Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain. |
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| Lorian Luca - Little Moon [terminée] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 0:33 | |
| Allen Walker, D-Gray man Lorian LucaHijo de la luna Nom d'artiste : Little Moon Surnom(s): Lo, Lolo, le pianiste, l’albinos, hep toi là-bas... Âge (en apparence) : 16 ans (29 février) Sexe : M Nationalité : Français Orientation sexuelle : … Nord-Ouest ?... *ne comprend pas la question* (Note: Il ne sait clairement pas où il se situe et se cherche encore. Il a besoin de quelqu’un pour lui apprendre les sentiments amoureux.) Race : Lorialet Métier : Pianiste/Chanteur Taille : 1,65m Poids : 50kg Autre chose ? Câlin... Heu non! Gros câlin. <3 You look like… De padre canela nacio el niño blanco como el lomo de un armiño Je suis de taille assez petite. Je mesure à peine 1,65m pour 50kg. Autant dire que je ne pèse pas grand-chose non plus. Mon corps est svelte et bien proportionné.
Mon visage est assez fin et bien dessiné. Je possède de grands yeux bleu-gris, rehaussés de longs cils blancs, un petit nez mutin et une bouche aux lèvres fines. Lorsque je souris, mon visage affiche toujours une expression de douceur, avec mes joues bien roses, qui rougissent très facilement. Lorsque je suis triste, on voit apparaître un air mélancolique. Et lorsque je joue, mon visage prend une expression sérieuse et concentrée. Mes yeux et mon visage sont très expressifs. Je suis incapable de cacher mes émotions, même si je le voulais. On lit en moi comme dans un livre ouvert.
Je porte sur le front, au-dessus de l’œil gauche, une cicatrice en forme grossière d’étoile et en-dessous du même œil, une autre en forme d’éclair. Je l’ai depuis l’enfance, à cause d’un stupide accident de pétards que j’avais trouvé. Ce n’était pas une bonne idée de jouer avec des allumettes. Dans mon malheur, j’ai quand même eu de la chance car j’aurai pu perdre mon œil. Enfin… Comme je le disais, elle est ancienne, aussi, aujourd’hui elle ne me fait plus souffrir. Par contre, elle est très visible sur ma peau blanche, à cause de sa couleur rougeâtre.
Mes cheveux sont courts et blancs. Les mèches qui encadrent mon visage, quant à elles, sont un peu plus longues et cachent parfois mon regard d’acier. Depuis peu, j’ai décidé les laisser pousser un peu plus, pour les avoir jusqu’aux épaules.
J’ai l’oreille gauche percée et je porte un discret pendant en or ou un perle bleue foncée en lapis-lazuli ou blanchâtre en pierre de lune.
Mes mains sont longues et délicates. Mes doigts sont fins et agiles. Pianiste depuis des années, ils sont devenus souples et aériens. Lorsqu’ils s’abattent sur le clavier, c’est avec grâce et légèreté.
Ma peau est assez claire aussi. Il faut dire que je ne m’expose jamais au soleil. Ses rayons sont trop agressifs. Ils me brûlent et laissent des marques rouges qui sont douloureuses. De plus, la forte luminosité me fait mal aux yeux et me donne des migraines. Je préfère éviter d’avoir à sortir pendant la journée, en plein soleil. Si le ciel est couvert ou l’endroit ombragé, ça ne me pose pas trop de soucis. Sinon, il me faut vraiment une bonne raison pour sortir. Et quand cela arrive, je me couvre, de la tête aux pieds. J’enfile des gants pour protéger mes mains et enfile une veste à capuche, afin de m’en couvrir la tête. Ou alors, je mets un chapeau. Je passe certainement pour un curieux personnage, mais même sans ma capuche aussi à cause de mes cheveux blancs hors du commun. Alors un peu plus ou un peu moins…
Je possède une voix cristalline, pure. Qui étrangement, n’a pas encore muée. Lorsque je chante, elle semble plus aiguë, semblable à celle d’une fille.
