1 - Préférez-vous écrire du point des personnages féminins ou masculins ? Ou peu importe ?

Plutôt masculin. Aldrick aidant, je suis devenu moins doué avec les terminaisons et accords féminins. Du coup, par "facilité", je préfère les personnages masculins. Ça a longtemps été l'inverse étonnement. En revanche, s'il y a pléthore de personnages, j'essaie de faire attention et de tout bien relire pour éviter les fautes. Ça ne me dérange pas de passer de l'un à l'autre, mais je reste plus à l'aise avec le masculin.  


2 - Plutôt mourir que de... ?

Supplier Edward ou perdre, par sa faute, un nouveau membre de sa famille proche. Ex-æquo. Le reste il devrait vaincre.

3 - Son comportement dans une conversation de groupe ?

Il varie en fonction du groupe.
Avec ses collègues, il sera surtout très trop sérieux, ultra pro, peu enclin à plaisanter dans "les moments de travail pur". Dans les moments plus détendus, il les voit comme des amis pour la plupart et s'il ne peut leur parler de tout, il n'est pas rare qu'il court après Allan, si une de ses farces l'a surpris, pour lui faire passer -en vain- l'envie de recommencer.
Aldrick est plus naturel avec sa famille, ses sœurs notamment, même si l'humour est loin d'être son point fort. Plus tendre avec sa mère, il aura tendance à être plus tactile si son beau père n'est pas dans les parages. Autrement, moins il passera de temps en compagnie de Julian, mieux il se portera. Eric, son petit frère, ne l'ayant que peu approché, il est rarement à l'aise en sa présence, car il a toujours l'impression que le moindre ses gestes va l'effrayer et le faire fondre en larmes ; ce, quelque que soit son intention.
Plus sociable avec les autres lycanthropes, il lui arrive d'être plus bagarreur car ils peuvent répondre à force plus ou moins égale. Sauf avec Andréa, qu'il ne veut pas brusquer. Contrairement à Edward ou Tala qu'il enquiquine volontiers dans l'espoir d'une répartie plus virulente.
Du reste, s'il est plutôt sociable globalement, il est rare qu'Aldrick soit véritablement intime avec les autres, aussi, il rit peu aux éclats, mais se dispute régulièrement avec ceux qui parlent sans réfléchir. Hormis pour les artistes du Lost, dont il se sent plus proche (de part leur nature de Légendaires) et pour lesquels il a généralement beaucoup de respect, voire d'affection pour certains.
Le reste des Parisiens l'indiffère majoritairement, même s'il reste poli à leur égard, s'il n'a pas échangé à minima avec eux, il ne leur portera pas grand intérêt.

1 - Préférez-vous écrire du point des personnages féminins ou masculins ? Ou peu importe ?

Les personnages masculins me viennent plus naturellement. J'ai souvent peur de tomber dans les clichés lorsque j'incarne une fille, du coup j'en utilise rarement en personnage principal. Cela dit, j'ai un peu évolué sur ce point et j'ai beaucoup moins de mal à les incarner maintenant. Je crois avoir plus de facilité à leur donner des personnalités crédibles et attachantes.

2 - Plutôt mourir que de... ?

« Répondre à cette question. » Petit paradoxe que voilà. C'est en tout cas le genre de question qui ferait hausser un sourcil fatigué à Edward, précédant un soupir blasé. Ce type d'interrogation lui apparait sans intérêt et lui rappelle que l'humanité est spéciliste pour se poser des problèmes qui n'existent pas.

Donner, perdre, casser son violon. Quoi qu'Andréa a tellement grand cœur qu'il serait capable de le sacrifier si ça peut aider quelqu'un. Nul doute aussi qu'il préfèrera se sacrifier plutôt que de faire du mal à autrui. Son oncle le sait et lui a promis de l'arrêter s'il perdait pied une nuit de pleine lune.

3 - Son comportement dans une conversation de groupe ?

Assez similaire, mais pas pour les mêmes raisons.

Edward est toujours dans l'observation. Mis à part avec son cercle familial proche o`il se relâche un peu, il aura tendance à rester en retrait et tendre l'oreille. Il répondra si on l'interroge, ou s'il juge que ce qu'il va dire apportera vraiment quelque chose à la conversation. Sinon il ne préfèrera se taire et se contentera d'enregistrer chaque information et chaque comportement pour plus tard. Même quand la conversation prend un tournant qui lui déplait, il choisira d'en apprendre le plus possible de son opposant et éventuellement retourner ces informations contre lui plus tard.

S'il reste en retrait, c'est soit parce qu'Andréa est rongé de timidité, soit parce qu'il rêvasse. Quand la conversation l'intéresse, il sait se montrer très à l'écoute, trop même, au point au point d'oublier de s'imposer et de faire entendre sa voix. Même quand il fait l'effort de participer, il essaie toujours d'attendre un moment de blanc, de peur de couper la parole, aussi l'échange se fait souvent sans lui. Comme il se déconcentre facilement, il lui arrive de totalement déconnecter d'une discussion, auquel cas il faudra probablement l'appeler plusieurs fois avant d'avoir une réaction. Il rougira et s'excusera en entremêlant ses longs doigts.

Question au rôliste
1 - Préférez-vous écrire du point des personnages féminins ou masculins ? Ou peu importe ?
Peu m’importe, mais j’ignore pourquoi, à l’écrit, j’opte plus souvent qu’autrement pour des personnages masculins. Faut croire que le sexe fort (c’est ce qu’on dit, pas moi) m’inspire plus.

Question à sa muse
2 - Plutôt mourir que de... ?
Ryden : Que de continuer à répondre à vos stupides questions ! Non, mais vous êtes un puits sans fond !? Voulez-vous savoir à quoi ressemblent mes sous-vêtements ? En fait, je suis étonné que vous ne l’ayez pas encore posé… Pourquoi tu continues, alors ? Parce que ! Ce n’est pas une réponse. Hé, Ryden… mais où vas-tu ? Ryden ! RYDEN ! MOURIR ! … Le jeune sphinx se retourne vers vous avec un sourire gêné. Ne vous inquiétez pas, il va revenir… je pense… Attendez, je vais aller m’en assurer.
Oudji : Voir quelqu’un se sacrifier pour moi… et de vivre avec ce poids. Ça toujours été ma plus grande angoisse.

3 - Son comportement dans une conversation de groupe ?
Ryden : Impeccable. Vous me prenez pour qui ?! Je participe, je donne mon opinion, tout en laissant la place aux autres. Je suis bien élevé, quand même ! Avouez, vous pensiez que j’étais le genre à être toujours le centre de l’attention. Ah !
Oudji : … celui qui interagit sans monopoliser l’attention, je dirais. Mais ça pourrait aussi être celui dont on oublie l’existence.