N'aervej by Allagar
Médélysse Faure
Tout peut se vendre
- Surnom(s) et/ou nom d'artiste : ///
Âge (en apparence) : la 30taine
Sexe : Féminin
Nationalité : Française
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Race : Vouivre
Métier : Trafiquante
Taille : 162 cm
Poids : 68 kg
Conviction :
[] Neutre [] Pro-Légendaires
[] Anti-Légendaires [X] Indéterminée
Membre d'un parti
[X] Non [] Pro-Légendaires [] Anti-Légendaire
De corps…
Glissant un pied dans l’eau fumante de sa baignoire, Médélysse laissa échapper un soupir d’aise. Sa silhouette callipyge disparut rapidement sous la surface, ne laissant à découvert que ses épaules et son visage. N’étant pas bien grande, ses pieds n’atteignaient pas l’autre bout de la grande cuve, ce qui ne manquait jamais de la faire sourire lorsqu’elle songeait que,
sous une autre forme, son appartement tout entier ne serait pas suffisant pour la contenir.
La jeune femme ferma les yeux en se laissant glisser un peu plus dans l’onde. Après des années passées à se baigner dans des étangs ou des fontaines glacées, rien ne valait le luxe de sa salle de bain et de l’eau chaude. Au diable les traditions, elle aimait mieux son petit confort.
De plus, sa salle d’eau privée présentait un autre avantage notable : sa précieuse escarboucle pouvait reposer dans son écrin sans risque d’être dérobée. Le joyau, gros comme un poing, avait été placé dans une boite en bois sombre, tapissée d’un velours bleu nuit pour mettre en valeur la couleur sanguine de la gemme. Il attendait sagement sur une petite étagère que sa propriétaire le récupère une fois sortie de l’eau.
Une agréable torpeur engourdit tout le corps de la vouivre et elle s’autorisa à fermer un instant ses grands yeux couleur lavande. Le manque de sommeil ne marquait pas facilement son visage mutin, pourtant elle le sentait peser sur ses épaules et ses paupières. Il fallait qu’elle s’accorde plus de repos...
Des coups légers frappés à la porte tirèrent la baigneuse de sa somnolence et une voix lui rappela qu’elle était attendue ailleurs. Combien de temps s’était écoulé ? Il lui semblait que cela ne faisait qu’une seconde. Avec un soupir dépité, Médélysse consentit à s’extirper de son bain pour retourner aux affaires qui avaient besoin de son attention. Mais puisqu’il n’était pas question qu’elle se prive de ses petits rituels, elle veilla à prendre tout son temps.
Encore dégoulinante d’eau et sans considération pour la personne qui viendrait essuyer le sol, elle ignora royalement les serviettes, pourtant moelleuses, qui reposaient près de la baignoire et prit place sur un petit tabouret face au grand miroir de sa salle de bain. Quoi qui puisse se trouver de l’autre côté de la porte, elle ne l’affronterait pas sans un passage obligé face à son reflet.
Armée d’un peigne en ivoire, elle entreprit donc de démêler l’interminable chevelure noire qui lui couvrait le dos et les hanches. La lumière y accrochait des reflets bleu violine tout à fait uniques et dont elle était très fière.
Ainsi peignés en arrière et maintenus par l’humidité, ils dévoilaient son front habituellement couvert de quelques mèches coupées courtes pour dissimuler plus aisément la pierre qu’elle portait. À présent que cette dernière était retirée, il ne subsistait qu’une trace pâle et ovoïde à la lisière de ses cheveux, étonnamment plus petite que les dimensions de la gemme dans l’écrin.
Médélysse sourit à son double : elle se trouvait belle. Sa peau d’albâtre et ses longs cils lui valaient bien des compliments, son sourire malicieux charmait facilement les hommes et ceux qui n’y étaient pas sensibles ne manquaient pas d’apprécier la générosité de sa gorge. Elle n’avait pas l’ingénuité de ses années d’adolescence, mais se contentait fort bien de ces allures sulfureuses qu’elle aimait adopter lorsqu’il fallait faire tourner quelques têtes.
