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Neige

Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG

Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain.
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 Billy Langevin, Le Chevalier Roux

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MessageSujet: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeVen 18 Mai - 23:17

Présentation, Lost ParadiseYogi | Karneval

Billy Langevin

« Pour vous servir »

    Surnom(s): Le chevalier roux
    Âge (en apparence) : Il a 22 ans mais en parait plutôt 19/20. Sauf quand il se déguise. Il est aussi crédible en gamin de 14/15 ans qu'en vieux de 50 ans.
    Sexe : Masculin
    Nationalité : Française
    Orientation sexuelle : hédoniste (avec une préférence pour les hommes sans en avoir vraiment conscience) mais il s'agit d'avantage d'une orientation de vie que d'une orientation sexuelle.
    Race : Humaine
    Métier : Policier / Numéro 2 de la police parisienne
    Taille : 1m75
    Poids : 70kg
    Pourquoi venir au Lost Paradise ? Parce que c'est l'endroit à la mode

Si j'ai toujours du chocolat sur moi ?
C'est un secret...


You look like…

Roux mais pas que ...

Le commandant ?

Vous le trouverez dans son bureau au fond du couloir à gauche… enfin, si vous le trouvez sous les dossiers et les comptes rendus éparpillés partout. De toutes façons, vous ne pouvez pas le rater avec ses cheveux feux en bataille. Il est jeune, son visage fait très juvénile mais ne doutez pas de ses capacités, il n'a pas volé son poste, hein. Il a la peau assez claire mais par chance il n'a pas de tâches de rousseur, c'est laid, je trouve... Il n'est pas fardé aujourd'hui, il me semble. Parce que vous l'auriez vu hier, on aurait dit un Maure ! Vraiment, il ne se ressemble pas d'un jour sur l'autre.

Mais il y a quelque chose d'immuable, c'est son sourire. Vous savez, on dit « roux comme Judas » mais je réponds « sourire comme un ange », ça lui correspond mieux. Vraiment, vous seriez une femme, vous tomberiez sous son charme comme beaucoup d'entre nous… quoi que, parfois les hommes aussi semblent moins durs avec lui qu'avec les autres. Voyez le commissaire par exemple, il lui passe beaucoup de choses…

Ah, sinon, aujourd'hui il porte une veste en velours pourpre sur une chemise en flanelle à volants. Toujours à la dernière mode, comme d'habitude, même si ça n'est pas très approprié à ses fonctions… Mais cette couleur lui va à ravir, ça donne des reflets violets à ses yeux bleus clairs. Quoi que j'aime aussi son manteau bleu nuit, il lui donne un regard profond… Pardon, j'étais ailleurs… heu… donc…

Ah ! Vous entendez ces éclats de rire ? Il doit être en salle de pause, finalement. Je suppose qu'il est en train de raconter l'arrestation d'hier à grand renfort de mimes, il faut dire qu'il est très agile. Il est loin d'être empoté comme le portier, au contraire, il n'a pas l'air très musclé mais c'est un acrobate si vous voulez mon avis.

Oh ! Voilà le commissaire… Mmm… Je pense que vous pouvez aller attendre Monsieur Langevin dans son bureau, finalement, il ne va pas tarder à être chassé de la salle de pause et renvoyé à ses dossiers. N'hésitez pas à déplacer les piles de dossiers si la chaise est encombrée… ou si vous n'arrivez pas à l'atteindre.



You are…

Pourquoi es-tu si sérieux ?

Vous cherchez un clown ? Vous avez trouvé !

Honnêtement, à quoi ça sert d'aller travailler si c'est pour faire la tête toute la journée ? Personnellement, je trouve que les gens sont nettement plus beaux quand ils sourient et je préfère travailler avec des gens heureux. Alors je les rends heureux. Comment ? Heu… en étant moi même, je ne fais rien de particulier, je crois. Ce matin, par exemple, je leur ai juste raconté l'arrestation d'hier soir. Ce n'est pas de ma faute si ce bandit de bas étages s'est étalé dans une flaque de boue quand je lui ai fait un croque en jambe. Enfin, si, peut être un peu…

Ils m'ont encore appelé le Chevalier Roux. Ils se moquent de moi, mais je sais que c'est gentil, les gens ne savent pas vraiment être méchants avec moi. J'y travaille. Même Aldrick, heu, pardon, même le commissaire, il a beau râler de temps en temps parce que j'ai perdu un dossier ou me mettre une taloche quand je fais trop de bruit à son goût, il s'adoucit dès que je sors mon arme secrète. Quelle arme secrète ? C'est secret. Mais j'en ai toujours sur moi, question de survie.

