La la la ~

Demandez à Zeno ce qu’il pense d’elle et il ne saura probablement pas vraiment vous répondre avec une exactitude tranchée. Le fait est que Tiana est son amante mais au-delà de cela, qu’existe-t-il entre eux deux ? Même lui l’ignore quelque peu. Elle est très certainement bien plus qu’une amie, ceci est certain… mais de là à parler d’amour avec un grand « A », non cela parait fort peu probable, malgré toute l’obscurité qui règne sur leur ambiguë relation.

Belle, c'est un mot qu'on dirait inventé pour elle.

La relation qu’entretient Zeno avec Trinité est encore plus particulière que celle d’avec Tiana. En effet, la demoiselle paraissait être de glace devant les avances du volage italien et pourtant, sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, la donne semble avec très sensiblement changé. Il ignore s’il à rêver ou non, mais c’est comme si elle ne possédait plus cette barrière autour d’elle, l’empêchant de laisser croitre des sentiments. Le Zucchero ne sait pas trop comment aborder la jeune femme mais une chose est sure ; bien malgré lui, il s’y est attaché. Sans doute plus que raisons ; mais allez dire ça à un méditerranéen, vous. Tsk, tous les mêmes…

Que Dio te benisse

Le plus âgé de ses deux frères. Zeno eut toujours une certaine pointe d’admiration mêlée à une fine dose de jalousie à son égard. Il fit office de figure paternelle malgré le peu d’années qui les séparaient auprès du plus jeune alors que leur père ne se préoccupait guère de sa progéniture, sauf lorsqu’il fallait sévir à coup de cravache. Combien de fois Francesco a-t-il séché les larmes de son cadet ? Ce dernier ne les compte plus. Il ressent toujours un pincement au cœur en songeant qu’il ne pourra jamais plus le revoir, ni lui ni personne en Italie, à cause de son égoïsme. Mais bon, ainsi va la vie. Il s’est récemment marié à une demoiselle nommée Béatrice, apparemment, d’après ce qu’en a su Zeno. Il lui souhaite tout le bonheur du monde, du haut de ses vingt-quatre ans.

Citation /o/

Si leur ainé aida Zeno à passer outre bien des choses, Valentino, quant à lui, lui enseigna tout ce qu’il y avait à savoir pour séduire une jolie jeune femme. Enfin, avant qu’il ne soit envoyé de force par leur paternel dans les rangs de l’Eglise afin d’assouvir la tradition familiale qui voulait que le second fils fasse abstinence de son corps pour honorer le Saint Père. Pauvre Valentino, si amoureux des femmes qu’il manqua de devenir fou à cette annonce… Zeno regrette de n’avoir pu lui dire au revoir au moins une fois avant de prendre la fuite car il était très proche de lui. Egalement, sa honte de fugitif le fait culpabiliser… Val ‘ aura donc offert son unité à la chrétienté pour rien… Perdono fratello, murmure-t-il dans la nuit.

Hum. Bastardo. *tousse*

On ne peut pas dire qu’il apprécie son père. Mais dire qu’il le déteste serait mentir également. Car oui, si Zeno n’eut jamais l’occasion de faire croitre un semblant de complicité entre lui et son paternel, il ne pouvait que comprendre le pourquoi du comment ce dernier était si dur avec son entourage. Elevé durement, il dû prendre à l’aube de ses quarante ans une femme moitié plus jeune que lui pour épouse afin d’avoir une descendance au plus vite. Un mariage arrangé, sans amour, une vie bâclée… Bref. Il lui en veut d’avoir répété le schéma de son propre père avant lui mais n’exclut pas de sa tête une certaine compréhension.

Ti amo, Mama...

Sa mère. Elle fut toujours là pour lui, quand bien même ses vertus n’existaient plus depuis bien longtemps. Malgré ses envies de libertés et d’escapades, elle a toujours été là pour Zeno, avec une douceur donné sans parcimonie aucune. Il se souvient encore, de la chaleur de ses bras, des battements de son cœur contre son oreille qui le berçaient lorsqu’il ne parvenait pas à trouver le sommeil. Il aime énormément sa mère et soupire lourdement à chaque fois qu’il repense aux berceuses qu’elle lui chantait. Elle ne doit pas être très fière de lui, maintenant.

J'ai demandé à la Lune...

Il est celui à qui il doit tout depuis son arrivée à Paris. Enfin, tout le positif pour être plus exact. Alors qu’il se croyait être devenu un monstre après être passé sous les scalpels de ce médecin fou, Zeno à trouver auprès d’Edward et son cabaret, un semblant de famille qu’il ferait tout pour protéger maintenant. Il y aime tout le monde ou presque et tâche de faire de son mieux pour ne pas décevoir son « Boss ». Il adore ce personnage, soyons franc ! Attendez, un patron qui vous loge, nourris, blanchis, qui vous autorise à vous déshabiller devant la clientèle à certaines heures et qui en plus vous paie pour ça, franchement c’est pas le rêve de tout homme ?! Puis en plus il lui donne des cookies ! ♥ Bref, tout ça pour dire qu’avant de vouloir faire du mal au White, il faudra d’abord passer sur le corps de l’homme sucré ~

La blancheur manquait à mon âme avant elle...