Sinon, je m’habille de manière très simple, très sobre. Des chemises blanches, des pantalons foncés et des vestes cintrées constituent principalement ma garde-robe. J’apprécie tout particulièrement les accessoires tels que les chapeaux, les foulards noués autour du cou, les gants, etc... D’ailleurs, j’ai quasiment toujours un ruban rouge noué autour du cou. Le Père Claude m’a appris à m’habiller correctement, surtout lorsque je suis sur scène. Cela fait partie de mon « costume » comme il aimait à le dire. Et j’avoue que ce n’est pas plus mal, car si cela ne tenait qu’à moi, je serais tout le temps débraillé et les cheveux ébouriffés. Je ne prends pas beaucoup soin de mon apparence car cela n'est que secondaire à mes yeux. Mais il faut bien le faire…. De temps en temps.
You are… Y las noches que haya luna llena sera porque el niño esté de buenas Y si el niño llora, menguara la luna para hacerle una cuna Le terme qui me définit le mieux est lunatique. Mon humeur est changeante et cela en fonction du cycle lunaire.
Lorsque la lune est pleine, je suis d’humeur joyeuse. Je suis très enthousiaste, souriant et jovial. Je me montre sympathique et laisse les autres m’approcher. Dans ces moments-là, les mélodies seront entrainantes et vous entendrez souvent ma douce voix. Je possède aussi un côté spontané et enfantin qui ressort beaucoup plus. Et bien sûr, mon activité favorite à part jouer du piano, c’est de contempler la lune. De me baigner dans ses rayons toute la nuit. Je me sens comme revivre. Mon cœur bat à tout rompre et un sentiment de plénitude m’envahit.
Par contre, lorsque la lune disparaît, je suis maussade, triste et mélancolique. Je me replie sur moi-même, ne souhaitant la présence de personne à mes côtés. Personne sauf de la sienne. Ma mère. Celle que je ne peux encore rejoindre, pour mon plus grand malheur. Dans ces cas-là, je reste des heures à contempler le ciel, en vain. Ou dans mon lit, à soupirer. Parfois, lorsque j’en trouve la force, je me mets derrière mon piano, pour jouer de tristes mélodies. Il m’arrivera aussi de chanter des chansons maussades qui vous feront pleurer. Ca sera la seule fois où vous entendrez le son de ma voix, dans cette période du mois. En effet, le reste du temps, je m’enferme dans mon mutisme chronique. Je m’isole volontairement du monde. La peine que je ressens m’étreint tellement que j’ai l’impression d’étouffer. La douleur est vive, violente et très difficile à vivre. Seul composer ou lire, m’aide à la supporter.
Un autre trait de ma personnalité, c’est ma créativité, ma sensibilité artistique. En effet, je suis capable de créer et de vous transmettre mes émotions à travers mon art, et ce, quelque soit le cycle lunaire. Je suis un passionné qui adore jouer des heures durant et partager sa musique. Possédant une âme d’artiste, je suis également fasciné par toutes ses créations qui bouleversent et mettent vos sens sans dessus-dessous. J’adore en particulier la poésie. Elle se rapproche énormément de mon domaine de prédilection qui est la musique. Car après tout, une chanson, n’est-elle pas une poésie ? Mais j’aime également écrire. Pas des histoires ni des nouvelles mais dans mon journal. Des choses personnelles, des ressentis intimes que je ne peux dire à personne, même pas à la lune. Mon petit jardin secret en somme.
Bien que je me produise sur scène, devant du monde, je suis plutôt quelqu’un de timide et de réservé. Je vais rarement faire le premier pas vers quelqu’un. Cependant, je ne fuis pas non plus lorsqu’on m’adresse la parole. On peut m’aborder assez facilement en fait, mais pour me faire sortir de ma coquille, j’aurai besoin de me sentir en confiance. Il faut dire que je n’y connais pas grand-chose en relation avec autrui. Je ne sais pas m’y prendre avec les autres et mon côté solitaire n’aide pas en ce sens. Finalement, mon art est le moyen à travers lequel je m’exprime. C’est ma manière de communiquer avec le monde.
Je suis également une personne très douce. Détestant les conflits, j’aurai une attitude fuyante face à une querelle. Je vais préférer retourner à mes méditations artistiques plutôt que de me disputer. De toute manière, une fois que les esprits sont calmés, il est plus facile de dialoguer.