Où en étais-je ? Ah oui, le Chevalier Roux. Ce n'est pas parce que je porte une côte de maille et une épée, c'est pas vraiment mon genre… Non, c'est plutôt parce que je n'hésite jamais à m'interposer entre le bourreau et la victime. Mais que voulez vous, c'est dans ma nature, je préfère prendre le coup de dague que de voir un autre blessé. Surtout s'il est faible. Les gens qui abusent des autres, ça me met hors de moi. Mais je ne suis pas insensé pour autant, je réponds coup pour coup si l'autre en face n'est pas un gorille… Et s'il en est un, j'ai des chances de courir plus vite que lui. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas pour rien que je suis policier, l'injustice, ça m'insupporte, j'en perds mon sourire, c'est dire ! Néanmoins, je dois admettre que ça ne se passe pas toujours aussi bien que voulu mais en général je m'en sors. Il parait que je suis très chanceux.

A part ça, d'aucuns prétendent que je suis légèrement désorganisé. Certes, le chemin entre la porte de mon bureau et ma chaise n'est pas tout à fait linéaire mais il n'est pas parsemé d’embûches, juste de dossiers, photos, croquis, notes, témoignages, objets perquisitionnés en tous genre… ce n'est pas grand-chose. Certes, parfois il me faut plus de deux minutes pour retrouver un dossier mais je n'ai jamais dépassé une semaine de fouilles… heu, pardon, de recherches. Et puis si c'est important, c'est dans ma tête, ce n'est pas grave sans le morceau de papier… si ? Ah… Il y en a que ça défrise, mon chef par exemple, mais moi je trouve ça plus enjoué. Je ne pourrais pas avoir un bureau tout bien rangé sans rien qui dépasse, c'est trop austère ! J'ai besoin d'un peu de folie, de l'animation. Juste un peu, pas grand-chose… enfin, question de point de vue, je crois.

Par contre, ça ne m'empêche pas d'être efficace et sérieux concernant le boulot. Je ne suis pas le second d'Aldrick pour mon humour, ça n'est pas vraiment un de ses critères de choix. En fait, sur le terrain, je suis très investi et attentif au moindre détail, on pourrait même dire que je suis perfectionniste. Il faut au moins ça pour se faire passer pour n'importe qui de manière efficace. D'une femme à un cul de jatte en passant par le dandy et le mendiant, rien ne m'est impossible. En fait ça m'amuse, j'aime bien changer d'apparence, même en dehors des missions ça m'arrive de le faire de temps en temps. Souvent.

Sinon, on prétend que je suis bavard, mais je ne trouve pas, je suis plutôt normal... C'est comme quand Jean dit que j'ai de l'instinct, du flair. Je ne suis pas d'accord, ça n'est pas magique, je suis juste observateur. Je remarque les changements d'attitudes, de regards, les mouvements des mains, les choses qui sont déplacées d'un jour sur l'autre... Observateur, oui. Perspicace, si vous voulez. Et tout cela, je le fais discrètement, bien sûr... en parlant.



Once upon a time…

Le bien vaincra !

Je n'étais pas vraiment prédestiné à devenir policier. C'est tout le contraire, en fait, j'aurais dû devenir un bourgeois ordinaire, dirigeant son petit commerce tranquillement dans sa campagne. Mais la vie en a décidé autrement.


Chapitre 1 : Une enfance heureuse.

Je suis l’aîné d'une famille de petite bourgeoisie. Mon père, Pierre Langevin, avait hérité de son père d'une entreprise de fret fluvial entre Rouen et Paris, les entreprises Langevin. Nous habitions près du port de Rouen. Ma mère m'avait mis au monde 18 mois après leur mariage. C'était assez tardif mais mon père voyageait beaucoup. Et ensuite elle s'était rattrapée puisqu'elle avait agrandi la fratrie presque tous les deux ans.

Alors que j'avais 6 ans, elle a perdu un bébé. L'enfant était mort-né et cet accouchement c'était très mal passé. Pendant presque deux ans, je l'ai aidée à s'occuper de la maison et des petits : Pete de deux ans mon cadet et Vicky qui avait deux ans de moins. J'ai de nombreux souvenirs de jeux sur les docks avec Pete au grand dam de nos parents. Nous jouions beaucoup avec les enfants de notre âge mais comme nous ne fréquentions que les dockers et les matelots, nous n'étions pas baignés dans l'étiquette bourgeoise. Je me rendais bien compte, quand je me retrouvais en présence de mes pairs, que je jouissais d'une liberté incroyable par rapport à eux. Je vivais ça comme une chance.

Anna naquit alors que j'avais 9 ans. Ma mère, Marie, allait beaucoup mieux et notre éducation redevint un peu plus ferme. Mais le commerce paternel était florissant et après la naissance de Jimmy, ma mère était de nouveau très occupée entre l'éducation de ses enfants et l'aide qu'elle apportait à l'administration de l'entreprise. Je cru donc que j'allais pouvoir avoir de nouveau un peu plus de liberté mais mon père décida de prendre les choses en main : à 12 ans, il me prit comme apprenti et commença à m'enseigner son métier.

