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Neige

Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG

Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain.
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MessageSujet: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeDim 9 Fév - 22:26

Présentation, Lost ParadiseOriginal par Kaytseki

Merry O'Connor

Malade de Mélancolie ou la Maladie de la Mélancolie.

    Surnom(s): Marie.
    Âge (en apparence) : 19 ans.
    Sexe : masculin.
    Nationalité : américain.
    Orientation sexuelle : pansexuel.
    Race : lorialet.
    Métier : simple portier.
    Taille : 1M86.
    Poids : 61 kg.





You look like…

Il avait les doux mérites d'un simple fragment de lune.

Et les doux yeux d'un amant en peine. Les larmes emplissant ses yeux, la lune et ses millions de reflets dans les gouttelettes de ses iris. Il était un simple enfant de la lune, sa peau caressée par celle-ci, rendue laiteuse, rendue inhumaine. Il semblait peu à peu disparaitre, perdre ses couleurs comme si son être entier se faisait aspirer par l'être aimé ainsi désiré. Cet air féminin, cet air trop délicat d'une jeune femme veuve, se laissant aller aux souvenirs de l'amant. Cette beauté gâchée pour tant de raisons, son simple regard inexistant, comme aveugle. Et cet air si négligé, ses os saillant, ne laissant aucune place à la douceur de la chair, l'oubliant en désirant ce qui était dans son corps, et pourtant rejetant celui-ci. Comme si les étoiles avaient été liées entre elles, comme si les étoiles s'étaient aimées, dans sa chevelure, dans son être tout entier. Si long, si soyeux, comme un matériau précieux, encadrant son visage tout aussi blanc. Je m'étais attendue, à ce que le soir venu, il puisse briller, il puisse scintiller comme une de ces lointaines planètes. Pourtant, oui pourtant, il avait encore et encore, cette allure d'homme enfant. Ou d'enfant homme. Ses membres comme dégoulinants, pleurant à leur tour l'amant, avec pourtant, cette même délicatesse qui résidait en lui. On aurait voulu, qu'il danse. Pourtant ne sachant, ou se mettre, ou exister, d'une façon si maladroite bien loin de sa mer étoilée, il ne sait nager. Une bouche pleine et alors souriante lorsque son image était haute dans le ciel, comme pour la couvrir de baisés. Toujours me demandant, si l'âge viendrait le gâcher, ou s'il mourrait avant, s'il laisserait ses sentiments l'étouffer une bonne fois pour toute. Comme immobile, comme s'il ne pouvait s'abonner qu'à son seul et mystérieux chagrin, son seul charme, la seule énigme de son corps si frêle. Il se serait écroulé, il se serait rompu. Sans que rien ne puisse le soutenir. Ainsi avais-je toujours pensé, attirée par ces longs cils et sans doute, ces yeux vides qui n'auraient fait tomber personne. Non, personne ne se serait noyé dans la contemplation de son être, on se serait contenté, de vouloir le toucher, de vouloir vérifier son existence. Allure fantomatique, ainsi le désirant son héritage.


You are…

Il avait toujours aimé, avec ces quelques voluptés.