Véritable amoureux de la nature, je peux passer des heures à rêvasser en regardant le ciel ou en écoutant la pluie tomber ou le vent souffler. On me dit méditatif et je pense que c’est assez vrai. La nature est une source d’inspiration inépuisable. Lorsque je suis en pleine phase créatrice, je peux m’enfermer des jours entiers, à travailler sur mes poèmes ou ma musique. C’est à ce moment-là que mon côté solitaire refait surface. Je ne laisse entrer personne dans mon petit monde. Je partage avec les autres, l’œuvre achevée, mais jamais ce qui se passe en coulisse. Par peur de l’inconnu sans doute. Car malgré tout, j’aimerai trouver quelqu’un… Une personne pleine de gentillesse et de tendresse que je laisserai entrer dans mon petit univers et qui m’aiderait à me sentir mieux.
Dernière chose à savoir, c’est que je suis très gourmand. Je suis un véritable ogre lorsqu’il s’agit de manger. Mes mets favoris sont le fraisiers et les choux à la crème. J’ai un gros faible pour le sucré.
Once upon a time… Dime, luna de plata, qué pretendes hacer con un hijo de piel ? Pour autant que je m’en souvienne, j’ai toujours cherché à me rapprocher d’elle. A attirer désespérément son attention et son affection. Pour moi, qui me sentais si seul, si abandonné, si déraciné… J’imaginais qu’en la rejoignant, je me sentirais mieux. Mon cœur serait sans doute pour léger. Qu’un sentiment de joie, de plénitude et de bien-être, m’envahirait. Mais c’était impossible, n’est-ce pas ? Mon cœur se serrait douloureusement. J’avais un besoin vital de sa présence. Et je souffrais terriblement de la sentir si loin de moi… Cette mère d’argent qui m’avait mis au monde pour me laisser derrière elle.
Mais commençons dans l’ordre. Jean, maréchal-ferrant dans une petite ville de la banlieue parisienne, menait une vie des plus simples. C’était un homme grand et fort, sûrement même le plus grand et le plus fort de la ville. Et malgré tout célibataire. Enfin plutôt veuf. Sa femme était malheureusement décédée d’une longue maladie orpheline. A cause de sa constitution trop faible, du moins, c’était ce que les médecins disaient, elle ne put enfanter. Jean en était forcément affecté, malgré tout, cela n’avait pas beaucoup d’importance du moment qu’il était avec son épouse adorée. Puis, elle mouru avant d’atteindre l’âge de trente ans. Des larmes, de la tristesse, de l’alcool… Jean ne vivait pas bien le deuil de sa femme. Il essayait tant bien que mal de s’accrocher à ce qu’il avait, c’est-à-dire son travail, avec plus ou moins de succès. Il se noya tantôt dans son boulot, tantôt dans la boisson. En fait, il n’était plus que l’ombre de lui-même disait-on. Il pensait qu’il était mort de l’intérieur et que plus jamais aucune femme ne pourrait lui redonner le goût de vivre.
Jusqu’à l’arrivée de cette étrangère. Une femme sublime, aux traits fins, à la peau très blanche, aux yeux d’un bleu profond si mystérieux et à la longue chevelure d’argent. Une beauté rare et presque irréelle. Cette femme était d’une toute autre condition à en juger par ses beaux habits. Malgré cela, elle acceptait volontiers d’aller se balader la nuit en compagnie de Jean. Quelques nuits par mois. Pourquoi la nuit ? Et bien, parce qu’elle avait une étrange particularité. Elle ne pouvait se montrer à la lumière du soleil, sans craindre que ses rayons ne lui brûle sa délicate peau. Elle vivait le reste du temps dans un grand manoir, entourée de domestiques. Elle était si douce et si radieuse que Jean, comme d’autres, tomba sous son charme. Il en était éperdument amoureux. Lui il demanda sa main, mais elle refusa prétextant que le temps lui était compté et qu’elle allait devoir rentrer chez elle. Sur une terre lointaine et inconnue pour Jean. Malgré tout, il ne se décourageait pas et espérait bien réussir à lui faire changer d’avis. Même s’ils n’étaient pas de la même condition, peut-être pourrait-il tout de même rester à ses côtés ? Il pensait qu’après cette nuit partagée d’amour et de passion, elle accepterait. Mais toujours pas.