J'adorais naviguer ! La Seine n'est bien sûr pas la mer, il n'y avait ni trop grosses secousses (surtout que les péniches sont des embarcations particulièrement stables) ni houle ou risque de se perdre. Néanmoins, je sentais une liberté incroyable et je prenais un plaisir immense à aider les matelots d'un bout à l'autre du bateau. Même quand je devais faire les corvées pour cause de mauvais coup, j'étais heureux. J'aimais moins quand il s'agissait de faire les comptes ou d'assister aux longues négociations avec les fournisseurs mais je me rendais bien compte de l'intérêt de ces deux exercices et je m'y appliquais du mieux que je pouvais. J'appris à ce moment le respect de la hiérarchie (il était hors de question de faire honte à mon père devant un client ou un fournisseur!) et à lire le langage du corps (tension, hésitation, contentement, méfiance…).

Je ne passais pas ma vie sur les bateaux, malheureusement. Mon père avait fait appel à un professeur pour compléter ma formation. Mathématique, Commerce, Anglais, Littérature… J'aimais apprendre. Je préférais bouger et je n'étais pas un élève facile mais mon professeur savait reconnaître ma valeur et je progressais vite. Ma vie était donc orchestrée entre les semaines sur l'eau et les semaines à mon bureau.


Chapitre 2 : Naissance d'un homme

J'avais 13 ans lorsque notre vie changea.

Mon père avait entendu parler d'un souci au port de Paris et avait profité du départ d'une de ses péniches pour y aller aussi, c'était plus rapide par voie maritime. Le voyage n'étant pas prévu à l'avance, mon professeur n'avait pas été prévenu, je devais donc l'honorer de ma présence. Cela me fâcha mais je me pliais aux décisions paternelles.

Malheureusement, la péniche eut une avarie à l'écluse de Méricourt et des bandits en profitèrent pour les attaquer. Des pirates sur la Seine ! Vous y croyez ? Moi, j'étais incapable de l'imaginer. La cargaison fut volée et tous les matelots massacrés. Mon père compris.

Pendant un mois, l’enquête de police piétina. Le mode opératoire avait été particulièrement cruel mais les coupables n'avaient laissé aucune trace. Je n'avais que 13 ans et pourtant je suivais ça de près. En fait c'est que je ne me sentais surtout pas prêt à devenir chef de famille… Ca faisait pourtant plus d'un an que j'étais en apprentissage avec mon père, j'étais capable de gérer théoriquement une bonne partie des choses et ma mère savait gérer le reste et aurait été capable de me l'apprendre… mais comment dire… j'avais envie de rester encore un peu un enfant.

Pourtant j'étais déjà un homme.

Quand l'enquête fut classée sans suite faute de résultats, je suis resté enfermé pendant quatre jours. Je n'arrivais pas à encaisser que ces truands ne seraient ni retrouvés ni condamnés pour le meurtre de mon père. Cette injustice me pétrifia comme si on m'avait arraché le cœur. J'ai d'abord été incapable de réagir, de comprendre, de penser, même. Ma vie s'écroulait face à cette aberration. Quand enfin j'émergeais de ma transe je déclarais à ma mère que j'allais reprendre les recherches… et elle me fit redescendre sur terre en quelques mots : pendant un mois je n'avais fait que suivre l'enquête sans m'occuper de rien d'autre, elle avait géré l'entreprise et la famille, elle était épuisée… Et nous avions perdu beaucoup d'argent dans cette affaire, outre la perte du bateau, il avait fallu rembourser la cargaison. Nous étions dans une situation explosive. Il fallait reprendre les choses en main.

« Ton père n'aurait pas voulu que sa mort détruise toute la famille, Billy. Alors relève toi ! Comment crois-tu que réagissent tes frères et sœurs en te voyant ainsi ? Comment imagines-tu que nous allons survivre si toi et moi ne faisons pas tourner les affaires ? »

C'était comme si elle m'avait frappé. Je regardais enfin autour de moi et je vis les petits. Ils jouaient mais avaient perdu leur entrain. C'est ce jour là que j'ai changé. C'est là que je suis devenu l'homme positif et enjoué que je suis. Je ne pouvais être un père qui dirige cette tribu avec autorité alors j'apprivoisais l'humour et le maîtrisais assez bien… à moins que mon public n'ait été conquis d'avance, qui sait… Mais la blessure est restée, cette injustice, comme une trahison.

Je me cachais derrière cette joie. Oh ! Je ne suis pas déprimé et je ne broie pas du noir à l'intérieur, je ne suis pas si bon acteur, j'ai toujours été quelqu'un de positif et d'enjoué, j'exagère juste mon trait naturel, à l'excès parfois. Surtout quand ça ne va pas. Mais en général je suis vraiment comme ça. J'ai toujours été l'enfant courant et riant, que ça soit sur les docks ou sur les péniches. Mais l'insouciance était terminée, il fallait faire cela en conscience et ça n'avait pas le même goût.