Lui avait toujours été empli de cet amour, de cette maladie rongeant son être petit à petit ; ne demandant alors, qu'à le briser. Oui, à briser cette silhouette délicate. Pour toujours. Il m'avait un jour confié entre lui-même fruit de ce péché, né de l'être aimé ressentant par son sang les délicates intentions de sa simple raison d'être. Il m'avait toujours semblé si las, il avait, ces quelconques rêves étoilés. Ces quelques intentions, lorsqu'il parlait, lorsqu'il vous regardait. Comme si, plus rien n'existait, comme s'il était né pour ne pouvoir que contempler l'astre tant désiré. Je l'avais regardé, me tuer encore et encore, oubliant alors qu'il aurait dû m'appartenir. Encore et encore la même mélodie, de sa voix enfantine, de sa voix bientôt trop masculine. Comme survivant à sa destinée, pourtant, se rapprochant petit à petit de sa fin soudaine. A chaque pas, à chaque regard s'isolant. Bientôt ne supportant plus ce monde, se contentant de laisser sa voix flotter jusqu'à sa réelle amante. Je l'avais vu sourire, je l'avais vu oui, laisser cette joie étrange, fascinante s'esquisser dans une simple déformation de sa légère bouche. Je l'avais vu embrasser du regard les courbes de son parent. J'avais aimé, la volupté de ces mots pourtant si rares, si précieux. Et toujours, j'avais attendu égoïstement que ma seule rivale disparaisse pour qu'il redevienne, ce simple enfant dont les simples battements de cils, comme supposant quelques larmes refoulées. Les notes de cette symphonie devenant alors, beaucoup moins perceptibles, comme si sa voix encore et encore, s'était contentée de disparaitre avec le jour naissant. Sans jamais le connaitre d'ailleurs, profitant fuir dans ces rêves à la recherche d'un rayon lunaire, d'une caresse invisible pour ces yeux humains qui étaient mien. Contemplant encore et encore ce monde nocturne, aimant sans doute ce qui aurait pu se rapprocher d'un simple cercle. Pleurant l'amour qu'il n'avait jamais eu, et pourtant pleurant incessamment leur rupture. Je le soupçonnais alors, de pleurer la sienne, celle de son esprit et peut être plus profondément, celle de son âme. Quelques hoquets emplis de mélancolie, comme remontant à la surface afin de ne pas s'y noyer et de nouveau ces quelques mots fredonnés. Dans un quotidien sans fin, répétant inlassablement son dévouement. Fait de tendresse, d'habitudes. Il avait tout d'un enfant. Tout d'un amant pourtant engagé avec une autre demoiselle. Oui, tout d'un homme aux accents bien trop enfantins, bien trop perdu dans ces réflexions, ses sentiments. Il avait, cette grâce dans le moindre de ses gestes, de ces mots et pourtant, cette détestable manie de redevenir un simple être ordinaire lorsque enfin la lune se donnait à lui. Oui, il avait ces quelques réflexes humains, écrit dans son sang lorsque enfin ces larmes invisibles avait séchées pour ne laisser qu'une simple trace dans ses rires doucereux. Il avait, ce quelque chose de mûr pourtant, de calme et réfléchi. Oui, il était à l'image du miracle qui avait dessiné sa silhouette, froid, sans jamais qu'on ne puisse le rattraper, le faire siens. Il était un simple mirage, un simple homme en accablement permanent, pleurant silencieusement sa raison d'être, ou son existence. Comme affligé de ne pas pouvoir tout simplement s'aimer, lui, simple réflexion d'un astre bien trop fuyant. Il était, empli d'un amour flamboyant et, à chacun de ses baisés, il n'arrivait à l'éteindre, à le supprimer. Ainsi pleurait-il, cet homme à la beauté si plaisante, si amer.


Once upon a time…

Il avait les doux mérites d'un simple fragment de lune.

