1 - Une œuvre horrifique qui vous a plu ?
Je ne regarde pas vraiment de film d'horreur, par contre j'adore lire des récits horrifiques, surtout les classiques au style un peu gothique. Poe et Lovecraft sont mes auteurs préférés dans ce genre.
De Poe, je recommande « La Vérité sur le cas de M. Valdemar », qui n'est pas très connu, mais m'a marqué. Et pour Lovecraft ce sera : « La chose sur le seuil ».
2 - Radin(e), économe ou dépensier(e) ?
Dépensier au début, parce qu'Edward n'avait aucune notion de la valeur de l'argent. À l'époque il était un pigeon idéal. Et puis, il a compris que c'était plus que du papier imprimé et du métal brillant. Aujourd'hui, le concept de richesse le dépasse toujours et le cabaret ne lui sert absolument pas à acroitre sa fortune personnelle. En revenche, il est devenu un bon gestionnaire et ses investissements servent souvent à améliorer l'attractivité de son établissement ou le confort de ses employés.
De son côté, Andréa n'est pas vraiment dépensier, mais il se fait facilement avoir. Ses achats sont surtout utiles et majoritairement réservés à l'entretien de son violon. Quand il achète une bricole, c'est souvent qu'un vendeur malhonnête lui a vendu ça comme l'objet dont il ne faut pas se passer. Il a toutefois beaucoup mûri sur ce point et voit plus facilement les entourloupes.
3 - Son invention préférée ? (Toutes époques confondues)
Aucune ? Edward déteste la technologie. Il a mis un temps fou juste à s'habituer à la sonnerie du téléphone de son bureau et ne serait pas contre sa destruction accidentelle. Il est toutefois possible que nos télécommandes modernes réveillent en lui ses pulsions de gamin. Tout contrôler en appuyant juste sur un bouton, c'est assez grisant. Il s'en lassera assez vite. En revenche tout ce qui est « commandes vocales », lui ferait vite péter un câble.
Le MP3 ! Sans aucun doute. Emmener toute la musique qu'on veut dans une si petite boîte, pouvoir l'écouter n'importe où, n'importe quand, sans gêner les autres, c'est probablement ce qui manque à Andréa dans son Paris victorien. Mais la plus belle invention du monde reste, évidemment, le violon ou la musique en général.