Mais le plus improbable c'est que ça a marché professionnellement aussi. Avec ma mère, nous avons réussi à redresser la barre de l'entreprise, à absorber les pertes et à poursuivre le commerce. Il faut dire que c'était un secteur en plein essor. Ma mère et moi ne ménagions pas nos efforts, ni pour le commerce ni pour les petits. Ça me réussissait assez les responsabilités, en fait. Cette vie commençait à vraiment me plaire quand ma mère s'est remariée.


Chapitre 3 : L'homme haït

J'avais 15 ans. J'étais encore trop jeune pour reprendre l'entreprise familiale mais c'était l'avenir vers lequel je me dirigeais avec enthousiasme. Mais…

Mon beau père était l'un de nos concurrents directs et il voyait les choses bien autrement. Ma mère était fatiguée, il fallait prévoir l'avenir des petits. A-t-elle épousé cet homme par amour ou pour leur bien à eux ? Je l'ignore. Probablement pensait-elle qu'il me prendrait comme vice-président après la fusion… Ça aurait été une solution idéale, j'en conviens. Mais ça n'était pas envisageable.

Dès que je l'ai rencontré, ça a été une catastrophe.
J'étais avec les petits, ce jour là, ils étaient inquiets par cette rencontre alors je faisais en sorte de les détendre avec une ou deux pitreries ou acrobaties, je ne sais plus exactement. Cela n'a tellement plus d'importance…
Mais c'est là et dans cette position qu'il m'a vu. Il est entré dans la pièce et le regard qu'il a posé sur moi en disait long. Du mépris. Malgré toutes les farces que j'avais pu faire sur terre ou sur l'eau, jamais on n'avait posé un tel regard sur moi. Notre relation était terminée avant même de commencer.

Je crois qu'il est la seule personne à qui je n'ai jamais réussi à arracher un sourire. J'ai plutôt pris des coups. Et pas qu'un peu. J'avais toujours été aimé et respecté par mes parents et mon entourage et voilà qu'on me battait avec violence. J'avais fréquenté les dockers et les matelots, je savais me battre et je savais encaisser les coups… mais pas les siens. Il y allait trop fort. Voulait-il me tuer ? Quand j'y repense, je suis incapable d'être certain que ça ne soit pas le cas.
D'un autre côté, j'avais conscience de le chercher, je faisais toujours en sorte d'attirer son ire pour qu'il ne s'intéresse pas aux petits. J'étais déjà le chevalier roux même si personne ne me donnait ce surnom.

Face à lui, je me suis renfermé, je suis devenu une personne sombre. Il m'a dépossédé de mon avenir, de ma bonne humeur, de ma mère. Il m'arrivait de ne pas pouvoir sortir pendant plusieurs jours à cause des marques sur mon visage, je n'étais pas présentable disait-il. J'étais en train de sombrer de nouveau. Je me sentais envahit par la haine. Je ne me reconnaissais pas, j'avais peur de ce que je devenais et des idées qui m'envahissaient à son sujet. Je voulais le faire disparaître de ma vie, quelque soit la manière. C'est probablement pour ça que je suis incapable de parler de lui aujourd'hui, cette haine est toujours présente.

J'ai tenu un an puis j'ai abandonné les miens, j'ai sauté sur le premier prétexte pour m'enfuir : le service militaire.


Chapitre 4 : La vocation

Mon beau-père tenait à son image, c'est pour ça qu'il était si strict avec nous et intransigeant face à ma personnalité naturellement enjouée, bordélique et impulsive. Il fit donc en sorte de jouer de ses relations pour que j'intègre la prestigieuse école d'officiers supérieurs de Saint Cyr l’École.

Franchement, je n'avais pas besoin de ça, je ne voulais pas lui être redevable de quoi que ce soit... mais il espérait probablement que les formateurs poursuivraient son éducation stricte et violente. Par chance, il n'en fut rien. Enfin, pas trop, j'ai quand même écopé de dures sanctions à plusieurs reprises.

En tous cas, j'avais d'avantage d'espace pour m'exprimer et être moi-même. Je me fis rapidement de nombreux amis (ça aide de faire le pitre) mais j'ai aussi trouvé ma vocation et je me suis investi très sérieusement dans mes études. Je voulais entrer dans la police.
Bien sûr, jamais l'enquête sur la mort de mon père ne serait rouverte et encore moins élucidée mais je voulais tout faire pour qu'une chose comme ça ne se reproduise pas.

