1 - Les textes, livres, qui ont vous ont marqué ?

Hum, pas mal en fait. ><

En livre, les classiques bien sûr, la bibliothèque verte, les livres pour adolescents surtout, dans un premier temps autour de l'époque greco / romaine / athénienne, puis les récits à l'époque du roi soleil, plus de fantasy par la suite, les débuts de certains comme Pullman ou J.K Rolling, mais parmi ceux qui m'ont le plus marqué, il y a le royaume de la rivière, un des rares livres qui m'ait fait pleurer, avec One Piece (si, si), et qui revêtent pour moi une certaine importance de ce fait. Je trouve qu'un ouvrage capable de faire ça, pour quelqu'un comme moi, qui suis hélas plutôt hermétique à ce genre de choses, est vraiment quelque chose de fort. D'autant que malgré mon jeune âge de l'époque, je ne pouvais anticiper pareille fin, ce qui était très cool. Beaucoup de conceptions / productions actuelles, ne me surprennent plus à ce niveau là. Du coup, pour moi, cette œuvre a vraiment été marquante en ce sens, plus que dans le fait de créer de toutes parts un univers foisonnants d'idées, comme le ferait Tolkien, ou d'arborer des comparaisons incroyables à la Pratchett. Ce qui n'enlève rien à ces auteurs au contraire ! Simplement ça me marque moins.


2 - Une sensation qu'il / elle adore. (Proposé par Frédéric.)

Manger du chocolat et les papouilles au même niveau. Mais s'il scande le premier à tout va à qui veut bien l'entendre, pour le second en revanche ne comptait pas sur lui pour en dire un traitre mot sans une très très très grande dose d'intimité.


3 - Est-il / elle tactile ?

Ça dépend avec qui.
Au travail Aldrick touche le moins de gens possibles et inversement surtout. Mis à part pour arrêter les méchants cela va de soi.
Dans l'intimité... C'est assez rare que les gens s'y aventurent ; mis à part sa famille très proche, ce qui l'attriste un peu parfois. Néanmoins, ses rares amours lui ont apportés de beaux moments et le brun n'est que rarement contre une caresse féminine, pour peu qu'elle ne soit pas imposée par la belle.

Question au rôliste
1 - Les textes, livres, qui ont vous ont marqué ?
Alors j'en ai plusieurs évidemment, mais celui qui me vient le plus en tête, là, comme ça, c'est Le Rapport de Brodeck, par Philippe Claudel. C'est un livre assez court, autour de 200 pages, mais d'une intensité et d'une puissance qui m'a profondément marquée. Les thèmes abordés s'articulent autour de la Seconde Guerre Mondiale donc je ne le recommanderais pas forcément aux âmes sensibles, mais il est vraiment magnifique et la plume de l'auteur est un délice.

Question à sa muse
2 - Une sensation qu'il / elle adore. (Proposé par Frédéric.)
Narcisse : La corde sous ses pieds, et l'adrénaline lorsqu'il fait un geste dangereux. C'est assez paradoxal pour quelqu'un d'aussi obsédé par sa propre sécurité que lui, mais dans l'acrobatie c'est différent : il ne peut pas s'en lasser. Ah, et le soleil contre sa peau, aussi, tout simplement.

Ashton : L'air marin contre sa peau, l'iode et le sel, tout ça, ce sont des choses qu'il adore. La partie suivante répond plus ou moins à la question d'après mais c'était un indispensable : il adore aussi la sensation d'une peau contre la sienne, que ce soit dans une caresse, un baiser, une étreinte...


3 - Est-il / elle tactile ?
Narcisse n'ose plus vraiment s'accorder de contact physique avec d'autres personnes, mais il apprécie quand il en reçoit. Il n'est pas tactile à proprement parler et ne recherche pas spécialement ce genre d'interaction, mais s'il devait être franc il dirait qu'il aime bien ça quand même.

