Impro autour d'une exposition de poubelles !
Victimes de l'aventure : Fred, Nessy, Rita et Ed.

[18:54:10 10/03/2018]  *Edward White bâille pour la 34e fois et avise d'un mauvais œil la 3e statue de « poubelle » devant laquelle ils viennent de passer.* Tuez moi par pitié… *Il jette un coup d'œil aux environ, à la recherche d'alliés pour pallier à l'ennui mortel de l'exposition où le Conte Préchiprécha les a invités kidnappé.*

[18:55:41 10/03/2018] *Narcisse Williams ne sait honnêtement pas ce qu'il fout là. Honnêtement. Errant dans les allées de l'exposition, il tente de faire une sortie discrète de l'enfer d'incompréhension dans lequel il vient de pénétrer. Manque de bol, au lieu de trouver une porte, il tombe nez-à-nez avec un masque terrifiant. Un hoquet de surprise plus tard, il est rentré en collision avec...*  P-patron, désolé...

[18:57:56 10/03/2018]  *Frédéric Lenoir se redresse de son analyse détaillée de la Poubelle numéro 12 bis A, derrière Ed* Avec plaisir Patron mais 'a pas beaucoup de cordes dans l'coi-- Salut Narcisse.

[19:00:07 10/03/2018]  *Edward White salue sa rencontre avec Narcisse comme un signe du destin et l'attrape par les épaules, hurlant bien plus fort qu'il devrait* OH MON DIEU WILLIAMS VOUS VOUS SENTEZ MAL ?! *Il le secoue un peu histoire d'être sûr qu'il se sente mal et cherche l'appui de Fred* Frédéric, vous êtes d'accord avec moi il est EXTRÈMEMENT pâle ? N'est-ce pas ? N'est-ce pas ? *Vous sentez la détresse ?*

[19:02:18 10/03/2018] *Narcisse Williams sursaute lorsque son patron hurle, persuadé d'être dispu...* H-hein ? *Pas le temps de comprendre, il est secoué comme un prunier. Est-ce un nouveau type de punition ? Si c'est le cas, elle est un peu cruelle, pour son sens de l'équilibre en tout cas. Car à la fin de la performance de son patron, le jeune acrobate chancelle un peu.* J-je... Pardon ?

[19:04:02 10/03/2018]  *Frédéric Lenoir sursaute aussi, pensant qu'on l'a surpris en train de tâter une fausse arrête dans la poubelle 18*  Hein ? euh...  *observe Narcy d'un oeil expert* Bah main'tnant qu'vous l'dites... on dirait qu'y va vomir, un peu..

[20:06:18] * Edward White se décale et indique très clairement Nessy de ses mains* C'est terrible comme il chancelle !! Nous devons intervenir mon cher Frédéric ! Tenez bon Williams ! Tenez bon ! *Il fait à peine un pas vers la sortie qu'un des visiteurs s'avance.* Attendez ! Je suis médecin ! *Horreur sur le visage d'Edward*

[20:08:09] * Narcisse Williams lance un regard dérouté vers son patron, puis horrifié vers le médecin. Si on se rend compte qu'il va très bien... Non, non non non. On ne doit pas le prendre pour un menteur. Il s'agrippe brusquement au bras de son patron.* J-je me sens... *Il fait mine de s'évanouir.*

[20:11:49] * Frédéric Lenoir prend la mesure de la situation. D'un côté la perspective d'étudier la poubelle n° 69 avec sa nouveauté, la décoration en fausses mauvaises herbes à son pied... de l'autre une fuite. Son choix est fait, il s'interpose donc* AH ! mais m'sieu---- Cher confrère, je vous reumercieuh de votre aideuh, mais ce ne sera pas nécess- utile. J'le connais c'est mon collè-- mon client-- mon PATIENT habituel. Merci* Pousse tout ce beau monde vers la porte* Mercimerci à la r'voyure j'moccupe de tout !

[20:18:50] * Edward White soulève Narcisse, prêt à tout pour quitter les lieux et appuie le nouveau statu de Fred, en ajoutant un peu, au cas où.* Docteur Lenoir pensez vous que ça puisse être contagieux ?! Je me sens un peu faible à mon tour malgré ma constitution solide. Je déconseillerai à toute personne de nous approcher de trop prêt ou même de nous retenir ! *Mais le comte Préchiprécha s'emmêle* Je vais ouvrir une salle pour l'installer et avertir les urgences ! *Panique d'Edward.* NON !