Je me suis montré efficace à l’entraînement et audacieux sur le terrain. Je me suis aussi fait remarquer par mes capacités à souder les équipes et à motiver mes pairs. Nous étions un groupe de cinq et nous partagions tout : notre dortoir, les repas, les épreuves, les exercices, les colis de nos parents, les corvées, les punitions (nombreuses) et même, parfois, les filles. Pourtant, jamais ils n'ont connu la blessure que j'avais en moi, jamais ils ne m'ont demandé pourquoi je ne rentrais pas le week-end. Je leur en suis reconnaissant. Naturellement, ils m'ont donné une place de meneur que ça soit sur le terrain ou pour les mauvais coups et jamais ils ne m'ont reprochés les sanctions dont nous écopions. Les doigts d'une main.

J'alternais les gardes au commissariat de Versailles et les journées de cours. Je n'avais pas besoin d'argent mais ces gardes en plus me permettaient de développer mes aptitudes bien plus sûrement que les exercices codifiés de l'école. Je ne me ménageais pas. Ai-je jamais su le faire ? Quoi qu'il en soit, après deux ans à ce rythme j'empochais mon diplôme d'officier et j'avais déjà fait une grosse partie des heures que je devais à l'armée. Mes amis et moi fument alors mutés un peu partout en France et je perdis contact avec eux. J'espère sincèrement que la vie m'amènera à les recroiser un jour.

Grâce à mon investissement, j'entrais au commissariat de Versailles en tant que Lieutenant mais je gardais contact avec l'un de mes formateurs devenu ami : Jean Chatel. Quand mon service militaire fut terminé, j'étais Capitaine et Jean me proposa de m'aider à obtenir ma mutation dans son commissariat du 4e arrondissement de Paris. De bonnes rigolades nous attendaient, je n'hésitais pas un seul instant. J'avais tout juste 20 ans.


Chapitre 5 : Le Chevalier Roux

Mon arrivée à Paris ne fut pas des plus aisées.

Tout d'abord sur le plan personnel il m'a fallut m'habituer à la capitale qui n'avait rien à voir ni avec Rouen et son port, ni avec St Cyr. J'ai été tenté de m'installer près du Port de Paris, d'ailleurs, mais j'avais vraiment envie de commencer une nouvelle vie… même s'il m'arrivait régulièrement d'y flâner quand j'avais besoin de réfléchir, son ambiance m’apaisait. Avec le temps, j'ai trouvé d'autres lieux apaisants à Paris. Les bords de Seine ou un certain Cabaret, par exemple.

Je me suis finalement installé dans une chambre à deux pas du commissariat, c'était plus simple pour moi. Et j'y suis resté même après être devenu Commandant et avoir les moyens de me payer mieux. J'y suis bien, finalement dans ce petit cocon.

Outre la question matérielle de la vie parisienne, il y a eu mon intégration au commissariat d'Aldrick Voelsungen qui ne fut pas une sinécure. Travailler sous les ordres de deux hommes insensibles à l'humour (parce que le préfet est pire que le Commissaire, sur ce plan là), ça a été un défi de taille. Heureusement que Jean était là pour m’encourager et me soutenir. Il a pu m'apprendre les dernières ficelles du métier, c'était vraiment un atout de travailler avec lui. Et ça l'est toujours.

Finalement, j'ai réussi à bien m'intégrer dans l'équipe et à y trouver ma place. J'ai pris beaucoup de plaisir à mes premières missions d'infiltration et j'ai vite compris qu'Axel Roméan, notre légiste, était la personne idéale pour m'aider à peaufiner mes interprétations. J'ai découvert cet homme sous un jour que d'autres n'imaginent même pas. Les collègues ne comprennent toujours pas comment un homme aussi extraverti que moi peut bien s'entendre avec un taciturne comme lui. Je trouve dommage qu'ils s'arrêtent ainsi aux apparences mais je me vis aussi comme un privilégié.

L'arrivée d'Allan dans le service m'a bien aidé aussi. Ce garçon a un caractère tellement compatible avec le mien, nous sommes devenus complémentaires. Les remarques qu'il osait faire au Commissaire m'ont aussi libéré de plusieurs de mes réticences et j'ai pu créer un lien plus juste avec lui.

Mais finalement, et heureusement, c'est mon attitude sur le terrain qui a permis ma bonne intégration à l'équipe et mon évolution très rapide au sein du service. Aujourd'hui, même s'il se plaint encore souvent de moi, Aldrick me fait confiance et inversement. D'ailleurs, j'ai bien pu ressentir sa confiance et celle de toute l'équipe quand cette rumeur s'est répandue… Il parait que j'aurai posé nu pour un peintre controversé… Quand à savoir si c'est vrai ou faux, je vous laisse imaginer.




Sous le masque

Une femme au foyer pas comme les autres...

    Surnom(s) : Aucun (mes enfants m'appellent Maman, ça compte?)
    Âge : L'âge du Christ
    Expérience en RP : très longue mais… il y a longtemps...
    Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : Rien à dire, c'est celui que j'ai choisi… et je suis exigeante ^^
    Comment avez vous connu le forum ? Par un topsite
    Avez vous lu le règlement ? Dévoré par ton chef préféré ~


Spoiler:


Dernière édition par Billy Langevin le Lun 21 Mai - 11:01, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeSam 19 Mai - 11:48

Helli hellow Billy !