Les semaines passaient. Les mois s’écoulaient. Et son ventre grossissait. Jusqu’à ce que, par une nuit hivernale et sans lune, naquit un petit être aux joues bien rondes et à la touffe blanche. Quel ne fut pas le bonheur de Jean lorsqu’il tint dans ses bras, pour la première fois son enfant. Moi.
Mais on lui dit d’emporter son fils, chez lui car « madame n’était pas mariée et que de ce fait, il aurait été mal vu qu’elle le garde ». Jean s’exécuta. Il enveloppa la nouvelle petite vie dans une couverture et l’emmena chez lui. Un enfant illégitime. Soit. Mais peut-être que ce petit être les rapprocherait. Jean l’espérait tant. Cependant, là encore, ce fut la déception… Bien plus que cela même. Ce fut la peine la plus immense qu’il n’ait jamais ressenti. Une douleur indescriptible dévasta ce pauvre Jean, lorsqu’il se rendit compte dès le lendemain que tout le monde avait quitté le manoir. Tous étaient partis, sans exception et sans laisser d’adresse. Rien. Jean se retrouva de nouveau seul, face à sa mon propre désespoir. Ou presque. Car seul, il ne l’était plus. Il y avait maintenant ce petit être chérif, pleurnichard, fripé et lui rappelant beaucoup trop son amour argenté.
Les premières années de ma vie, je les passais toujours accroché à mon père… Quand il rentrait dormir à la maison. Parfois, il restait toute la nuit dans la forge… À boire… Si je venais le voir, il me criait dessus et me disait de partir, ce que je faisais toujours en pleurant. Je rentrais et me refugiais dans le seul endroit où je me sentais relativement bien, le grenier. Il y avait une petite lucarne par laquelle passait les rayons de la lune. J’adorais rester là des heures durant, dans sa lumière, à l’observer. A chaque fois que je la regardais, que je la contemplais, j’avais une irrémédiable envie de la rejoindre. Mais comment faire ? C’était impossible ! Et à cette triste constatation, mon cœur se serrait toujours dans ma poitrine jusqu’à m’en faire pleurer.
La journée aussi, je restais la plupart du temps dans le grenier, lorsque je ne dormais pas. J’étais ce qu’on appelle un noctambule. Détestant le soleil et ne supportant pas ses rayons, je ne vivais que la nuit. Ce qui m’éloignait forcément des autres enfants de mon âge. Mais ce n’était pas si important. La solitude, avec les années, était devenue comme une amie. La plus proche, la plus intime. Celle à qui je confiais tout ce que j’avais sur le cœur.
Vers l’âge de six ans, je commençais peu à peu à sortir de mon grenier pour aller dans le champs juste à côté de la maison. De là, je pouvais observer à loisir le bel astre nocturne. Je lui souriais et lui parlais dès que l’occasion se présentait. J’avais la certitude au fond de moi, qu’elle m’écoutait et qu’elle me comprenait. Elle était bien la seule d’ailleurs. Elle savait me redonner le sourire et me mettre en joie comme personne. Mais après tout, c’était normal, vu qu’elle était la seule avec qui je m’adressais.
Une belle nuit de pleine lune, toujours assis dans le champs, j’entendis une magnifique mélodie. Intrigué, je me levais pour m’approcher de cette bâtisse à l’architecture très différente des autres maisons. Il y avait une énorme croix au-dessus. C’était ça qu’on appelait l’église ?... Curieux je poussais la grande porte et entrais. Je regardais autour de moi, avec de grands yeux ronds plein d’interrogation. Mes yeux balayaient les vitraux colorés à travers lesquels, les rayons de la lune s’infiltraient dans l’édifice. Ce qui me rassurait. C’était la première fois que j’entrais ici. Et pourtant, l’homme qui se trouvait assis là, derrière un étrange instrument, semblait me connaître. Il m’adressa un sourire chaleureux et me dit :
- Bonsoir. Tu es Lorian n’est-ce pas ?
Je fis oui de la tête mais mes sourcils froncés en disait long sur mon incompréhension.
- Tout le monde a entendu parler de l’enfant aux cheveux blancs par ici… Je suis le Père Claude. Je suis ravi de faire ta connaissance… Qu’est-ce que t’amène mon garçon ?