En vérité, toutes les stratégies étaient bonnes pour faire oublier les hideuses cicatrices dont elle était couverte. Zébrures et crevasses venaient lui fendre la peau comme une poupée de porcelaine que l’on aurait foulée du pied. Elles formaient des traînées à l’éclat métallique tout le long de son corps, à croire que l’on avait tenté de couler de l’or dans ses plaies. Dos, mains, visage, poitrine, cuisses et chevilles, rien n’avait été épargné par ce qui était désormais le souvenir pénible d’une mauvaise rencontre avec un Djinn.
Médélysse avait longtemps pleuré sur sa beauté qu’elle croyait alors perdue avant de décider qu’elle arborerait ces marques avec fierté. Cependant, elle ne put s’empêcher de jeter un dernier regard, plus hésitant, à son reflet tandis qu’elle se relevait, s’attardant sur les sillons dorés qui lui griffaient le dos.
L’escarboucle retrouva bien vite sa place sur son front, s’incrustant par enchantement dans le front de la vouivre. Cette dernière sortie enfin de la salle de bain sans s’embarrasser de pudeur pour se mettre en quête d’une jolie robe.
Coquette, la jeune femme aimait à porter des tenues à la dernière mode et de grands chapeaux assortis. Après tout, mieux valait toujours paraître sous son meilleur jour lorsqu’il était question d’arpenter les rues de Paris.
- En bref:
162 cm • Toujours bien habillée • Couverte de cicatrices dorées (causées par la magie) • Voluptueuse • Teint pâle • Très longs cheveux noirs aux reflets violets • Iris couleur lavande • Visage expressif • Gemme rouge sombre en haut du front
...et d'esprit
Corsetée, gantée et chaussée, Médélysse monta d’un pas sûr dans le fiacre qui l’attendait au bas de chez elle. Le ciel était assombri de lourds nuages qui promettaient un orage dans peu de temps. Toute la capitale étouffait sous une chape de plomb depuis plusieurs jours, un peu de pluie ferait le plus grand bien. Et en tant que créature aquatique, la vouivre avait une préférence pour le mauvais temps.
Un homme l’attendait à bord de la voiture, assis sans considération au milieu du seul siège présent, les jambes croisées et un épais barreau de chaise au bec. La fumée avait envahi l’habitacle malgré les fenêtres ouvertes, donnant l’impression que le fiacre était en feu. Pourtant, ni l’odeur ni les volutes ne semblèrent déranger la jeune femme qui se fendit même d’un sourire en se lovant sans honte contre l’occupant du véhicule. Les chevaux piaffèrent et se mirent en route.
Dépliant un éventail qu’elle semblait sortir de nulle part, Médélysse tenta de trouver un peu de fraîcheur dans cette atmosphère étouffante qui lui donnait envie de se dévêtir. Les belles robes et les jolis gants lui plaisaient, cependant elle n’avait jamais d’hésitations à se promener en tenue indécente lorsqu’elle le pouvait.
Les déshabillés légers, les chemises de nuit et autres robes exotiques qui ne manquaient pas de faire hausser les sourcils à la bonne société parisienne avaient une place particulière dans son cœur. Mais quoi de plus naturel pour une créature habituée à se baigner nue dans le moindre point d’eau ?
Tandis que le fiacre remontait la rue pour prendre la direction du 10ᵉ arrondissement, la jeune femme observait du coin de l’œil les passants : hommes et femmes, certains avec un brassard et la plupart sans aucuns signes distinctifs. Tous avaient l’air de vaquer à leurs occupations comme d’habitude et pourtant l’atmosphère de la ville toute entière avait changée. Une agitation silencieuse, une méfiance encore dissimulée avait saisi tous les habitants
La vouivre sentit ses lèvres s’étirer en un sourire narquois. Depuis l’Heure Pourpre, les cartes avaient été redistribuées et si beaucoup redoutaient que n’éclate le chaos, elle n’y voyait qu’une myriade de nouvelles opportunités.