Tout d’abord bienvenu parmi nous !
Le Chevalier Roux étant l’un de nos plus anciens Prédef nous sommes ravis qu’il ait trouvé preneur !

Aldrick te fera probablement un retour plus complet que moi puisqu’il s’agit de son personnage, mais je prends tout de même cinq minutes pour te faire un petit bla-bla.

Tout d’abord je voulais te féliciter pour ta plume très fluide. La fiche se lit très facilement et on a l’impression de s’égarer dans les pensées de Billy pour la seconde et la troisième partie de la fiche. C’est agréable car on a la sensation de participer indirectement au récit.

Les descriptions regroupent tous les points de la fiche du prédéfini. Tu déclines très bien les subtilités de son caractère, en réussissant en à relier le texte au premier, un petit détail qui m’a bien plu. La manière de parler de Billy m’a un peu décontenancé car je l’ai trouvée très moderne pour l’époque et un peu « brute ». Mais c’est peut-être le fait qu’on ne sache pas s’il pense ou parle qui me donne ce ressenti.

L’histoire à présent. Tu as le sens du détail et c’est tout à ton honneur. On a un vrai contexte pour l’histoire de famille de Billy qui nous replonge bien dans l’époque et le développement industriel, j’ai bien apprécié. Le fait d’utiliser des termes et des lieux connus renforcent encore cet encrage historique ce qui est une bonne chose.
J’ai peut-être trouvé dommage que ce soit moins le cas pour la famille et les proches de Billy. Tu as repris certains liens de sa fiche, ce qui est une excellente chose, mais j’ai trouvé que, dans ton récit, l’entourage de ton chevalier était très dépouillée et déshumanisait beaucoup l’histoire, ce qui m’a semblé dommage au vue de la personnalité de Billy. Une ou deux anecdotes sur sa famille, ou au moins quelques prénoms, comme celui de l’horrible beau-père, auraient, à mon sens, apporté un plus au récit.
Du reste tu as très bien ficelé la vie de Billy jusqu’au commissariat, par un parcours cohérent qui lui en a fait voir de toutes les couleurs et j’ai hâte de voir ce qu’il donnera en RP.

J’ai vu quelques fautes, surtout d’inattention, donc rien de bien méchant, mais je pense qu’Aly te les remontera dans son retour.

Retour que j’attendrais pour te valider ! Mais c’est en bonne voie ! Félicitations /o/

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeSam 19 Mai - 13:09

Merci beaucoup pour ton accueil. Ca me fait plaisir de lire que ma plume fait toujours son effet sur le lecteur ^^ Aldrick m'avait dit que je pouvais écrire à la première personne du singulier, je sais que c'est inhabituel et en fait ça change la manière d'aborder l'écriture du texte (c'est ce que je te disais, je me laisse guider par le perso) mais aussi de le lire, je suppose.

Pour ce qui est de la famille de Billy en elle même, Aldrick m'avait dit que je pouvais garder son développement pour plus tard. Ca n'est pas encore bien clair dans ma tête mais je pense bien faire quelque chose qui explique de manière cohérente qu'il n'utilise pas le nom de cet homme (il le déteste quand même très très fortement...). Pour la fratrie, je ne sais pas encore comment je vais répartir filles et garçons, dans quel ordre et leur age... cela viendra dans le rp, je suppose (ou si j'ai une impulsion/inspiration). Pour l'instant, je pense juste que le premier après Billy est un garçon mais mon idée est encore flou c'est pour ça que, avec l'accord d'Aldrick, je n'ai pas trop développé.
Voilà voilà, je pense que les liens amicaux (amis d'enfance, matelots de l'entreprise familiale, copains de St Cyr...) et familiaux de Billy arriveront avec le rp, ne pas les explorer dans la fiche me donne aussi cette liberté de les créer au fur et à mesure. J'aime pas trop lier mon perso à un PNJ avant même de commencer à jouer ^^

Pour ce qui est du ton, effectivement, je me suis laissée emportée par l'aspect spontané de Billy mais je pense que quand il parle "réellement" à quelqu'un il se mesure d'avantage dans les termes employés. Le récit est comme une histoire en pensée, à un ami intime ou à un journal personnel, à lui même... Enfin, je ne sais pas si je suis claire... En tous cas, il s'exprime différemment, un peu.
J'ai écrit quelques lignes ce matin que j'ai envoyées à Aldrick en mp parce que je ne pense pas qu'elles puissent être utilisées en rp et que je voulais les partager. Si tu veux voir, pour te faire une meilleure idée, je peux te l'envoyer ^^

Voilà voilà.
Merci encore pour ta réponse.
Aldrick Voelsungen
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeDim 20 Mai - 12:17

Bienvenue au Lost Paradise !

