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Neige

Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG

Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain.
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 Zeno, pour votre plaisir ~ End ~

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Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ Empty
MessageSujet: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeSam 2 Mar - 17:13

Présentation, Lost ParadiseFeat Mikage ▬ 07 Ghost

Zeno Zucchero

"Lu li la, lu li la fait le son d'une chanson malheureuse ... ~"



    Nom d'artiste : Luce
    Surnom(s): Trouvez lui en?
    Âge (en apparence) : 19 ans ♥
    Sexe : Masculin ~
    Nationalité : Italienne
    Orientation sexuelle : Bisexuel, il aime autant les femmes que les hommes
    Race : Humain, mais a subit une expérience lui donnant une force & une endurance hors du commun.
    Métier : Effeuilleur, et s'occupe de la sécurité du cabaret lorsqu'il ne se déshabille pas.
    Taille : 1m77
    Poids : 52 Kilos

Autre chose ? Nothin'

You look like…

Dream, send me a sign;

Physiquement, inutile de se mentir, Zeno est très beau garçon. Des courbes brisées et un corps tout en longueur, vraiment, il aurait pu se faire engager par des couturiers de renom s’il n’avait pas lâchement fuit son destin tout tracé plus ou moins contre son gré. Du haut de son mètre soixante-dix-sept et pour ses cinquante-deux kilos, cet italien est facilement jalousé par d’autres, même si ce n’est pas flagrant au premier regard. En réalité, il vous faudra l’observer longuement pour apprécier sa beauté dans son intégralité, pour pouvoir l’apprécier à sa juste valeur. Il se dégage de lui quelque chose de splendide et mystérieux à la fois. On ne sait pas pourquoi, mais on le désire. On ne comprend pas comme c’est possible, mais on veut le posséder, ou à défaut qu’il porte un peu plus d’attention sur notre personne. C’est une entité rare et recherchée. Et il le sait. D’ailleurs, il prend un soin infini de son unité entière.

Ses cheveux, coupés courts et ébouriffés, campent sur le sommet de son crâne tel une horde de militaires obéissant à un ordre quelconque. Dès qu’il bouge la tête, tous sont de la partie pour harmoniser le mouvement au mieux. Ils sont d’un blond bien particulier. Pas platine, pas cendré et encore moins miel mais… Disons simplement que c’est une teinte un petit peu inédite qu’il a eu à la naissance. Une sorte de résultat aléatoire du loto de la génétique, sans doute. En plus, cette couleur s’allie merveilleusement bien avec le reste de son anatomie, alors pourquoi cracher dessus ?

Sa peau est légèrement halée du fait de ses origines et de sa vie antérieure passée sur les terres d’Italie, sa nation natale, au rythme des mélopées des cigales. De facto, le soleil, toujours présent dans cette partie du continent, se chargeât de gorger son derme d’une bonne dose de couleur qui fait aujourd’hui partie intégrante de son charme si particulier, purement originaire du sud. Quant à ses yeux, vade retro les clichés des beaux blonds aux yeux bleus ! Les siens sont foncés, bruns avec de petits éclats de couleurs par endroit. Et lorsque l’astre du jour y fait glisser ses rayons, attention mesdames, mesdemoiselles et messieurs, car leurs iris peuvent s’éclaircirent jusqu’à faire croire qu’elles sont jaunes. Mais ceci n’est qu’un effet de lumière, rassurez-vous !

Une bouche pulpeuse orne le bas de son visage, donnant un peu de relief à l’ensemble. Ses traits sont fuselés, fidèles au modèle dont on a pu se servir pour bâtir le patron de son corps longiligne.

D’ailleurs, parlons-en, de son corps. Sportif dans l’âme bien qu’amoureux inconditionnel de la littérature, il pratique les activités physiques telles la course à pieds ou les pompes, afin d’entretenir sa carrure. Il est entièrement bâti dans le muscle, pas un poil de graisse qui traine par ci par là ! Zeno fait en sorte de toujours donner le meilleur de lui-même, et ce, dans tous les domaines possibles et imaginables. Ses abdominaux en ont fait bavé plus d’une et d’un, soyez-en certain, de même que ses bras, puissants bien dessinés, aux contours irréprochables.