La peur était un moteur qu’elle connaissait bien. Des années durant, la crainte avait été sa compagne de chaque instant, réduisant la puissante créature qu’elle était un état de servilité qui lui donnait encore la nausée. Mais désormais, c’était à elle de profiter de la peur des autres.
Médélysse comptait bien faire de son petit business de l’ombre un empire constrictif dont personne ne pourrait se défaire. Elle s’insinuerait dans les plus hautes sphères, profitant du plus petit espace pour s’enraciner et prendre de l’ampleur jusqu’à fusionner si parfaitement avec le système en place que la déloger reviendrait à tout faire s’écrouler.
Puissante et intouchable, voilà le statut qu’elle voulait avoir. Les victimes de ses petites manœuvres ? Tant pis pour elles, la marche du monde avait toujours été dictée par cette loi simplissime : tuer ou être tué. S’il y avait des prédateurs, il leur fallait des proies. Et elle ne serait plus jamais du côté des proies.
Glissant un regard à son compagnon, elle prit le cigare qu’il tenait entre ses dents et le porta à sa bouche pour crapoter un instant, sans demander l’autorisation. Avec l’ombre d’un sourire, elle évalua sa réaction en faisant mine de ne pas se soucier de lui.
—
Ne me regarde pas avec ces yeux-là. On dirait que tu vas mordre, dit-elle d’une voix enjouée en relâchant un épais nuage de fumée.
Un bras s’appesantit sur ses épaules tandis que la silhouette se penchait sur elle, lui donnant l’impression d’être une petite souris prise au piège. Le roulement sourd d’un léger grondement fit vibrer le torse contre lequel elle se laissait aller depuis le début du voyage.
La jeune femme frémit, mais pas de peur, et leva sa main libre pour passer un doigt sur la joue du fauve dont le sourire carnassier augurait souvent du pire.
—
Mais quel mauvais caractère… fit-elle en gloussant tandis qu’elle lui rendait son fumant accessoire.
Je devrais te mettre une muselière, tu n’es pas sortable.- En bref:
Coquette • Aime le confort, voire le luxe • Opportuniste • Peu conformiste • Ambitieuse • Insolente • Autoritaire • Espiègle • Intelligente • Fière
Histoire d'une vie
Médélysse se mit à jouer avec une mèche rebelle qui s’était échappée de son chignon et venait lui chatouiller la joue. Elle faisait mentalement la liste de tout ce qu’il y avait encore à faire pour atteindre ses objectifs.
Le bruit des roues contre les pavés, l’odeur du cirage et même la tiédeur de son compagnon à travers sa robe, autant de sensations familières qui la berçaient et lui donnait tout le loisir de s’adonner à ses réflexions sans être dérangées.
Depuis combien d’années faisait-elle cela ? Sillonner Paris en fiacre, observer la foule à l’extérieur, chercher confort et distraction auprès de Galien… Cinq, ou peut-être sept ans. Quoi que non, puisque c’était précisément la durée de son séjour dans la capitale et qu’elle n’avait aucuns liens avec le tempétueux Légendaire à ses côtés à l’époque de son arrivée en ville. Alors quoi, seulement trois ou quatre ans ? Le temps filait si vide lorsque les journées étaient bien remplie.