Je ne te cache pas que je suis très heureux de voir Billy prendre forme sous ta plume. On sent que tu as de l'expérience, que ta plume va droit au but, sans chichis, (peut-être un peu trop ? XD), quoiqu'il en soit c'est un vrai plus, bravo à toi !

Voici mon ressenti sur ta fiche ! Accroche-toi, pavé en vue !

Le physique et le moral se lisent aisément, le vocabulaire y est riche et on voit bien que tu touches au rp depuis un moment, malgré quelques fautes et maladresses (que tu retrouveras au bas du message). Même si le texte aurait mérité quelques espaces entre les paragraphes pour un confort de lecture, on découvre Billy fan de mode, enjoué et parfaitement intégré dans le commissariat, avec une pointe d'humour à la fin du physique qui m'a fait sourire, j'ai beaucoup aimé.

Petit bémol cependant dans le moral, où comme Edward, sa façon de s'exprimer m'a grandement désappointé, je dois le reconnaître. Je parle de ce côté très familier sur lequel on a déjà échangé, mais tu l'avais peut-être deviné. Comme on a longuement échangé sur ce sujet et que tu nous as fait divers propositions de textes pour nous montrer le côté plus sérieux de Billy que tu sauras parfaitement géré, il faudrait juste d'atténuer un peu ce ressenti, par exemple en enlevant les « Bon ok » ou en remettant les négations perdues.
Pour en revenir à ta présentation, beaucoup des éléments de la fiche sont respectés, on sent que tu as vraiment à cœur de coller autant que possible au personnage et d'offrir une base solide à Billy pour la suite, ce qui est vraiment cool. =)
D'autant que l'emploi de la première personne donne l'impression de rentrer plus rapidement dans le cadre de son entourage, c'est très agréable !
J'ai aussi trouvé Billy un peu vantard (même s'il aurait de bonnes raisons de l'être, ne nous leurrons pas), et j'avoue que je ne suis pas fan de cet aspect, si tu pouvais l'atténuer en même temps que sa familiarité, je t'en serai reconnaissant (il pourra se vanter tout de même auprès de ses collègues / conquêtes de temps en temps, rassure-toi Wink ).
Je pense que tu en as conscience, mais je voulais souligner également que l’homosexualité n’étant pas du tout bien vu à l’époque, il faudra faire attention à ce que Billy ne soit pas trop démonstratif en public, sauf quand il est grimé et qu’il joue un rôle, par exemple. Un savon ou deux ne seraient pas exclure au commissariat autrement. Voir pire. Cette remarque concerne uniquement ta fiche, j'ai vu que tu avais rectifié le coche dans les 2 derniers textes que tu nous as envoyé.
Du reste, si tu avais crains de manquer d'humour concernant le roux, rassure-toi : tu t'en sors très bien, et je ne doute pas que cela perdurera !


L'histoire maintenant ! (et oui, ce n'est pas fini !)
Elle est très fluide, cadrée, bien ficelée et ne le cachons pas, bien écrite également ! Bravo toi !
Malgré quelques passages subits d'un temps à l'autre qui cassent un peu le récit, on se laisse bien volontiers entraîner dans l'enfance de Billy, en découvrant son passé, ses moments douloureux surtout, mais qu'on comprend parfaitement et qui expliquent judicieusement ce qui a fait de lui l'homme qu'il est. Paradoxalement, il semble assez détaché et inexplicablement présent dans le récit, probablement grâce à l'alternance entre le récit passé et son ressenti actuel, c'est une prouesse que je salue en te tirant mon chapeau !
Autrement, je sais que je t'ai dit qu'il n'y avait pas besoin de tout détailler pour son entourage, mais là, c'est un peu trop concis ! XD J'aimerai y retrouver, comme le souligne Edward, un peu plus de ses relations quotidiennes (qui sont nombreuses sur la fiche du prédéfini, j'en conviens). Si tu pouvais rajouter quelques lignes en mettant en scène quelques-uns de ses collègues par exemple, ce serait parfait ! Car, malgré lui, Billy est déjà un personnage très ancré sur le forum et c'est aussi son accessibilité, sa facilité à discuter de tout et de rien avec autrui qui font de lui l'un des policiers les plus appréciés du commissariat. Entre autres. Wink

Quoiqu'il en soit, tu as bien cerné le personnage globalement et je ne doute aucunement que Billy connaîtra sous ta plume, de belles aventures dans un futur proche !

En attendant, je te souhaite à nouveau la bienvenue sur le forum, j'espère que tu te plairas parmi nous et que tu retrouveras avec joie les délices du rp ! =)


Quelques fautes:

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeDim 20 Mai - 13:50

Merci pour vos retours ici et en mp.