Ses jambes, quant à elles, sont souples et harmonieuses avec le reste de sa constitution. Il aime à s’étirer régulièrement et pratique des exercices pour se faire de manière très régulière, sinon journalière. Chaussant de quarante-deux, ses coups de pieds font mal, de ce fait, mieux vaut ne pas l’emmerder des masses, ce pourrait être la cause d’un préjudice à votre égard. Avouez que ce serait fort bête, non ? ~

En lisant ces quelques lignes, on pourrait trouver Zeno cliché comme étant le plus beau, le plus talentueux, ect, ect. Mais, non. Car sous cet emballage d’Adonis se cache un miasme dont il vaut mieux se tenir éloigné. C’est là tout ce qui gâche la véritable beauté première de cet individu. Voulez-vous savoir de quoi il s’agit plus en détail ? Venez donc le découvrir plus avant, pour voir ~


You are…

let me be your sweet valentine tonight ~;

On pourrait se laisser aller à croire que ce garçon, du fait de son physique, peut-être sérieux de manière constante et devenir une épaule solide sur laquelle s’appuyer.

Et bien je vous arrête tout de suite ; vous avez tort. Enfin, pas entièrement mais un peu quand même.

Pour bien comprendre, il faut reprendre point par point sa façon d’être. Alors, certes, il lui arrive d’avoir des moments de calme olympien et de sérieux à toute épreuve, mais ceci est rare et vous aurez sans doute peu de chances de le voir ainsi, pour être tout à fait franc avec vous. Le fait est qu’il préfère être souriant et joueur en permanence afin de dissimuler ses blessures et cicatrices passées, qu’il juge lui-même fort peu graves par rapport à la misère de certains autres. Ce jeune idiot n’est pas dans le faux le plus total mais bon, il serait bien que de temps en temps il ouvre les yeux sur sa propre bêtise, même si ce n’est pas demain la veille que ce miracle arrivera.

Toujours en quête de quelque chose à faire, Zeno est du genre hyperactif. Il veut se rendre utile en permanence, même si ça parait futile au regard d’autrui. Qu’il s’agisse d’aider une personne âgée à traverser la rue ou de prêter sa force colossale pour déplacer quelque chose de lourd dans le cabaret – pour une fois que cela lui sert … - il est là ! Jamais il ne dira non lorsque l’on a besoin d’aide et que l’on vient vers lui, bien au contraire, il y fonce tête baissée quitte à tomber dans un piège comme un débutant de première ! Sans doute le fait de se savoir investit de capacités … « autres » lui donne davantage d’assurance … ou d’insouciance, allez savoir ! Nous ne sommes jamais surs de rien avec ce grand imbécile !

Très gentil, le Zucchero n’hésitera jamais une seule seconde à se mettre en quatre s’il le faut pour faire plaisir. Ceci découle directement du point précédemment cité, bien entendu. Faire le pitre ? D’accord ! Dévaler les grands boulevards sur les mains ? D’accord ! Plonger dans la Seine ? D’accord !... Ah mais flûte, il ne sait pas nager, cet allumé ! Que voulez-vous, c’est ça, d’avoir été l’expérience d’un scientifique du nouveau monde un peu beaucoup carrément barge sur les bords – et encore plus au centre ! Certes, il a acquis une force et une endurance que beaucoup lui envie – ou pas … ahah – et qu’il donnerait volontiers au premier venu – true story – parce que bon, mine de rien, c’est bien pratique, mais ça comporte aussi son lot d’inconvénients ! Lui qui adorait nager, aujourd’hui il ne peut plus ! Ne me demandez pas pourquoi, mais autant pour se doucher, il n’y a pas de problème, mais des lors que vous le balancez dans un endroit où il n’a plus pied, c’est la panique à bord ! Oui, on peut le comparer à un chat, pour le coup… Il a exactement la même tête lorsqu’il se rend compte que oups ! Il ne sait plus comment se déplacer en milieu aqueux !

Il est con c’garçon, parfois.