Lui m'avait raconté, ces quelques doux rayons dans lesquels il était né, sans vraiment savoir qui de sa mère ou de cet astre l'avait le plus désiré. Pourtant, oui, pourtant, il avait hérité de cette apparence si frêle, bien trop douce pour être gâché par quelques plaisirs de la vie. Alors, il était né avec en lui, cette immense tristesse, ce regard, ne pas avoir pu rester auprès de cet être tant aimé. Il avait grandi dans une petite ville sans intérêt pour un homme sa race, se contentant des quelques caresses de sa mère déjà effrayé par le soleil brulant de cet autre continent. Son accent et ses simples pensées me faisant deviner ces quelques origines refoulées ; sans doute avait-il connu bien d'autres cabaret, admiré bien d'autres spectacle en espérant un jour se rendre sur scène et chantonner de bien nombreuses mélodies. Et alors, en me disant cela, il oubliait déjà ma propre existence pour laisser ces quelques notes douceâtres qu'il s'était fait sienne. Il avait toujours su, qu'il n'atteindrait pas un âge avancé. Qu'il ne fonderait jamais de famille. Il n'avait sans doute jamais expérimenté ce sentiment d'amour véritable, se contentant de mentir en pensant que cette créatrice était la seule chose qu'il désirait, qu'il désirerait. Alors même lorsque nos peaux se frôlaient, je me contentais d'accepter son désenchantement. Oui, alors même que je brulais de le faire mien, de l'empêcher de rejoindre ce rêve incertain, nos yeux se croisant ne laisse entrapercevoir que ce vide immense, cet esprit bien plus malade que n'importe quel autre. Sa vie fut un grand mystère, comme poussée par diverses raisons futiles. Comme espérant suivre cet astre dansant, en sachant pourtant que jamais il ne pourrait le rattraper. Il n'y a pas grand chose à raconter, pour un être comme lui. Il fut nommé d'un nom humain, d'un nom bien trop féminin pour lui. Et alors il se contenta de faire semblant, d'appartenir à un monde qui n'était pas le siens. Ne pouvant malheureusement s'intégrer dans une société ou l'on ne portait en estime qu'une simple boule enflammée. Il avait travaillé quelque temps, doté d'une intelligence et d'une finesse déléguée par le sang humain de sa mère, par ces quelques livres lui tenant compagnie quand alors, tous les autres avaient fermé les yeux sur son existence, sur ce monde nocturne auquel il tenait tant. Néanmoins, lui, se contentait simplement d'écouter paisiblement les oeuvres de ses compères, n'osant relever les yeux, n'osant monter sur scène à leur place. Il préférait, lui transmettre tous ces écrits à elle, et elle seule. Ou bien, il savait très bien que ses humeurs ne le retiendraient. Qu'ils finiraient tous bien évidement, pas ressentir cette pitié habituelle. Alors, il pleurait silencieusement. Pas pour eux, pas pour cela. Il pleurait sans réellement savoir pourquoi. On l'avait prétendu faible, ou bien simplet, on l'avait qualifié de tant de mots, sans que pour autant, on n'apprenne point à tendre l'oreille, à faire face à ses paroles qui lui restaient en travers de la gorge. Il avait fini, par aimer la solitude, ou qu'à ne prétendre l'aimer. Qu'à partir du jour au lendemain, de tous ces endroits. Laissant sa mère à ces quelques amours, à ces quelques obsessions. Ha, il s'était contenté du regard de son aimé, chaque nuit éclairant sa peau de quelques voluptés. C'est sans doute ainsi que je l'avais rencontré alors qu'il oubliait sa langue maternelle, alors qu'il devenait attiré par ce qui aurait du être, le lieu de sa naissance. C'est une histoire, que je ne peux raconter, pas encore. Pas avant d'avoir su transmettre ces quelques peines inavouées. Oui, j'avais croisé, ces deux yeux-là, typique d'un enfant de la lune. Typique d'un doux rayon nocturne, ceux-là éclairant les pas de tout veilleur. J'avais entraperçu pour la première et dernière fois, cette âme-là qui était sienne ; tapie dans l'amertume d'une compréhension trop précoce du monde. Alors, j'étais encore, jeune. Alors, il était encore, bien vivant. Des airs adolescents, quelques traits pourtant déjà mâtures. De sa carrure, né pour un tout autre métier, et pourtant intimidant par sa simple présence, son quelque chose d'inexistence. Il était comme ce genre de brise gelée lors de fraiche soirée d'hiver. Et alors, travaillant dans ce cabaret miséreux, il avait pris l'habitude de se placer en face de la scène, murmurant quelques notes semblables aux numéros défilant. C'est ainsi qu'il entra dans ma vie, de quelques susurres destinés à sa propre personne. C'est ainsi oui, que de simples paroles sans grandes importance s'installèrent entre nous. Jusqu'à, ce qu'il reparte, comme il l'avait déjà fait. Comme il n'avait jamais cessé. Une période sans importance, et pourtant déterminante. Oui, ce fut ce genre de lien, ce genre de confiance-là qui se tissa entre nous. Déjà ressemblant à sa mère par mes vices et mes passions, alors que lui, avait du gouter à tant de chair y accédant par ses simples mots, ses mots si doux, si brulants. Il n'en restait pas moins qu'un homme, cherchant l'affection d'un être qui ne pourrait jamais lui en donner. D'un être aux milliers d'enfants. C'est une période, qui ne convient qu'à moi de raconter, qui ne conviens qu'à moi de garder enfuit au plus profond de mon coeur, et ne décrivant que ses quelques habitues. Alors, je savais, qu'il reviendrait. Par le simple fait que l'on revient toujours à ceux qui nous ont aimé. C'était, comme une promesse jamais prononcée.Et puis, il tomba amoureux de cet endroit-là. Celui tant redouté et pourtant enchanté, enchanteur. Sans vraiment se l'expliquer. Sans doute parce qu'il convenait à une personne comme lui, désabusé par une vie trop éclairée de ces rayons redoutés, sans jamais pouvoir baigner dans ceux tant aimés. Il revint alors. Puisqu'il l'avait lui-même écrit dans les péripéties de son histoire. Et puis, il y eu, tous ces événements-là, tous ceux qui restent encore à conter. Tous ceux qu'il me reste encore à découvrir avant son dernier soupir. Bien proche, trop proche pour que jamais, je ne puisse aimer de nouveau, un seul fragment de lune.