Emplie d’une soudaine bouffée de nostalgie pour une période qu’elle avait pourtant vécue comme un enfer où seule la peur et l’angoisse avaient une place dans son cœur, la jeune femme se mit à réfléchir à voix haute :
—
Il me semble que cela fait une éternité déjà, depuis notre première course. Pourtant, je m’en rappelle comme si c’était hier. On ne peut pas dire que l’âge t’ait rendu plus tendre, mais je suis contente que tu ne sois plus aussi désordonné lorsque tu chasses. C’était un tel bain de sang… J’ai bien cru qu’on ne récupèrerait rien ce soir-là.Un souvenir dont elle pouvait rire à présent, mais qui avait manqué de lui faire avoir une attaque cardiaque au moment des faits. Rien dans son enfance n’aurait pu la préparer à cette vie parisienne qu’elle menait désormais.
Née dans les sombres forêts de la montagne vosgienne, Médélysse n’avait longtemps connu que la vie sauvage, le quotidien des gens de la campagne et la tranquillité d’une nature encore pleine de mystères pour l’homme. En ce temps, elle pouvait courir à travers bois sous une pluie battante sans se soucier d’être aperçue, elle pouvait étirer ses ailes dans la brume froide de l’aurore, se faire les griffes sur des souches et se baigner dans des lacs loin de toute civilisation. Le bonheur simple et insouciant de l’enfance.
Mais avec l’âge était venu l’envie, le besoin d’étendre ses horizons et la soif d’en apprendre plus sur ce monde dont elle devait se cacher malgré les formidables forces dont elle disposait. Elle s’était rapprochée des villages, puis s’était risquée en ville, laissant derrière elle les montagnes et la forêt. Jusqu’à ce qu’il lui faille une ville plus grande et plus animée encore.
Elle avait à peine plus de 20 ans lorsqu’elle avait posé ses valises à Paris, pleine de rêves naïfs. Il n’avait pas fallu longtemps pour que des Légendaires ne la repèrent à son insu et n’imaginent comment mettre à profit son manque d’expérience.
Il avait suffi d’un instant d’inattention, une erreur bête, un manque de vigilance, et son escarboucle se retrouva entre les mains d’un homme qui deviendrait son bourreau pour les années à venir.
—
T’ai-je déjà dit à quel point nous avons frôlé la mort de peu ce soir-là ? Ces organes de loup-garou étaient si abîmés qu’Il m’a accueilli en me posant une arme contre la tempe, prêt à tirer. Il hésitait vraiment à se serait débarrassé de moi avant d’aller te chercher par la peau du cou et te disséquer pour remplacer les morceaux manquants. Ce vieux salopard rêvait de se faire une descente de lit avec ta peau, mon loup.Perdue dans ses souvenirs, la jeune femme ne se retourna pas pour vérifier que Galien l’écoutait. Un sourire amer lui tordait la bouche alors qu’elle revoyait ses moments humiliants comme s’ils se jouaient sous ses yeux.
—
Je crois que mes larmes de crocodiles l’on trop amusé pour qu’il se résigne à se débarrasser de nous, conclu-t-elle alors qu’elle sentait la colère monter en elle.
Humiliée, elle l’avait été à de très nombreuses reprises durant ces années de servitude. Forcée d’agir sous la menace de voir son escarboucle brisée au moins signe de rébellion, la vouivre avait vendu jusqu’à son âme pour satisfaire ce maître despotique qu’était André Lefebvre. Combien de Légendaires avait-elle traqué puis découpé en morceau pour le marché noir ? Combien d’innocent avaient finis sous les crocs de son acolyte avant d’être vendus en pièces détachées pour un prix exorbitant ?
À présent, elle ne s’embarrassait plus de culpabilité ou d’empathie, cela ne lui avait jamais attiré que des problèmes. Tant que sa propre survie était assurée, le reste pouvait bien s’écrouler autour d’elle. Car elle s’était juré que plus jamais elle ne supplierait pour sa vie ou n’accepterait d’être humiliée de nouveau.
Le fiacre s’arrêta enfin devant ce qui apparaissait comme une jolie boutique dans une rue marchande. L’enseigne était celle d’une épicerie fine et l’on pouvait voir par la vitrine des étagères pleines de bocaux à épices, des sacs de grains et des pots étiquetés. Une employée semblait affairée derrière le comptoir.