[20:21:26] * Narcisse Williams pousse un hoquet de surprise lorsque son patron le soulève et tente bêtement de maquiller ça en quinte de toux. Il reste inerte outre cela, faisant mine toutefois d’aggraver sa quinte de toux pour leur permettre de se tirer de là. Il a terriblement peur de ce qui arrivera si on se rend compte qu'ils mentent.*

[20:26:22] * Frédéric Lenoir se dit qu'il faut quelqu'un qui puisse garder son sang froid dans cette situation inespérée, repère une porte à portée de main* PAs de panique messieurs. * Désigne Ed d'un mouvement de main assez mou* M'sieur White, respirez un grand coup avec votre poum--pulmono--... avec votre cage expiratoire, en rythme un grand coup ! Monsieur Fréchiproucha, nous réquisitionnons cette pièce* Pousse tout le monde à l'aveuglette dans la pièce, ressort la tête avant de fermer la porte * Qu'on ne nous dérange pas, jd'ois analysiostiquer ces mèssieurs* Ferme la porte... sur la pièce renfermant les œuvres de l'Abbesse Marie-de-la-fourchettière, dite "plus fantasque artiste de France"

[20:31:46] * Edward White se dépêche de passer dans la pièce voisine* Ô Docteur Lenoir, votre… Altruisme est à l'égal de votre dévouement ! Je ne saurais vous remercier suffisamment pour- *La porte se referme derrière eux. Il repose Narcisse en profitant qu'ils sont seuls et se penche vers eux.* Messieurs. Mission "tout le monde dehors". Videz moi cette pièce et trouvez moi une sortie. Même un conduit d'aération trop petit. N'importe quoi ! *Il se mord la lèvre, s'étant un peu emballé sur la fin et entend de l'autre côté de la porte.* Tout va bien ? Je vais faire chercher les secours ! Tenez bon !

[20:33:48] * Narcisse Williams manque de tomber dans l'empressement de son patron puis prend une inspiration en levant un doigt, désireux de préciser qu'un conduit trop petit ne fera passer aucun d'entre eux. Puis il referme la bouche et écarquille les yeux.* Monsieur, nous sommes au milieu du musée, la seule voie de secours est le plafond et les secours arrivent !!! *Oui, clairement, il panique. Mais il se rend bien vite compte que de la lumière plane sur eux depuis le dessus. Une baie vitrée. Il la regarde comme la sainte providence*

[20:36:01] * Frédéric Lenoir aime bien son personnage* mais de rien, mais de rien mon bon môssieur *hausse un sourcil* Patron j'savais pas qu'des fausses poubelles vous f'raient c't'effet. Z'étaient même pas parfumées... * suit le regard de Narcy* Ah là moi j'veux bien faire l'clown tant qu'vous voulez mais ché pas encore voler...

[20:42:12] * Edward White lève les yeux vers le plafond. Seule échappatoire ? Challenge accepté.* On passe par là-haut. Mes excuses Abbesse-de-la-cuillère, nous réquisitionnons vos œuvres. Cas d'extrême urgence, tout ça tout ça. *Et c'est parti pour la colonne de la mort. Edward empile les œuvres de manière plus ou moins bancale sous une petite lucarne de manière à pouvoir y accéder.* Narcisse ! Vous êtes le plus agile. Montez voir si c'est ouvert. Si vous tombez Frédéric ou moi, on vous rattrapera. Et si c'est fermé défoncez moi cette p… vitre.

[20:47:42] * Narcisse Williams regarde vers le haut, puis hoche la tête.* Ca ne vous dérange pas si je piétine des statues ? *Lui-même est un peu incertain, et il analyse sa pente.* Vous êtes sûrs ?

[20:48:36] * Frédéric Lenoir aide Ed avec sa pile puis s'éloigne pour admirer l'oeuvre massive* Bah dis-toi que ça s'ra p'têt' plus beau après qu'avant.