Je suis contente que ce que je produits vous plait, je vais essayer de donner un eu plus d'attention à cette histoire de concordance des temps, je suis toujours réticente à utiliser le passer simple que je trouve trop pompeux mais parfois il n'y a pas le choix, il va falloir me résigner. Mais effectivement, je suis souvent ballotée entre le présent et le passé, j'aime les deux formes de narrations et ça m'arrive de passer de l'un à l'autre sans m'en rendre compte... Mais ces tics d'écritures, je les avais oubliés. Merci de me les pointer, ça me permet de savoir où porter mon attention pendant l'écriture.

Je vais étoffer et retravailler cette présentation, les pistes que tu me donnes m'aident bien à voir dans quel direction le faire.

Concernant les prédéfinis déjà liés à Billy, c'est compliqué pour moi parce que ça me demande de me pencher sur chacun d'eux et d'essayer de bien les cerner pour imaginer leur relation avec Billy, j'aurai préféré garder ça pour plus tard surtout concernant ceux qui sont joués, mais je vais essayer de développer d'avantage ses deux années à Paris.
Concernant la famille de Billy, je commence à me faire une idée, les ages, sexes et prénoms des frères et sœurs commencent à arriver dans ma tête mais je n'arrive pas à m'imaginer précisément le beau-père (Billy fait de la résistance, il ne veut pas me laisser penser à ce type :p ).
Concernant ses "potes de promo", comme je te l'ai dit, je n'ai pas envie de lui attacher ce genre de pnj pour l'instant. Je vais préciser un peu plus dans ma fiche mais ça restera des personnes non définies, je pense.

Voilà voilà, je vais reprendre tout ça... probablement assez vite me connaissant en espérant que je ne vais pas carrément tout réécrire... j'étais en train de penser à une autre manière de faire la présentation physique, tout à l'heure -_-

Je vous tiens au courant dès que c'est mis à jour.
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 9:54

Petit double post, j'ai un soucis :
j'ai modifié des trucs dans la première partie de la présentation (celle avec la photo) et ça a rallongé mon texte... du coup tout n'est plus visible dans le cadre et je ne sais pas comment modifier le code pour que ça s'adapte...
Merci d'avance.
(Sinon, c'est fini mais vous le savez déjà)
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 10:41

Edward est un chef, tout est rentré dans l'ordre ! Wink

J'en profite pour finaliser la fiche !

Alors, c'est nettement mieux ! Merci d'avoir apporté les modifications à la fiche, c'est beaucoup plus agréable à la lecture et ça rend le tout bien plus fluide, on imagine plus aisément les propos et les ressentis de chacun, franchement, ça change la vie !

Pour le reste, je serai court, les modifications que tu as apporté me convienne parfaitement, notamment pour l'histoire, même si j'étais un peu triste que l'un des enfants subisse un destin si tragique, mais c'est ton choix. Il n'en reste pas moins que tout ça donne davantage corps à Billy, et qu'à part quelques rares fautes dans l'histoire, c'est parfait ! Bravo à toi ! Le chevalier roux va enfin pouvoir prendre du service, tiens toi prêt !

Les dernières fautes:

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 10:45

Comme Aly valide, je valide aussi !
Félicitations Billy !

Je te laisse suivre les indications suivantes pour terminer ton inscription et débuter le RP.

Bienvenue au
Lost Paradise

Il faut maintenant...
Faire ta demande de rang ici.
Pour les relations, c'est par .
Demander de RP c'est ici.
Créer ou utiliser des PNJs c'est .

Et bon RP parmi nous !

_________________

Wup:
https://lostparadise.forumgratuit.org
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 11:03

Merci à tous les deux pour tous ces échanges et pour cette validation ^^
Frédéric Lenoir
(Fried) Fish Master
Frédéric Lenoir

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Date d'inscription : 08/10/2013
Age : 32

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 13:00

BIENVENUUUUUUUUUUUUUE )o)

J'aime beaucoup la nouvelle version de la fiche, Bravo à toi et (encore) bienvenue au Royaume des fous du Cabaret =D

_________________
Billy Langevin, Le Chevalier Roux Prix_f10Billy Langevin, Le Chevalier Roux Lost-b10Billy Langevin, Le Chevalier Roux 604188consol10
Freddy parle en #cc6633.
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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeLun 21 Mai - 13:27

Merci Fred ^^
Tu as eu le courage de lire ma fiche dans ses deux versions ? Ca me fait plaisir.
Valentine Lefevre
○~ Héroïne de contes ~○
Valentine Lefevre

Messages : 1671
Date d'inscription : 22/02/2011
Age : 34
Localisation : Partout, même là où vous ne l'imaginez pas 8D

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitimeMer 13 Juin - 20:33

BIENVENU VACHEMENT EN RETAAAAAAAAARD !

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MessageSujet: Re: Billy Langevin, Le Chevalier Roux   Billy Langevin, Le Chevalier Roux I_icon_minitime

 

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