Ashton est tactile, et ça ne surprend personne. Baise-mains, baisers, tapes affectueuses, caresses, étreintes, simple main posée dans le dos ou sur l'épaule, il ne peut pas s'empêcher de rentrer en contact avec les personnes auprès desquelles il interagit. C'est l'un de ses traits les plus marqués et il vivrait très mal de devoir se passer de contact physique pendant longtemps.

Avec les gens, plutôt pas.
Avec Morgan, complètement.

1 - Les textes, livres, qui ont vous ont marqué ?

Il y en a beaucoup, mais le texte qui m'a le plus marqué est une nouvelle de Ray Bradburry que j'ai lu en 6e. Le texte est aussi bref qu'intense et m'a fait brutalement comprendre le pouvoir qu'un écrivain pouvait prendre sur son lecteur. Pour mon mini moi, ça a été une vraie révélation. Par chance, je l'ai retrouvée : Ray Bradburry - Le dragon.

2 - Une sensation qu'il / elle adore.

Celle de la pluie tombant sur sa peau, trempant vêtements et cheveux. Edward ignore pourquoi, mais ce contact a tendance à l'apaiser. Entre la sensation de froid, le choc des gouttes et le bruit ambiant du martellement de l'eau tombant du ciel, ses sens constamment en alerte se retrouvent submergés d'informations et se recentrent automatiquement sur l'essentiel. Il se retrouve avec moins de chose à analyser et à assimiler. Vous comprenez pourquoi il « oublie » souvent son parapluie.

Probablement la sensation de sa peau contre le bois d'ébène de son violon. À moins que ce ne soit la vibration des cordes sous ses doigts. Nul doute que tout ce qui touche de près ou de loin à son violon évoque quelque chose d'agréable pour Andréa.

3 - Est-il / elle tactile ?

Nop. Niete. Hors de question. À de très rares exceptions près (comprenez quelques personnes qui se comptent sur les doigts d'une main), Edward déteste qu'on le touche. En général, sa première réaction, lorsqu'on avance sa main vers lui, consiste à un très net mouvement de recul et à un regard farouche qui se traduit clairement par : « Réessaie et je t'arrache la main. » Étrangement, il se laisse davantage approcher quand il est sous sa forme de loup, mais ce sont alors les gens qui deviennent bien plus distants.

Andréa ne vous en voudra pas pour une tape dans le dos, un décoiffage dans les règles, un bras autour du cou. Il sera surpris, mais si vous faites partie de ses connaissances, il ne se rebiffera pas. En revanche, ne comptez pas sur lui pour vous rendre la pareille, même si vous êtes un bon ami. Il est trop réservé pour ça et aura trop peur de vous déranger pour s'y aventurer.

Question au rôliste
1 - Les textes, livres, qui ont vous ont marqué ?
Il doit sûrement en avoir plus, mais j’en ai trois qui me viennent en tête. Les deux premiers ont changé ma vision à différent niveau. Il s’agit du dernier tome de la trilogie À la croisée des mondes de Phillip Pulman Le miroir d’ambre. Et la trilogie Les Mondes Parallèles de John Twelve Hawks.
Mon dernier est sans nul doute Spectre de Dean Koontz. Le seul livre d’horreur qui m’a, pendant un bref moment, quelque peu émoustillé les nerfs et m’a redonné le goût pour ce style d’écriture.


Question à sa muse
2 - Une sensation qu'il/elle adore. (Proposé par Frédéric.)
Ryden : *Cette partie a été censurée afin de préserver les chastes yeux d’un public trop jeune * Maudite censure !
Oudji : Les rayons de soleil sur ma peau ! Ou la chaleur réconfortante d’un feu de camps sous un ciel étoilé !

3 - Est-il/elle tactile ?
Ryden : Contrairement à ce que vous pourriez penser, je ne le suis pas tellement. Évidemment, je le suis un peu plus avec la gent féminine. Mais j’ignore pourquoi, les hommes ont une tendance à l’être vis-à-vis de moi. C’est souvent des contacts brefs, forts et plutôt répétitifs. Que voulez-vous, ils se sentent obliger de toucher mon corps d’Apollon.
Oudji : Non. J’évite de toucher les gens dans la mesure du possible.