Autre chose à souligner, de par ses origines et son éducation italienne, Zeno est un grand séducteur, un Don Juan, un romantique dans l’âme. Il pourra conter fleurette à la première jolie passante venue, qu’importe sa classe sociale et ne rien attenter avec elle tout comme il pourrat passer une nuit enhardie par la passion avec l’un ou l’une des clientes du cabaret. Très bon joueur en matière d’amour, il peut très bien flirter pour le simple plaisir d’un sourire, d’un baiser ou d’un moral remonté. Rien ne pourrait lui faire plus plaisir !

Évidemment, en bon gentleman et Casanova, il sait s’y prendre lorsqu’il veut amener quelqu’un dans son lit. Ce n’est pas un petit joueur non plus et lorsqu’il veut vraiment quelque chose, il l’obtient ! Aller demander à la fille du pasteur comment elle est devenue « femme », ahem. Très prévenant, Zeno est un manieur de mots par excellence ; un petit pourri, en somme. Faire miroiter un Eldorado a ses conquêtes d’un soir ? Sans aucun problème ! Il est passé maître dans cet art malgré son jeune âge – la vie à Paris a achevé de le débaucher plus qu’il ne l’était déjà, en plus. Mais il n’est pas violent pour autant. Il brode le vent mais n’exprime jamais sa frustration a coup de poings, surtout envers les femmes – enfin, sauf quand il n’a pas le choix pour sauver sa peau mais ceci est une autre histoire. Très doux et tendre dans l’acte, lorsqu’il passe une nuit échancrée avec une demoiselle – ou un beau jeune homme, aussi – il sait créer une ambiance intime et appréciable tout en faisant durer au maximum le plaisir. Et comme il n’est pas non plus un goujat qui tire son coup à droite à gauche, en plus de laisser quelques fleurs le lendemain matin à l’endroit où il était couché prés de son/sa partenaire, il essaie de s’informer régulièrement de leurs cas, en prenant de leurs nouvelles, même indirectement.

Un petit côté chevaleresque mal placé achève de le rendre insupportable. En effet, s’il voit une pauvre demoiselle – oui, pour le coup il aura un tout petit peu plus de mal à porter secours à un homme ... logique italienne machiste, ahem – être assaillit par les assauts malvenus d’un pauvre hère ou d’un groupe de mécréant, il ne demeurera pas insouciant et sortira le grand jeu du sérieux, quitte à en venir aux mains. Bref, c’est un petit fouineur doublé d’un emmerdeur qui vient systématiquement – pour ne pas dire souvent – s’immiscer dans des affaires qui ne le regarde en rien. Un vrai rital, quoi. Heureusement qu’il réside au cabaret parce qu’il aurait chaud au matricule s’il ne vivait pas sous la protection de ces murs-là. Mais bon, il ne réalise probablement pas la chance qu’il a, ce jeune illuminé.

Et toi, Invité, tu en pense quoi, de cet italien ? ~


Once upon a time…

Every teardrop is a waterfall;

Il ne serait pas très utile de déblatérer des heures sur la conception, la grossesse dont est issue Zeno, sa naissance, son enfance et tout ce qui s’en suit dans les moindres détails. Pour bien faire, nous irons à l’essentiel, pour ne pas vous ennuyer, mesdames, mesdemoiselles et messieurs !

En effet, il fallut bien une partie de jambes en l’air pour que le jeune homme vienne au monde, cela va sans dire. Il naquit de l’union de Teodoro & Nelia Zucchero, couple marié depuis cinq ans déjà lorsqu’il se déclarât présent par le biais d’une grossesse qui allait, comme celles de ses deux frères avant lui, déformer les courbes graciles de la jeune femme, ce qui n’était en rien pour plaire à cette dernière. Non pas qu’elle n’aimait pas ses enfants, loin de là ! La belle sylphide chérissait ses fils comme la prunelle de ses yeux … Mais bien moins que son passe-temps favori qui n’était autre que la luxure dans les bras d’autres âmes, qu’elles soient masculines … ou non. Nous n’avons d’ailleurs jamais su si Zeno ou ses frères, Francesco et Valentino étaient liés par le sang a cent pour cent ou non, en étant simplement demi-frères. Et nous ne le saurons probablement jamais. Ce n’est pas comme si c’était très important, de toute manière, puisque nul ne s’était jamais penché sur les plausibles tromperies de madame pour qu’elle cherche à arrêter les frais une fois son troisième bébé né.