Sa meilleure amie. Son contraire et son reflet à la fois. June est cela et plus encore plus Zeno. Il l’adore, la protège et veille à ce qu’elle ne manque jamais de rien ! Il faut dire que leurs points communs ne sont pas étrangers à cette proximité, né au cœur même du cabaret. Ils sont tous les deux des êtres humains, dans leurs veines ne coule aucun liquide démoniaque ou autre. Ils sont presque ordinaires et pourtant ne le sont guère pour autant. Et puis, ils trainent derrière eux le poids d’actions dont ils ne sont nullement fiers. De cette dérive commune a germé une amitié solide qui n’est sans doute pas prête de s’éteindre sous peu. Quant à la « seconde personnalité » de June ? Balivernes, Zeno ne la craint pas du tout. Elle fait partie intégrante de son amie, alors il l’a protégera, elle aussi. Un point c’est tout. Il se doute bien que ce ne doit pas être facile pour la demoiselle de vivre ainsi… Encore un point commun, tiens.

Retrouver dans un sourire toutes les lois de l'univers.

Ahah ! Alors lui, Zeno sait pertinemment que ses tentatives pour le sociabiliser l’exaspèrent ! Mais il l’aime bien malgré tout – parce que Zeno, c’est un gars qui aime tout le monde et puis c’est tout – et c’est plus fort que lui, il ne peut s’empêcher d’aller le taquiner lorsqu’il le voit seul ! Il n’aime pas voir les gens qu’il apprécie murer dans le silence, même s’il n’as pas encore bien assimilé que le silence, parfois, ça a du bon. Peut-être le comprendra-t-il un jour, ou peut-être pas. Quoi qu’il en soit, il n’est pas près de lâcher les chevilles d’Horace à ce sujet ! C’est aussi ça façon toute personnelle de lui témoigner son amitié. Parce que oui, même si ce n’est sans doute pas réciproque, Zeno apprécie beaucoup le français, comme un ami. Puis, il lui aussi il est un humain ayant subi des expériences. Différentes, certes, mais ça suffit pour attiser son affection. Il lui en faut peu, il est vrai. Mais bon, le Zucchero est comme ça, vrai jusqu’au bout des ongles.

Senoritaaaa ~ Bellissima

En voilà une bien jolie demoiselle ! Zeno ne la connait pas très bien à vrai dire mais bon, puisqu’elle l’a gentiment aidé un jour en recherchant un ouvrage dans les immenses rangs de la librairie ou l’italien s’était rendu, alors de facto il ne pouvait la considérer que comme une amie ! Et c’est très bien ainsi ! Après tout, l’amitié n’a guère besoin d’être disséquée en long en large et en travers, n’est-ce pas ? La part de mystère est essentielle dans ce genre de chose. Et puis bon, parfois elle vient au cabaret, elle ne peut donc qu’être une bonne personne, logique ! Il a déjà hâte de la revoir ~

Et ce jour là, le Seigneur me tendit la main.

Il est le premier ami que Zeno se soit fait en arrivant en France, et plus spécifiquement à Paris. A vrai dire, c'est ce prêtre qui l'a tiré d'une bien délicate situation puisque l'italien c'était ni plus ni moins qu'évanoui sur le parvis de l'église ou ce dernier officie. Le pauvre, plaignons-le car lorsqu'il a ramassé cet imbécile, probablement ne savait-il pas dans quoi il s'engageait. Malgré tout, Zeno l'aime bien, il est un peu comme une personne qu'il peut aller voir en toutes circonstances sans craindre d'être traité de monstre - même s'il lui a aussi presque fait frôlé l'arrêt cardiaque en découvrant sa force prodigieuse, oui...
Depuis lors, le Zucchero est très reconnaissant envers le prêtre Cartier et apprécierait de pouvoir lui rendre la pareille pour lui avoir autant porté secours. Problème : Il ne sait comment faire. Ahlàlà, quel gâchis que cet adonis ne puisse disposer de son corps comme il l'entends... Comment ça, ça n'a rien a voir?!

Citation /o/

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Se droguer, c'est maaaaal

Il ne comprend pas ce garçon et son obsession pour cette poudre blanche appelée « cocaïne ». Les effets qu’il a pu en voir le rebutèrent instamment. Depuis, il fait tout pour convaincre, avec plus ou moins de succès à chaque fois, son nouvel « ami » d’arrêter cette folie pure. Il l’aime bien, dans le fond. Puis il est plutôt beau garçon alors ce serait dommage de … s’abîmer avec une chose pareille, n’est-ce pas ?!

Citation /o/

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