Retrouvé oison seul et déshydraté sur le bord d’une route au Canada, André l’oie a fait beaucoup de chemin au centre de réhabilitation de la vie sauvage.

Il a appris à devenir indépendant grâce à la compagnie des hommes et de… lapins ! Alors André a pu regagner la vie sauvage et voler de ses propres ailes. Mais avant d’en arriver là, André a côtoyé bien du monde. Il a d’abord été amené par l’homme qui l’a trouvé dans un refuge pour perroquets. Comme il était évident que les perroquets l’attaqueraient, les propriétaires du refuge l’ont placé avec des lapins.

L’oie se croit lapin

André mangeait et dormait avec les lapins, mais il allait dans un bassin chaque jour pour nager. Il ne fallait pas qu’il s’identifie complètement comme étant un lapin. Au fur et à mesure qu’il grandissait, les responsables du refuge se sont aperçus qu’il s’agissait d’une oie sauvage, et la législation interdit de les garder en captivité. C’est pour cette raison qu’André est arrivé au centre de réhabilitation de la vie sauvage. Rejeté par ses pairs, il a été placé avec des canetons, puis progressivement avec d’autres oies.

Retour à la vie sauvage

« Il s’en sort beaucoup mieux aujourd’hui, il se comporte comme une oie maintenant » déclare une personne du centre. Il a été relâché dans un lac avec un de ses « amis » oie, avec qui il fera probablement un bout de chemin.

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En voilà une découverte insolite…
Un poisson-lapin à queue tronquée, espèce originaire de la mer Rouge, habituellement présent dans le bassin oriental de la Méditerranée, notamment près des côtes d'Israël et du Liban, a été observé pour la première fois en Méditerranée occidentale, sur les côtes françaises.
Ce poisson herbivore, de couleur brune et doté d'une sorte de bec pour brouter les algues ainsi que d'épines dorsales légèrement venimeuses, mesure une vingtaine de centimètres.
Jusqu'à présent le poisson-lapin (Siganus luridus) n'avait jamais dépassé le détroit entre la Sicile et la Tunisie.

« Le poisson-lapin est entré en Méditerranée par la Canal de Suez après la seconde guerre mondiale » et les dernières observations validées par des scientifiques montraient sa présence au Sud de la Sicile et au Nord-Est de la Tunisie en 2006, a affirmé le responsable de la gestion du milieu marin du Parc marin. Sa présence a été décelée grâce à un pêcheur professionnel de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône), qui l'a trouvé dans des filets alors qu'il était parti pêcher des rougets. La présence en Méditerranée occidentale d'une espèce de la mer Rouge est rare alors qu'une soixantaine d'espèces se trouvent maintenant dans le bassin oriental.

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