Il était avenant et semblait gentil. Et ne sentait pas l’alcool comme mon père. Aussi, j’osais répondre simplement et timidement :
- La musique.
- Oh je vois… Alors viens…
Il m’invita à m’asseoir à côté de cet instrument bizarre que je voyais pour la première fois de ma vie. Il appuya sur les touches et en tira une merveilleuse mélodie qui me transporta. Je sentis mon cœur s’emballer, battre à tout rompre, comme jamais auparavant. Un véritable coup de foudre.
Devant un tel enthousiasme, le Père Claude décida de m’enseigner cet art. Il m’appris les notes, à lire une partition, comment bien placer mes doigts, le rythme… J’étais un élève assidu, qui s’entrainait à la maison grâce à des cailloux blancs et noirs que j’avais ramassé pour me faire un clavier. La musique me fascinait et me procurait un plaisir incomparable. Elle m’était rapidement devenue indispensable. Et j’étais doué. Du moins, c’était ce que le Père Claude me disait. Pour moi, la musique coulait de source. C’était naturel. J’apprenais avec une facilité déconcertante et surtout je savais rendre toute son émotion à la musique. Le Père Claude me trouvait des partitions de plus en plus complexes, écrites par les plus grands. Et bientôt l’élève dépassa le maître, bien que ça ne soit pas très difficile vu qu’il n’était pas musicien de carrière.
Il m’apprit également le chant. Comment placer ma voix pour qu’elle soit juste. Le Père Claude avait une excellente oreille musicale car lui-même avait pris des cours étant jeune, mais avait préféré choisir une autre vocation. Et curieusement, bien que je sois timide et peu bavard, j’arrivais à donner de petits concerts dans notre ville. J’arrivais à jouer et à chanter devant un public. On m’applaudissait et me félicitait. Ca me remplissait de satisfaction, bien que la plus grande satisfaction fut celle que je recevais de la lune. Car j’en étais certain. Elle m’écoutait avec fierté. Quant à mon père… Et bien, je n’attendais plus rien de lui. Nous étions deux individus diamétralement opposés. Nous vivions côtes à côtes dans notre maison, chacun dans son coin tels deux étrangers.
Lorsque j’entrais dans la seizième année, mon père décéda. On ne peut pas dire que nous étions proches et on ne peut pas dire non plus que cela m’ait beaucoup affecté non plus. Et comme il n’y avait plus rien pour moi ici, je décidais de partir. Si je voulais avancer, je devais changer d’air. Je pris les quelques possessions que j’avais et pris le premier train pour la capitale. Là, j’avais certainement plus de chances de faire carrière dans la musique.
En me promenant un soir, je décidais de suivre les rayons lunaires. Ceux-ci semblaient me guider à travers la nuit. Et conduisirent à un cabaret des plus curieux. Le Lost Paradise. Intrigué, sous l’œil bienveillant de l’astre rond et brillant au-dessus de ma tête, je poussais la porte. Et un lieu magique m’accueilli. Un lieu que je ne voulus plus jamais quitter. Sous le masque Luna, quieres ser madre Surnom(s) : NM Âge : Suis dans ma troisième décennie. >< Expérience en RP : 14 ans Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : Il est magnifique. <3 Et c'est agréable de trouver un forum avec un contexte complet et des events intéressants. Comment avez vous connu le forum ? Forum partenaire : ^_^ Avez vous lu le règlement ? « Englouti par un loup gourmand ~ » |
| | | Ester Jones
Apprentie photographe Messages : 146 Date d'inscription : 26/12/2014 Age : 31 Localisation : cherchez au fond, là où il fait tout noir...
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 16:12 | |
| Bonjour ! et Bienvenuuue !!!