[20:52:41] * Edward White n'entends pas Fred, est resté bloqué à l'hésitation de Narcisse. Il inspire très, très profondément avant de planter son regard dans celui du dragon.* J'en suis sûr. J'ai même arraché un bras-jambe-nez, enfin un morceau de ce morse-zèbre-hippocampe pour stabiliser le tout alors Narcisse, s'il vous plait. Montez. Sur. Ces. Statues.

[20:55:41] * Narcisse Williams hoche la tête, peu sûr de lui, puis entreprend de grimper sur une gigantesque statue représentant un... euh... truc. Quelques bouts de plâtre s'effondre mais il parvient à teeeeendre la main vers la fenêtre.* J-j... Gnnnn...

[21:02:38] * Frédéric Lenoir tend les bras ) plusieurs reprises au cas où narcy tombe, pensant à Morgan plus d'une fois, * Narcy elle peut s'ouvrir la fenêtre ? * voit qu'il galère, jette un oeil à Eddy * J'pourrais l'exploser mais...* entend derrière la porte des voix inquiètes * Messieurs, comment allez vous ? Pouvons-nous entrer ?

[21:06:56] * Edward White regarde Narcisse s'acharner sur la vitre les yeux brillants d'espoir. Puis de doutes.* Bon sang mais vous avez laissé vos muscles au Lost ? On dirait Ziggy ! Descendez de l– *Il entend les les derrière la porte et murmure à Fred* Explosez la. *Plus fort en repoussant quelques œuvres restantes pour bloquer la porte.* Non n'entrez pas ! C'est plus grave que ce que le docteur Lenoir pensait ! Il est en pleine chirurgie à cœur ouvert ! Un courant d'air serait tragique pour le pauvre Williams ! *Il fait du bruit avec un mobile de fourchettes* Oui docteur ! Voilà le scalpel ! Olala ! Quelle éprouvante opération !

[21:12:07] * Narcisse Williams tend la main, crispant sa mâchoire sous les remarques de son patron.* Je fais ce que je peux... *Finalement, il parvient à s'agripper à un rebord.* OUI ! *Il fait silence lors de l'annonce de l'opération... à quoi ?! MAIS COMMENT VONT-ILS EXPLIQUER CA ! Comme si ce n'était pas suffisant... la statue s'effondre. Intégralement. Dans un fracas assourdissant.*

[21:12:38] * Rita Upset pop d'un pot de géranium géant, ballonné par les hormones et les chaussettes qui pendent à ses fleurs teintes en rouge. Se réveillant d'une sieste bien méritée après avoir échappé de justesse à l'arrivage de gens distingués, elle observe maintenant ces trois beaux gentlemans en se retenant à peine de pouffer.* Que crois-je voir? Trois hurluberlus en panique? M'enfin, la chirurgie requiert patience et délicatesse mes chers ! *se lève et renverse le pot en même temps que la colonne s'effondre, puis parle plus fort pour nos chers sieurs et dames de l'autre côté de la porte* Ah, je crois que c'était son fémur !

[21:17:13] * Frédéric Lenoir , occupé à s'étonner de l'apparition soudaine de Rita, est prispar surprise par l'éboulement et se retrouve écrabouillé sous un éléphant-phoque en tissus-cuir-guitare et lâche un "Maïeuh !" sonore. coincé à terre il contemple le plafond et s'exclame *PATRON ! Il est pendu au plafond !

[21:22:57] * Edward White regarde Rita sans s'attarder sur le « d'où elle sort » car il vient de remarquer derrière feu la plante, une porte. Il s'étrangle.* Sérieusement ? *Puis c'est le drame, la statue s'effondre, Fred et piégé, Edward le dégage à moitié avant d'entendre l'indication concernant Narcisse. Les gens s'excitent derrière la porte* M. White ! J'ai des doutes quant aux capacités du Docteur Lenoir, ouvrez s'il vous plaît ! *Edward demande à Rita d'aider Fred pendant qu'il hurle.* N'insistez pas Comte ! Je dirais même… Laissez tomber ! *Indication à l'adresse de Nessy pour qu'il se lâche, tandis qu'Ed est prêt à le rattraper.*

[21:25:33] * Narcisse Williams lance un long regard outré vers la porte qui vient d'apparaître. Sérieusement ? Sérieusement ? Il soupire avant de hocher la tête à l'intention de son patron, notant l'arrivée de Rita en refusant d'être étonné. Il lâche, aérien, tentant de rendre sa position adéquate pour ne pas lui faire mal.*

