Il était une fois, une belle princesse marchait en chausson dans les rue crasseuse de Paris. Devinez quoi?! elle porte un panier avec tout un arsenal de coiffeuse prêtre à mener la troisième guerre mondiale contre les poux, le gras et les fourches!

En réalité, Gaia du Lac, sorcière et coiffeuse du Lost Paradise , avait été envoyée par le directeur Edwad White pour aller coiffé le rival de celui-ci. "Ce cher commissaire à des cheveux immondes, s'il dit se mesuré à moi autant qu'il soit un minimum beau..." Voilà ce qui était écrit sur le petit bout de papier qu'il avait donné à Gaia. La pauvre avait eu le malheur de coiffé le loup-garou au moment où il eu cette idée "géniale" comme il disait.
Mais voilà Gaia ne trouvait pas ça génial du tout. Et si le commissaire était de mauvais poil aujourd'hui, c'était elle qui allait trinquer. La pauvre n'avait aucune garantit que Edward irait a sauvé si elle se faisait coffrée...
C'était donc avec un noeud dans le ventre qu'elle se rendit au commissariat. L'endroit était un peu triste malgré le monde qui s'activait derrière les bureaux et dans les couloir. Devant un tel remue-ménage, Gaia se sentait quelque peu en trop. elle ne savait pas où se mettre. Un agent lui indiqua qu'il fallait se découvrir la tête par mesure de sécurité. Se fut de très mauvaise grâce que la sorcière retira sa capuche. Elle finit par trouver la réception. Un agent l'a conduisit dans les bureaux du commissaire Aldrick Voelsungen.

Mais celui-ci était absent. Gaia n'en croyait pas ses oreilles. Elle aurait fait tout ce chemin à pied et aurait découvert son visage pour finalement s'apercevoir qu'elle allait se faire grondé par le Patron et allait avoir une baisse de salaire parce que môsieur le commissaire était absent. Mais elle s'assit sur une chaise devant le bureau vide d'Aldrick sous les yeux de l'agent qui referma la porte derrière lui en repartant. aussitôt Gaia se leva laissant son panier sur le bureau. Elle inspecta la pièce espérant trouver des information sur Aldrick qui pourrait intéressé le patron au cas où elle aurait des ennuis avec celui-ci.
Une carte avec des punaise dessus, des étagères remplies de livres, de dossier et de feuilles volantes. Quelques photos et hoooo! Dans un tiroir entre-ouvert du bureau était cacher un énorme dossier sur Edward White. Gaia savait que Edward n'était pas un enfant de choeur mais quand même. Ce dossier ressemblait à une Bible du moyen-âge gros et bien remplit...

Elle entendit quelqu'un arriver. Elle rangea le tout avant de se rasseoir sur la chaise et mettre son panier sur ses genoux. C'est alors qu'elle vit Croquette sur une des étagère. Elle le menaça pour qui vienne vite ce cacher sous sa robe.
Un garçon entra. il n'était pas très grand, la preuve: Gaia le dominait d'une tête au moins. Mais elle savait que ce gosse n'était pas nette. il avait des yeux bizare et un petit sourire sûr de lui. Pitié, ce gosse n'est tout de même pas Aldrick?! Ses cheveux blond étaient horrible! gras, poisseux, plein de poux trop long et très mal coupé!! Gaia faillit s'évanouir devant un tel manque de soin capillaire! Ce gosse était un drogué elle en était certaine! Le gosse sale veut lui parler! Ho non! que faire?!

Baptiste sortit de chez lui tôt cet après midi là. Il n'avait pas de destination particulière, non, pas vraiment. Il passa une petite heure à vagabonder dans les rues animées de la capitale, puis l'ennui l'assaillit bien vite, c'est alors que lui vint une idée plutôt alléchante, s'abandonner à sa passion favorite: Titiller son supérieur et ami, le commissaire Aldrick Voelsungen. Il changea de direction et laissa ses pas le porter jusqu'au commissariat. Sur le chemin il chercha comment s'amuser avec son ami loup-garou,
il pensa à l'empêcher de faire sa paperasse, à le comparer à Edward, ou encore lui dire qu'il n'avait absolument aucune chances avec June, mais il se dit que c'était un peu trop méchant pour le pauvre commissaire qui ne lui avait rien demandé. Il réfléchit à une manière plus constructive d'embêter son ami. Il pensa à lui faire faire une "chasse au trésor", oui ,c'était une bonne idée, ça! Le faire courir un peu partout dans le commissariat pour retrouver un dossier, ou un un truc du genre... Oui, en effet trèèèèèès bonne idée, sans trop savoir pourquoi, Baptiste pensa à une parodie de Alice au pays des merveille en imaginant son plan, Aldrick au pays des merveille sonnait bien en tout cas... C'est en souriant qu'il arriva au poste de police.

Il salua les agents sur son chemin vers le bureau d'Aldrick, discutant un peu au passage, demandant des nouvelles de la famille d'un tel, des affaires d'un autre... Il arriva enfin devant le bureau de son ami, il en poussa la porte pour... constater que l'objet de son amusement futur était absent. Il fronça les sourcils et lâcha:

"Ce satané Aldrick, alors que j'ai fait tout ce chemin pour qu'il ne soit même pas là, le bougre!*

Il était très déçut. Vraiment. Tu me déçoit beaucoup, Michel! Euh, non Aldrick. Il avait fait tout Paris - dans la colère, on fait tous des hyperboles mes amis- Et Môoooosieur le commissaire osait être absent! Vengenace était de mise. Il farfouilla les tiroirs. Pas qu'il ne connaissait pas par coeur le contenu du bureau de son ami, mais... on ne sait jamais. Il faut toujours se mettre à jour. Et miracle! Aldrick y avait laissé de petits objets qui rempliraient le rôle parfait de la petite vengeance de Tom pouce.... Des balles. Un sourie triomphant orna les lèvres de Baptiste. Il se saisit d'un petit pic de fer qui trainait dans sa poche et se mit à graver petit à petit des t^tes représentant des expressns étranges... Aldrick serait fou. Et il en rirait bien.

C'est ensuite une présence qui ne lui était pas familière entra. Il retourna en face du bureau le fauteuil dans lequel il avait prit place pour graver et vit une femme au longs cheveux roux, étincelants, soyeux, tout simplement magnifiques. Il eu presque à se cacher les yeux, tant ils étaient éclatant de vie et de santé. Il examina la femme plus en détails, elle était grande, mince, avait des yeux verts et une croix sur le front. Il se rapprocha, et vit que dans le panier qu'elle avait sur les genoux, toute sortes d'instruments de torture, il ravala sa salive, et se risqua à lui adresser la parole:

"Je peux vous aider, Madame? Malheureusement, monsieur le commissaire n'est pas là, mais si je peux vous être utile..."

Baptiste s'inclina un peu en disant ça, un sourire charmeur sur le visage. Il commença à lui détailler ce qu'il pouvait faire pour elle, incluant un peu de pub pour ses informations. Puis il remarqua que quelque chose remuait sous la robe de la belle femme...