Encore un Lorialet x) ça pousse comme des petits pains en ce moment je trouve... ^o^ Sympathique petit personnage ! Et un pianiste en plus *q* viens là ! Câaaaaallliiiiinnnnnn ! Hum... Encore bienvenue, j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous
A bientôt ^o^ ~ |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 18:51 | |
| Hello! Merci. ^_^ Il n'y a pas beaucoup de forums où on peut incarner un Lorialet. J'étais sur deux qui ont fermé et un troisième très inactif... :/ Sinon, en général, cette race n'a pas sa place sur les forums de créatures fantastiques. On dirait qu'ils ne sont pas très connus... Ou pas très appréciés... J'avoue que j'ai été agréablement surprise de lire "Lorialet" dans la liste. <3 Oowwiiii câlins. <3 Merci encore. J'espère à très vite. |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 19:18 | |
| Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuue ! J'ai juste vu ton métier, mais je pense pouvoir le dire sans même avoir encore lu toute ta fiche : il va nous falloir un lien, puisque je joue Euterpe o/ |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 19:41 | |
| Hello et merci! Owi avec plaisir. |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 22:26 | |
| Et bienvenue ! ^^ Devine quoi ? Reilly est un lorialet, et il est féru de câlins, alors il ne faut surtout pas hésiter à venir lui en réclamer, il sera ravi un petit lien s'imposera surement si tu es partant ! Alors hâte de découvrir le petiot - Gros câlin d'avance huhuhu <3 |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Mar 2 Aoû - 23:31 | |
| Hello et merci. Ooowwwiiii. *^* Des câlins lorialesques et un lien, évidemment. <3 |
| | | Aldrick Voelsungen
Man & Wolf : I'm armed Messages : 2050 Date d'inscription : 02/06/2012 Age : 36 Localisation : Pas si loin de vous...
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Ven 5 Aoû - 20:42 | |
| Bienvenue Lorian ! Eh bien ! Tout d'abord, bravo à toi pour avoir posté une fiche terminée dans un si bref laps de temps. Sans fautes d'orthographe si je ne m'abuse d'ailleurs. Chapeau bas très cher ! Concernant ta fiche, ne t’inquiète pas du pavé, c’est une habitude ici. Les descriptions pour commencer : elles se lisent bien et facilement. C'est clair et net. On voit que ça fait longtemps que tu écris et que tu maitrises ton sujet. Les traits de caractère attribués aux lorialets, sont bien compris et traités ; là encore on voit que tu n'en aies pas à ton coup d'essai ! Bravo ! J'aurais aimé que tu te les attribues un peu plus cependant, car si on imagine aisément Lorian, son art et ses sautes d'humeur, pour autant on s'y attache moins facilement, et c'est un peu dommage je trouve. Mais c’est un détail, inutile de modifier quoique ce soit. L'histoire à présent. La trame principale est simple et efficace. Elle n'est pas sans me rappeler la fameuse chanson "Hijo de la luna" dont les paroles parcourent ta fiche. Néanmoins le changement de point de vue aléatoire entre le ressenti de ton personnage et celui, plus descriptif, d'un narrateur omniscient a tendance à perdre un peu le lecteur sans vraiment apporter de plus au texte je trouve. Du coup, on ne sait pas trop sur quel pied danser, c'est dommage. Ce qui m'a troublé également, c’est le fait que Jean n’insiste pas davantage pour voir la mère. Porter un enfant c'est loin de passer inaperçu, même chez les Légendaires. Aussi, tout son entourage devait savoir qu’elle était enceinte, Jean compris. S’il ne l’avait pas vue tout ce temps il se serait inquiété grandement je présume. Alors, je trouve ça un peu « gros » que l’excuse soit acceptée si facilement, sans qu'il ait même cherché à assister à la naissance. Même si j’entends bien que les mœurs de l’époque allaient dans ce sens. Du reste, on comprend bien pourquoi Lorian est ainsi, son caractère et sa vision du monde si particulière ; sans oublier le peu d’attaches qu’il a en général. Je respecte le parti pris d'avoir fait du père un être passif et peu à l'écoute de son fils autrement que pour lui apprendre la lecture. J'imagine que c'est lui qui la lui a enseigné vu que Lorian ne semble pas avoir fréquenté d'autres personnes. À moins que ce soit l'un des mystères que tu comptes éclaircir au fur et à mesure de tes rps ? Cependant, Lorian aurait mérité -à mon sens- que