Le petit homme grandit dans une atmosphère stricte et où tout était planifié d’avance, même les mariages de leurs vies futures – à l’image de leurs parents, pour tout dire. Son ainé, Francesco, était destiné, de par sa naissance en tant que premier héritier, a reprendre l’affaire familiale qui devenait de plus en plus influente çà et là en Europe et notamment dans les pays frontalier de l’Italie comme la France ou la Suisse. Teodoro possédait une ferronnerie de laquelle il tirait chaque jour davantage de bénéfices. Très riche, il attirait les convoitises de bien des femmes aux charmes luxuriants mais les repoussaient à chaque fois, n’étant pas fait du même bois que son épouse. Il était sévère et droit mais n’aimait pas moins ses rejetons, bien qu’il ne l’ait jamais montré. Ils étaient tous sa fierté et avant même que le plus grand ai six ans, leurs destins étaient scellés.

Valentino, le second, pour suivre la tradition familiale toujours, allait être envoyé à l’église pour devenir prêtre de son état et, pourquoi pas, finir Pape un jour prochain ! Pauvre garçon, lui qui depuis les débuts de son adolescence aimait tant la chair des femmes… Il dût bien se plier aux volontés de fer de son paternel qui l’envoyât dés ses seize ans à Lourdes ou il dut suivre un pèlerinage féroce tandis que le dernier né commençait simplement à apprendre ses premiers accords de guitare. Et ses premiers flirts batifolants, aussi. Il faut dire que Zeno n’avait pas vraiment de pitié concernant ses frangins. Tant que c’était lui qu’on laissait tranquille, tout était en mesure de lui convenir, soyons francs.

Mais. Il fallut bien qu’il y passe un jour, lui aussi.

Et à l’aube de ses seize ans, avant même de pouvoirs comprendre quoi que ce soit, voilà qu’on lui collait un uniforme militaire sur le dos ! Et hop là, en moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, ses cheveux furent rasés – horreur !- et il lui fallut se plier aux règles drastiques du militarisme machiste au possible, dont il conserve encore des traces aujourd’hui, notamment sa rigueur et son sens du travail bien fait. Ah oui, cela l’éveillât aussi à son gout pour les garçons. Si vous saviez tout ce qu’il se passe dans les rangs de l’armée, mes pauvres amis…

Mais tout ceci ne put durer une éternité, et bien qu’il fut promis à une carrière brillante au possible – il allait passer Capitaine de Troisième Division de Cavalerie, pour la plus grande joie de son paternel – il décidât qu’il était temps pour lui de prendre son envol comme il l’entendait et … fit exprès de se tromper de train, au hasard, lorsqu’il se rendit en gare pour rejoindre ses « camarades ». Ahah, la bonne blague. Il n’allait pas les regretter le moins du monde, c’était certain ! Sauf peut-être Julio… et Damien... Et Enrico…. Et … Bref, tout ceux avec qui il avait pu partager plus que des moments de franches camaraderies autour d’un verre de vin de qualité. Ainsi, il ne laissât pas à Teodoro l’opportunité d’être fier de lui puisqu’il fut définit comme un déserteur presque immédiatement après sa fuite. Bon, en soit, ce n’était pas tout à fait faux… Mais bon, ça l’empêchait de remettre un seul pied chez lui à partir de maintenant. Il baillât ; tant pis, il s’y ferait, c’est comme tout, parfois il ne faut pas se contenter de tourner une page de sa vie, mais il faut aussi l’arracher. C’est ainsi. Zeno avait toujours eut cette flammèche d’indépendance qui brillait dans le regard, alors il ne lui fut pas trop difficile de se détacher de son passé grisonnant.
Il allait devoir refaire sa vie ailleurs car bon, revenir en Italie au risque de se faire fusiller pour son « crime », ça ne le tentait pas des masses.