[21:29:06] * Rita Upset suit le regard d'Eddy, se retourne avec en levant un sourcil "Ben quoi, vous croyiez que je suis entrée comment moi?" Elle fronce le nez à la demande d'Edward, parce qu'évidemment, c'est à la naine de 1m40 qu'on demande de dégager l'éléphant-phoque géant du corps du pauvre frédéric qui a quand même réussi à obtenir la pire des malchances de la journée. Enfin, Narcisse était une belle compétition, tenant en ce moment plus du cochon pendu que du funambule. Donc elle s'approche du malchanceux en titre, place ses petites mimines sous la trompe-museau et tire modérément* "Sauf vouloir te vexer, humpf, le mioche, il serait de bon ton de pousser. Genre, vers le haut?"

[21:32:41] * Frédéric Lenoir reprend ses esprits d'un coup au son d'une voix féminine le traitant de "mioche". * PARDON ?! * fait valser l'éléphant-phoque et toutes les oeuvres qui trainaient autour dans une violente poussée de magie. Les objets se retrouvent encastrés dans le plafond. Frédéric se relève* Le Mioche, naméoh pour qui el' s'prend la microbe ?!* Dans son énervement il bouscule Eddy, en marchant vers la porte et... se retrouve écrabouillé sous Narcy*

[21:36:44] * Edward White récupère Nessy comme s'il s'agissait d'une plume et le repose par terre.* C'était bien joué quand même, mais on reparlera de ce problème de force. *Il s'écarte pile quand Fred s'emmêle les pieds, mais n'a pas le temps de le rattraper. Finalement il ramasse ses deux artistes et les remet sur pied d'un geste en hurlant.* Mon dieu que se passe-t-il docteur ! Les œuvres de l'Abbesse de la spatule ont une étrange influence on dirait qu'elles… SDZFGOZERJQOFD. *Il met un grand coup de pied dans la première boule de métal à proximité (un lama-pédonculé-hypermétrope d'après la légende) et ouvre la porte, ajoutant plus bas.* Tout le monde dehors et fissa.

[21:40:20] * Narcisse Williams hoche la tête en baissant les yeux, un peu penaud tout de même.* Désolé, patr- *Patatra, comme on dit. Il se sent encore plus honteux quand son patron le redresse à nouveau et s'exécute en vitesse, se glissant dans le couloir avec agilité et aisance. Ce qu'il y trouve le fige toutefois.* Euuuuuh... P-Patron ? *Le chemin est absolument encombré de toutes les oeuvres recalées. TOUTES.*

[21:46:39] * Rita Upset se fait souffler par le flux magique jusqu'au plafond, mais réussit à choper au passage une cape faite dans la peau et la soie d'un pingouin-asticot albanais, et descend telle mary poppins jusqu'au sol. L'agitation se faisant bien trop intense, Rita glisse tranquillement entre les jambes des trois messieurs, emmitouflée dans sa peau. Elle qui était si petite, ce n'était guère compliquée de trouver les interstices entre les bizarreries en tout genre. Mais ayant distancié ses copains de 3 mètres, elle se retourne, soupire, grimpe sur le cygne en verre fusé, dans un élan de force incroyable, prend appui contre le mur et pousse de ses pieds la sculpture clinquante. Elle tombe et se fracasse, débarrassant un premier obstacle, bien que les bouts de verre jonchent maintenant le chemin* Voilà. Soyez pas trop douillets et ça passera.*

[21:50:00] * Frédéric Lenoir observe le couloir, la fenêtre, le couloir, la fenêtre, la porte...* Dites... sinon on peut s'tenter une sortie d'genre urgence médicale, doit y'avoir d'quoi faire une civière dans tout c'fatras...?