des paroissiens s’intéressent à lui après ses concerts (nocturnes ou crépusculaires je présume ?). Étant donné que c’était sûrement son seul « contact avec la société à grande échelle », je pensais qu’il serait curieux de cet autre monde où les gens seraient différents de lui ou de son père, et inversement. Ou tout du moins, qu’il saluerait le prêtre avant de partir, lui qui lui a offert la musique et semblait être plus proche de lui que quiconque. Aussi, je te demanderais juste de rajouter quelques lignes à ce sujet si tu veux bien. o/ Autrement, ta plume fluide décrit sans mal le quotidien solitaire de Lorian, son enfance presque dénuée de chaleur humaine, et emplie de la musique malgré tout. J'ai beaucoup aimé le fait qu'il réfléchisse beaucoup et j'ai hâte de découvrir ses réflexions philosophiques. /o/ C'est pourquoi, je te souhaite de nouveau la bienvenue et espère qu'on découvrira d'autres facettes du petit homme de la lune prochainement o/ |
| | | Edward White l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS lMessages : 2449 Date d'inscription : 21/12/2010
| Sujet: Re: Lorian Luca - Little Moon [terminée] Ven 5 Aoû - 21:49 | |
| Hellow Lorian ! Désolé pour le retard pris pour valider ta fiche. Avec l'event à côté, il n'a pas été facile de tout enchaîner. Mais cette fois-ci, c'est la bonne et après Aly, c'est à mon tour de glisser quelques commentaires ~ Mais dans un premier temps, comme mon comparse, je tiens déjà à saluer la rapidité avec laquelle tu as concrétisé ta fiche ! On te sent motivé et c'est chouette ! Maintenant, concernant les descriptions, je suis assez d'accord avec Aldrick. Tu as une plume sobre, mais claire et précise. Tu ne tournes pas autour du pot et dans l'ensemble, les deux descriptions dépeignent bien Lorian. Tu y inclus d'ailleurs très bien toutes les caractéristiques de sa nature, autant sur le plan physique que morale. J'ai bien aimé la petite précision sur sa gourmandise d'ailleurs, j'ai trouvé que ça te permettait de davantage t'approprier le personnage et sa race. Peut-être que d'autres innocents détails de ce genre auraient contribué à permettre au lecteur de s'attacher un peu plus à lui ? Je ne doute pas que tu en trouves bien d'autres lors de tes futurs RP o/ J'aime beaucoup ton nom d'artiste aussi ! Pour l'histoire à présent. À nouveau, je rejoins le point de vue d'Aly. Je n'ai rien à redire sur la trame générale, mais quelques incohérences, mais qui sont sans doute dues davantage à un manque de détails qu'à un oubli. C'est notamment le départ soudain de Lorian sans un petit au revoir pour le gentil prêtre qui m'a le plus déstabilisé. Est-ce que ton personnage est distrait au point d'en oublier ses amis ? Ce que j'ai trouvé le plus dommage, c'est que tu sois resté en surface pour le personnage du père de Lorian. Il ne fait vraiment office que de figuration dans l'histoire, et même si tu n'es pas tombé dans le piège du père violent, j'ai été un peu… frustré, qu'il ne cherche pas à plus s'impliquer dans sa vie alors qu'il était tout ce qui restait de la seconde femme perdue en peu de temps. D'autant qu'à l'époque, une bouche à nourrir dans un milieu ouvrier doit rapidement être rentable. Est-ce que Jean n'aurait pas essayé de l'initier à son métier ? Après je ne te demande aucune correction, ce sont juste de petites notes auxquelles penser pour la suite. Même si tu en as peut-être prévu déjà une bonne partie. x) Du coup autre chose à laquelle il faudra songer. Tu nous as dit que Lorian avait appris la musique auprès de l'éclésiastique, est-ce aussi le cas pour les rudiments scolaires (lecture, calcul, écrit…) ? Je te laisse aviser et nous le faire découvrir plus tard, sauf si tu souhaites le mentionner dans ta fiche, auquel cas, tu peux la modifier o/ Et c'est tout pour mes remarques ! Aucune faute, ou alors je les ai ratées ! xD Je t'annonce donc que tu es VALIDÉ ! Je vais de ce pas t'ajouter au groupe des artistes. Je te laisse suivre les indications suivantes pour terminer ton inscription. Surtout, si tu as des questions, n'hésites pas ! o/ Bienvenue au Lost Paradise Il faut maintenant... ♤ Faire ta demande de rang ici. ♧ Pour les relations, c'est par là. ♢ Demander de RP c'est ici. ♤ Créer ou utiliser des PNJs c'est là.
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