Oups, octobre nous a échappé ~

1 - Trois objets que vous emmèneriez sur une île déserte ?

Un briquet - Parce que je ne suis pas complètement cinglé
Un crayon de papier - L'encre ça se vide !
Un très, très gros cahier vierge - Pour narrer les exploits de moi et mon briquet !

2 - Serait-il/elle capable de mourir pour un autre ? Qui ?

Sans hésiter. Edward est un acharné de la survie depuis qu'il est gamin, mais il n'a jamais reculé devant le danger, plus encore s'il s'agit de protéger quelqu'un qu'il aime. Andréa serait sans doute le premier sur la liste des personnes à protéger, mais le loup réfléchit souvent après coup et il n'est pas impossible qu'il donne sa vie pour un parfait étranger. Si la cause lui semble juste et l'action indispensable, il est prêt à y rester. C'est sans doute pour ça qu'il a faillit mourir tant de fois…

Oui. Andréa est très sensible à la misère et à la douleur des autres et préfèrera se sacrifier que de voir quelqu'un mourir sous ses yeux. Son cœur énorme fait qu'il serait capable de ce geste irréversible pour n'importe qui, même un animal. C'est un garçon courageux et émotif, naïf aussi qui espèrera jusqu'à la dernière seconde que son bourreau comprendra son erreur et renoncera à un tel acte. Ce serait d'autant plus valable pour des personnes qui lui sont chère comme Edward. Toutefois, pour ce dernier, il est possible qu'il renonce à donner sa vie, car il devrait, tout au fond de lui, que si cela arrivait, la peine de son oncle serait mille fois pire que la mort. Une peine que jamais il ne lui souhaiterait.

3 - Plutôt du matin ou plutôt du soir ?

Les deux ! Edward est du matin, c'est certain. La grasse matinée, il ne connait pas et rester des plombes à glander dans un lit lui parait totalement ahurissant. Mais il est aussi du soir, surtout à mesure que la lune s'arrondit. Se coucher tard est récurrent avec son travail et il peut dire merci à sa nature de lycan bien plus robuste que celle des humains, qui lui permet d'enchainer des courtes nuits et des journée bien remplies. Le sommeil lui apportant souvent son lot de cauchemar, il a tendance à le préférer bref et voit l'aube arriver avec plaisir.

Plutôt du soir. Andréa n'est absolument pas du matin. Il a toujours un mal fou à se lever et tant qu'il n'a pas déjeuner, il est au radar et c'est complètement inutile de lui parler. Il lui faut dix à trente minutes pour réussir à s'extraire de son lit et ça c'est s'il ne s'est pas rendormi. Depuis qu'il vit chez Gigi, les filles ont pris l'habitude de toujours passer trois fois vérifier s'il ne s'est pas assoupi en cours de route. Même s'il se couche très rarement après minuit, il apprécie la nuit pour le calme qu'elle dépose sur Paris. C'est d'ailleurs à ce moment de la journée qu'il préfère jouer du violon à l'abri des regards.

1 - Trois objets que vous emmèneriez sur une île déserte ?

C'est dur. ><
Je crois que je ne serai pas très doué pour survivre dans ce genre d'endroit. Du coup, je privilégierais des objets utiles. Type briquet, couteau suisse et... Quelque chose qui puisse réchauffer, une couverture de survie (?) je présume.



2 - Serait-il/elle capable de mourir pour un autre ? Qui ? (Par Ryden)

Oui, très probablement. Aldrick aurait tendance à s'élancer avant même d'avoir pleinement réalisé la finalité qui l'attendrait. Quant à la personne, ça dépendrait beaucoup du contexte. Ça pourrait autant être un proche auquel il tient, comme quelqu'un de sa famille ou de son clan, que l'élue de son cœur, si élue il y a. Mais il pourrait tout aussi bien tenter de sauver un innocent.
Stupide ? Parfaitement.

3 - Plutôt du matin ou plutôt du soir ?

C'est aléatoire.
S'il se lève tôt, c'est principalement parce qu'il a un travail qui le passionne et pour cette même raison, il est aussi capable de faire beaucoup (trop) de nuits blanches. Heureusement, avec l'âge, il a compris (enfin normalement) que c'était bien aussi de se reposer avant que son corps ne lui dise totalement zut. Certains diraient que c'est aussi en fonction de la lune et que lorsqu'elle est pleine, il a tendance à être très en forme, mais le brun n'y a jamais vraiment prêté attention.