Médélysse quitta son assise, suivie de près par son gardien. D’un regard, elle lui intima de couper son cigare ou de le jeter avant d’oser mettre un pied dans la boutique, puis elle poussa la porte dans un petit bruit de clochette. L’employée la salua immédiatement avec politesse, ce à quoi la vouivre lui répondit avec un sourire bienveillant.
—
Bonjour Claudine. J’espère que tout est en ordre ?—
Oui Madame. Les livraisons seront accueillies sans soucis.—
Bien, je serai à l’étage s’il y a le moindre problème. Galien s’occupera de la porte de derrière, nous allons avoir un peu de visite.La prénommée Claudine hocha sagement la tête et s’en retourna à ses inventaires, laissant sa patronne passer par la petite porte qui ouvrait sur la réserve. Au fond de la pièce, parmi toutes les caisses, sacs et étagères, un escalier donnait sur l’étage supérieur. Là, un salon avait été aménagé avec goût et un bureau privé attendaient la propriétaire des lieux.
L’endroit était chargé de souvenirs. Il servait depuis longtemps aux négociations qui faisaient prospérer ce commerce de l’ombre dont elle tenait les rênes, et les tapis étaient régulièrement shampooinés ou remplacés puisque toutes les discussions ne se terminaient pas par une poignée de main et un sourire. Son propre sang avait plus d’une fois taché le sol et elle était prête à parier qu’il en restait un peu dans le plancher.
Mais son souvenir le plus précieux était celui d’un homme agenouillé au sol devant elle, vociférant et implorant tour à tour alors qu’elle replaçait sur son front la précieuse gemme qui l’avait quitté des années auparavant. Un sourire ourla ses lèvres alors qu’elle revivait le frisson de plaisir morbide qui l’avait saisi ce jour-là.
Certains disent que la vengeance n’apporte pas la paix de l’âme, pourtant la Légendaire n’avait jamais été plus heureuse et sereine qu’après avoir regardé son bourreau dans les yeux et avoir scellé son destin d’une phrase :
“Le Roi est mort. Vive la Reine.”
Prenant place dans le grand fauteuil derrière le bureau, Médélysse couva du regard le sombre Légendaire qui lui servait d’escorte tandis qu’il la rejoignait.
—
Ne traîne pas les pieds, le travail nous attend, mon loup. J’espère que tu as les reins solides, car j’ai décidé d’accoucher d’un empire comme Paris n’en a jamais vu.Impact de l'Heure Pourpre
• La découverte des Légendaires par le grand public l’a d’abord inquiétée, mais elle a rapidement vu les opportunités commerciales derrière cette découverte : plus de gens au courant c’est plus de clients potentiels pour ses “produits exotiques”.
• Le démantèlement de la Curia est aussi une occasion en or de se développer avant qu’un nouvel organisme de surveillance ne prenne pleinement possession du pouvoir.
• Enfin, l’instabilité politique avec l’émergence de nouveaux partis lui semble également être à son avantage et elle a le projet de jouer sur tous les tableaux pour diversifier ses activités et s’immiscer dans les sphères du pouvoir.
• Bien qu’elle ne soit absolument pas anti-légendaire, son activité principale lui interdit d’être tout à fait pro-légendaire. Profiteuse avant tout, elle espère que le chaos persistera encore et se sent prête à l’alimenter si nécessaire.
Sous le masque
- Surnom(s) : Niwl
Âge : 29 ans déjà
Expérience en RP : Très longue désormais… On va dire plus de 10 ans.
Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : Pas qui me vienne dans l’immédiat.
Comment avez-vous connu le forum ? Parfaitement par hasard : vous avez proposé un partenariat à Néréïdes. J’ai trouvé votre demande.
Avez-vous lu le règlement ? Dévoré par un commissaire lupin /o/ Prémonitoire sans doute ~