Sous le masque

le plus intelligent, c'est de paraitre l'être.

    Surnom(s) : unknow
    Âge : 16 ans, bientôt 17.
    Expérience en RP : je ne me souviens absolument pas depuis combien de temps je suis dans ce monde là... Mais cela doit faire un petit moment déjà.
    Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : rouge.
    Comment avez vous connu le forum ? par une amie qui doit me rejoindre, soit dit en passant.
    Avez vous lu le règlement ? Dégusté avec du chocolat~


Dernière édition par Merry O'Connor le Sam 15 Fév - 16:13, édité 12 fois
Valentine Lefevre
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeDim 9 Fév - 22:39

Bienvenu au lost Paradise, j'espère que tu te plairas sur ce forum ^^

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Narcisse Williams
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeDim 9 Fév - 22:44

Bienvenue !
Ta fiche commence très bien; elle se lit toute seule et ton écriture est très belle, fluide ! On ressent toute la mélancholie de ton personnage, j'aime beaucoup.
Bonne continuation ! ^^

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Alice Lindel
Un cœur en chocolat
Alice Lindel

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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeDim 9 Fév - 23:08

Bienvenue parmi nous ♥ Et bon courage pour le reste de ta fiche, je dois dire que j'aime déjà beaucoup ce que j'en ai lu !
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeDim 9 Fév - 23:10

Bienvenue ! \o/
Edward White
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Edward White

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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeMar 11 Fév - 17:25

Bienvenu o/

Notre deuxième petit Lorialet, c'est un plaisir.
Je ne sais pas si ta fiche est terminée par contre (comme le petit UC est encore dans le titre), alors n'hésite pas à poster pour nous tenir informé o/

Ce que j'ai pu en lire est déjà très prometteur ~

_________________

Wup:
https://lostparadise.forumgratuit.org
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeVen 14 Fév - 18:20


    Merci à vous tous o/Et non ce n'est pas finis je traine encore huhu désolée !
    EDIT:

Invité
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeSam 15 Fév - 10:39

Ah ! Je peux enfin trouver un moment pour te souhaiter la bienvenue ! Bon en fait je voulais te dire que déjà j'adore ton personnage, et que en temps que autre petit lorialet du forum il nous faut absolument un lien de ouf ! Bah voui, on est quand même un peu frères après tout .w. en tout cas j'ai vraiment très envie de rp avec toi ! Si tu veux bien de moi of course, mais la ça risque d'être compliqué de me joindre vu que je suis en Russie ^^" Enfin j'ai réussi à me débrouiller pour venir te voir o/ bref ré-bienvenue
Ps : j'vous aime tous et bon baisers de Russie <3
Reps: je me connecte sur mon portable pour me tenir un peu au courant de votre petite vie :3
Edward White
l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS l
Edward White

Messages : 2449
Date d'inscription : 21/12/2010

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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeSam 15 Fév - 19:32

Et moi voici petit lorialet !
Je vois que Ziggy t'a déjà réservé une place bien au chaud, c'est super o/
De plus, compte tenu de ton… étonnante signature XD, je crois ne pas me tromper en affirmant que ton amie vient de nous rejoindre !