[21:57:00] * Edward White est prêt à creuser le mur pour quitter les lieux s'il le faut. Les gens sont de plus en plus à hurler et s'angoisser derrière la porte, alors il abrège la bonne idée de Fred.* Pas le temps. On verra une fois de l'autre côté. *Il pousse Fred dans le passage, se pliant en quatre pour se faufiler entre tout ce foutoir.* Allez messieurs c'est votre vie qui est en jeu, on se bouge. Et n'ayez pas peur d'écraser une ou deux de ces m— AH ! Mais c'est quoi cette horreur ?! *Son petit cœur est encore tout paniqué par l'œuvre qu'il vient de croiser (une sorte de loup noir au yeux dorés, vraiment d'un mauvais goût). Derrière eux la porte craque. Pas le choix. Il referme la porte du corridor derrière eux, les plongeant dans le noir. Lui il voit, mais les autres ?*

[22:01:13] * Narcisse Williams suivait les pas de Rita avec agilité, fluide et léger dans chacun de ses mouvements. A la proposition de Fred, il adresse un regard horrifié à son patron. Il ne peut retenir un soupir de soulagement lorsque celui-ci décline la proposition, et avance. Soudain, le noir total. Il ne sent littéralement que ses compagnons. Quatre présenc-... Quatres ?! En plus de lui.* E-e-euh... *Il trébuche sur une oeuvre et manque de s'affaler par terre. Un fracas retentit. Ouch...* N-nous avons de la compagnie je crois...

[22:06:01] * Rita Upset mène le pas, glissant sous jambes d'un pélican de 2m en rafiat et les malles en cuivre forgé, écoutant à peine ses compagnons, jusqu'à ce que la voix peu assurée de Narcisse lui arrive aux oreilles.* "Haaa, Narcy choupet, la seule compagnie qu'on peut avoir ici, ce sont les rats. Remarque, ils sont assez gros pour qu- *Retournant son regard vers l'avant, juste après la marmotte-iguane empaillée, elle perçoit une nouvelle lueur dans le conduit. Nul doute, il y a quelqu'un devant eux* "Hé ! On a pris ce tunnel avant vous !"

[22:12:38] * Frédéric Lenoir se retrouve donc contre son gré dans un tunnel noir, avec des bouts de verre au sol et des trucs entassés partout. Il tâtonne, avance à peine, puis sa main se pose sur un truc poilu, type crin de cheval, avec un bout arrondi au bout d'une perche. Bon bah tant qu'à faire, il y fout le feu pour s'en faire une torche. C'est alors qu'un cri horriiiiible retentit* HIAAAAAAAAAAAAYYYYYYY Ma permanennnnnnnnnte !* C'est la tête réduire aux cheveux en flammes qu'il tient en main qui hurle. Par réflexe, comme il a peur, il se met en rogne et crie plus fort * OH TOI LA MOMIE ON T'A PAS CAUSÉ !

[22:23:50] * Edward White fronce le nez parce que ça empeste le cochon grillé séculaire maintenant. Il va pour râler à son tour, histoire de faire moins de bruit, mais s'arrête, à moitié coincé entre un flamant-outang et un Kangou-blond.* Enguerrand ? *La petite tête s'agite de plus belle.* White ?! C'est toi qui flingue mon rendez-vous chez le coiffeur ? *Edward parvient tant bien que mal à se faufiler jusqu'à Fred et étouffe les flammes.* Désolé on savait pas. *Il donne une autre morceau de bois à Fred pour s'éclairer tandis que le nouveau venu râle* Ça m'a coûté une blinde en plus ! *Le loup réfléchit rapidement et tente.* Ça te va beaucoup mieux les cheveux courts, je t'assure. *Le commentaire semble faire mouche et Enguerrand se lance dans un récit de sa vie chez le coiffeur tandis qu'on râle devant* Vous pouvez arrêter de marcher sur ma manche ?! *La tête réduite pouffe, tandis qu'Ed demande, d'une voix sans joie.* Ramsès ?

[22:27:45] * Narcisse Williams regarde la scène se passer, les yeux écarquillés et la bouche en o. Il n'ose pas vraiment demander qui sont ces gens, mais le coeur y est. Au lieu de ça il s'avance, agile, au coeur des débris, euh, oeuvres d'art. Plus vite ils trouveront une sortie...

[22:31:36] * Rita Upset se statufie, un air plus renfrogné qu'un homme ours porc sur le visage. Deux morts vivants dans la même journée et à moins de trois mètres d'elle, c'est vraiment une sale journée. Elle est presque tentée d'envoyer le testicule fossilisé de vouivre à ses pieds sur le machin momifié, mais sa main s'agrippe plutôt à la manche de Narcisse* "Si je suis dans ce fumier, alors toi mon cochon, tu vas plonger avec moi.

