.

Bienvenue au
Lost Paradise

Il faut maintenant…
Faire ta demande de rang ici.
Pour les relations, c'est par .
Pour une demande de RP c'est ici.
Pour suivre l'intrigue c'est !

Et bon RP parmi nous !
https://lostparadise.forumgratuit.org
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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitimeVen 10 Jan - 21:35

Et bien merci beaucoup ! ^^
Je vais faire tout ça !

Niveau problèmes de faute avec le participe passé c'est vrai que dans l'action je ne fait pas vraiment gaffe, et j'aime mettre des "s" partout *.*
J'essaierais de faire gaffe au souffle dans mes phrases, c'est là qu'il y a le plus de travail TT__TT merci encore pour ces conseils, et ravie que la lecture ait été plaisante ! ^^

Au niveau de la mère je pensais soit la faire partir en couvent, soit la tuer XD le coup sur la tempe c'est déjà arrivé dans des faits divers donc j'ai reprit ... Mais c'est vrai que c'est pas forcément amené de manière crédible. Je peux changer le détail au pire ^^

Merci DIEU XD
le délire de dieu np personne m'appelle comme ça hein XD
Merci encore ! ^^

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MessageSujet: Re: Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe]   Mortimer Adams [Allez voir un PSYchiatre pas un PSYchopathe] I_icon_minitime

 

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