En tout cas, j'aime beaucoup ta fiche qui est très douce à lire.
La description physique à tout du tableau romantique. On imagine sans difficulté un fond simple, uniquement éclairé par la lune et où ton personnage, malgré sa fragilité apparente, attirerait tous les regards.
L'introduction du "je" pique tout de même la curiosité et invite à passer au texte suivant aussi simplement que l'on pourrait choisir de poursuivre une promenade tranquille.
La description morale est tout aussi agréable. Certaines coupures de phrase m'ont un peu fait perdre le fil, mais ton écriture conserve sa plume poétique. J'ai bien aimé les retours réguliers de "encore et encore" qui appuie sur les traits rêveurs de Merry, peut-être dommage que ce rythme ne soit pas mis un peu plus en avant. Selon moi, le manque de paragraphe a dû l'étouffer un peu. Mais ça reste très délicat cela convient tout à fait à ce qui se dégage de Merry.

Passons à l'histoire.
C'est un récit bien mystérieux que tu nous as fait là.
On réussit à percevoir quelques-uns des grands moments de sa vie, sans avoir plus de détails.
Merry reste inaccessible et jalousement gardé par un narrateur passionné. Le Lorialet semble également toujours sur un fil, prêt à s'éteindre au moindre souffle jusqu'aux dernières lignes qui laissent entendre qu'il a enfin trouvé sa place.
J'aime beaucoup l'idée qu'il rêve de scène sans oser s'y aventurer, ça donne des possibilités à ton personnage tout en le rendant très attachant.
Peut-être le manque de paragraphe pêche-t-il un peu à nouveau, empêchant au lecteur de reprendre son souffle dans sa lecture, mais d'un autre côté, ça sert à ton récit en "brouillant" les pistes.
Ajoutons à cela un style toujours aussi onirique, qui permet de laisser aller son imagination et on obtient un cocktail aussi doux que sucré que l'on déguste avec plaisir. J'ai vraiment hâte de voir ce que ça donnera en Rp !

Ta correction a fait beaucoup de bien au texte ! On ne trouve plus que quelques fautes, mais rien de bien méchant. En voici certaines que j'ai repérées :
Merry a écrit:
se mettre, exister
la couvrir de baisers. // chacun de ses baisers
être (?) lui-même fruit de ce péché
lorsque enfin ses larmes invisibles avait séché
sans doute avait-il connu bien d'autres cabarets, admiré bien d'autres spectacles

J'ai donc le plaisir de te dire que tu es VALIDÉ.

Je vais tout de suite t'ajouter au groupe des employés et je te laisse suivre les indications suivantes :

Bienvenue au
Lost Paradise

Il faut maintenant…
Faire ta demande de rang ici.
Pour les relations, c'est par .
Pour une demande de RP c'est ici.
Pour suivre l'intrigue c'est
Pour fêter la Saint-Valentin c'est ici !Et bon RP parmi nous !
https://lostparadise.forumgratuit.org
Aldrick Voelsungen
Man & Wolf : I'm armed
Aldrick Voelsungen

Messages : 2050
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Age : 36
Localisation : Pas si loin de vous...

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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitimeLun 17 Fév - 19:37

Avec beaucoup de retard, bienvenue au Lost !

Edward a déjà tout dit, alors je tiens juste à ajouter que ta plume est très poétique, et que même si on s'y perd un peu, c'est très déroutant et ça a un petit goût de "reviens-y" -particulièrement addictif.

Il me tarde d'avoir le plaisir de te lire prochainement Merry. Wink

_________________
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MessageSujet: Re: In our house made of paper, your words all over me. //END   In our house made of paper, your words all over me. //END I_icon_minitime

 

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