[22:36:47] * Frédéric Lenoir tente de calmer son coeur charivari-vant en allumant diligemment la planche en bois qu'on lui tend* Ah bah pardon m'sieur Enguerrand, enchanté.* s' "enchante" aussi auprès de Monsieur Ramsès où qu'il soit, tente donc de le trouver, avance en écrasant tout ce qui passe avec grâce et délicatesse pour éclairer une vraie momie pour le coup. Dieu ce qu'elle est moche* Patron j'crois plutôt qu'c'est "Mamzelle Ramsèsse" pour le coup... euh... Rita s'tu pouvais arrêter d'avancer, ton pied est pris dans ses bandages et euhm...* s'adressant à la demoiselle 3 fois millénaire* Bah pardon m'dame mais du coup si vous saviez la sortie.... * Non il n'est pas blanc comme un linge du tout, c'est la lumière qui fait ça !!!*

[22:48:40] * Edward White a détruit une bonne partie des « œuvres » en essayant de se faufiler entre ces dernières. Il apporte gentiment Enguerrand à Ramsèsse qui n'a visiblement aucun problème de pudeur. Ses bandages tombent un peu plus quand elle s'intéresse de prêt à Fred et Nessy (elle est un peu myope en bonus).* J'ai le droit à un petit quelque chose si je vous le dit ? ~ *Le cou d'un dauphin-girafe se brise sous la poigne d'Edward qui presse le pas. Il attrape ses artistes par les épaules et les pousses au devant. La sortie doit bien être au bout de ce foutoire de toute façon.* On ne voulait pas déranger. Au plaisir de se revoir hein. Byyyye ! *Il les pousse toujours un peu plus, tandis que Ramsèsse s'attriste de leur départ* Oh ! Mais vous pourriez au moins dire au revoir à mes bébés ! *Edward se crispe (désolé pour les épaules des deux garçon)* Non, non on aura pas le temps pour ç– *Il se fige en sentant quelque chose sur son épaule. Ramsèsse reprend.* Dis bonjour à Jeanine. *Un scorpion momifié s'agite, tout content, tandis que ses potes se ramènent pour les présentations. Edward ne perd pas de temps cette fois.* Dehors ! Vite !

[22:55:13] * Narcisse Williams sent qu'il y a un gros problème lorsque la grande main de son supérieur se resserre sur son épaule. Il ne rechigne aucunement à avancer, pressant même l'allure afin de leur faire gagner du temps à tous. Le ton de Ramsèsse ne lui plaît pas le moins du monde, et... La vision d'un énorme dard devant son nez lui arrache un sursaut ainsi qu'un hoquet terrorisé. Il se penche, se redresse, esquive des attaques, enjambant les horreurs qu'on prend pour des oeuvres d'art et se ruant sur une porte... Porte emmurée. Un juron lui échappe.* Mettez-vous derrière moi. S'il vous plaît. *Il va faire cramer tout ce bazar.*

[23:07:42] * Rita Upset ne se fait pas prier pour avancer. Elle profite même pour se faufiler au plus loin vers la porte-mur, rejoignant un Narcisse qui se met à gonfler le ventre.* "Narcisse, tu permets, avant de nous enfumer? * Elle s'avance vers les briques, se décale d'un pas vers le côté et disparait dans le mur. Puis, elle réapparait, l'air le plus innocemment niais. Il s'agissait d'un effet d'optique ingénieux, un couloir donnant vers la sortie cachée dans le cadre de la porte.*

[23:12:50] * Frédéric Lenoir suit comme après un "Gyiiarh Patron !" quand son épaule se fait broyer, puis abandonne sa veste quand il la découvre couverte de scorpion. * Ouais bravo Miss mais Narcisse si tu peux quand même y aller just' pour êt' sûûûûHUAhûûûr * avant de disparaitre par l'issue il lance à la cantonade * Coiffeur gratuit tout l'monde ! * pour faire bonne mesure il lance un sort autour d'eux tous pour éviter qu'ils crâment avec, on sait jamais*

[23:25:15] * Edward White s'engouffre dans la sortie heureux de pouvoir enfin quitter ce couloir et se redresser. Il s'arrête en cours de route et récupère Fred et Narcisse pour être certain qu'on aura pas de feu de la Saint-jean ce soir.* Hé on crame pas les autres légendaires. Ni les scorpions momifiés. *Il avise la nouvelle aire du musée dans laquelle ils ont débarqué et voit avec satisfaction la grande double porte de sortie qui leur tend les bras au loin. Il en aurait presque été ému s'il n'avait pas entendu la voix familière du comte Préchiprécha.* Ah vous voilà ! Nous commencions à nous inquiéter ! M. Williams ! Vous êtes remis de votre opération alors ! Une chance que vous ayez quitté à temps la salle de l'Abbesse Marie-de-la-fourchettière, un défaut de fabrication l'a complètement détruite. *Sourire crispé d'Edward.* Vraiment ? *Le comte acquiesce et ajoute avec joie.* Mais comme tout le monde est là nous allons pouvoir terminer la visite ! Je suis certain que vous allez a-do-rer les création de mouchoirs usagés !

[23:27:54] * Narcisse Williams suit avec empressement son patron, murmurant des excuses qu'il ne pense qu'à demi. Si c'était pour survivre, il aurait foutu le feu aux scorpions et puis c'est tout... Mais le Conte Préchiprécha le surprend dans ses pensées bienheureuse et il se fige, horrifié. Il se laisse par réflexe tomber dans les bras de Fred, faisant mine de peiner à marcher. Pour peu, il s'en fût vraiment évanoui.* M-merci... *Le désespoir est à son comble.*

[23:34:45] * Rita Upset aurait pu pousser un cri de joie si ce n'était pas l'horreur qui lui avait pris les entrailles. Encore plus d'aristos ! Et les voilà pris au piège par la grotesque mise en scène de ses camarades, quelle bouffonnerie ! Aussi, s'il fallait jouer des apparences, Rita ne manquerait rien au monde pour remplir son rôle à point. Ainsi s'effondra-t-elle en un immense cri de douleur, les bras croisés sur la poitrine et le souffle court* "OOh, mes sires, je crains que une bonne nouvelle cache un grand malheur ! Car me voici transie, mes chers- ooooh mon pauvre foie pilate, il me refait des misères. C'est la fin pour moi mes amis... À moins que je ne me retire dans mes appartements alors si vous voulez bien m'excuser *fait mine de ramper vers la porte*

[23:44:06] * Frédéric Lenoir est déçu, se retourne, et est encore plus déçu (et choqué) devant l'arriviste au nom de cirque. Rattrapant Narcisse in extremis il se redresse, prend l'air le plus professionnel qu'il peut (ie : visualisez un bûcheron, mais un bûcheron professionnel) il lance* Bon, Mônsieur, en tant qu'professionnel moi j'dois vous dire un truc ou deux. Premio vot' batiment est pas sécurisé. Mais pas, DU, TOUT. Deuxièmo : on a des malades * pointe du doigt Rita de sa main libre* Qu'on doit train-- ach'mine--... qu'on doit taper en lieu sûr alors vot exposition satanist' * ça c'est un bon mot ça peut faire de l'effet* on la r'verra plus tard, ça va ?* traine de façon théâtrale Narcisse sur le point de défaillir et lance à son patron* Monsieur White si vous voulez bien... *pointe Rita à nouveau*

[23:57:36] * Edward White met 5 bonnes minutes à se remettre du choc. Même une fois Rita par terre et Nessy dans les bras de Fred, il reste un moment planté là jusqu'à ce qu'un hurlement ne le fasse sursauter.* Ma hé ! C'est magnificime ! Regardez moi ces parsonagens ! Cette émotion dans leurs yeugards ! Il faut que je les reproduise tout de maintenant !! Tout de maintenant tout de maintenant ! Anne-marilyne ! Mon platre que je moule leur posation à même leur coooorps ! *Le Comte à l'air ravis, et visiblement la santé passe après l'art.* C'est extraordinaire ! Surtout ne bougez pas ! Le grand Etna Wak va vous rendre immortel ! Ça ne durera qu'une heure ou deux. *Un son informe échappe à Edward. Il soulève Rita d'une main et s'élance vers la porte.* On se tire ! *Pas de pitié. Cette fois-ci rien ne pourra se mettre entre lui et la poignée. Et enfin, la sortie !*