Il arrivât dans une gare qui lui était inconnue et dont il apprit rapidement le nom, la « Gare de Lyon ». Oh, bah, en effet, pour appuyer ce qu’il avait vu par-delà les vitres du train durant son voyage – lorsqu’il ne dormait pas toutefois – il se trouvait donc en France. Génial, il allait y aller au feeling, avec sa petite valise et ses maigres économies. Il verrait bien ou tout ça le mènerait, après tout. Ne dit-on pas que l’on apprend mieux sur le tas ? C’était depuis longtemps déjà la philosophie de Zeno en tous les cas. Il avançait donc en sifflotant dans les rues parisiennes, toutes somptueuses en décrochant quelques clins d’yeux aux passantes dont il pouvait accrocher le regard. C’était plaisant ! Les françaises étaient si jolies ! Il eut le coup de cœur pour cet endroit et décida, pour fêter son arrivée imprévue, de se prendre un verre dans le premier bar venu. Là, il y fit la connaissance de plusieurs ravissantes demoiselles, dont une blonde particulièrement aguichante ! Heureusement que, de par sa vie à Milan, on lui avait appris le français durant ses jeunes années! Qui aurait cru que cela aurait pu lui être aussi utile finalement ?

Il apprit qu’elle se nommait Ludivine et qu’elle allait bientôt se marier a un vieil homme qu’elle n’aimait pas. Il eut de la peine pour elle. Mariage arrangé, comme ce qui était censé lui arrivé aussi une fois sa promotion acquise. L’italien eut une rapide pensée pour sa promise d’ailleurs ; elle devait terriblement lui en vouloir d’être parti comme ça. Mais bon, c’était la vie et tout comme il ne reviendrait des lors plus sur ses pas, il se promit de faire sourire la jeune femme de toutes les manières dont il était possible pour lui de le faire. Le résultat ne se fit pas attendre et ils passèrent une nuit merveille ensemble, ce qui terminât de lui faire aimer définitivement Paris. Il était dans les bras d’une magnifique bourgeoise au corps somptueux dès sa première nuit ici ! C’était tout simplement le rêve, le paradis !

Enfin… Presque.

Parce qu’être réveillé à grands coups de barre de fer, ce n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler la définition du Paradis, en soi. Effectivement, le promis de sa belle sauvageonne avait eu vent de sa venue ici et, furieux de savoir qu’elle l’avait fait cocu avec un autre avant même d’être marié, il avait eu pour dessein de lui exploser la figure, ou au moins, de démembrer royalement le pauvre hère qui avait osé porter la main sur elle. Et dans le cas présent, c’était Zeno. Instinctivement, il s’était enroulé d’un drap blanc et, après cinq ou six coups reçus – et bien placés, sinon ce n’est pas drôle !- avait sauté par la fenêtre de la petite chambre ou la jeune femme l’avait entrainé la veille au soir. Heureusement, il tombât sur des caisses empilées les unes sur les autres et ne subit donc aucun dommage dus à la chute. Quoi que, pour dire vrai, on aurait probablement pas vu la différence entre ceux-ci et ceux provenant des coups précédemment offerts par l’homme vexé.

L’italien se carapata donc rapidement, le drap rougit par le sang sur le dos, jusqu’à parvenir, à bout de souffle dans une ruelle mal éclairée par le soleil. Il ne fallait pas qu’il se fasse trop remarqué ou le fou allait finir par lui remettre la main dessus. Déjà que le regard des passants devant qui il s’était enfuit était un étrange mélange de malaise et de dégout, mieux valait ne pas en rajouter davantage. Et c’est à ce moment précis qu’il se rendit compte qu’il avait laissé toutes ses affaires dans cette fameuse chambre. Et merde. Impossible d’y retourner maintenant. Il était arrivé à la case mendiant maintenant, magnifique début de deuxième journée en capitale française !

Finalement, il décidât qu’il n’aimait plus cette ville, nah ! Mais bon, son jugement était obscurcit par sa récente mésaventure et il se calma bien vite, en même temps qu’il se laissât glisser sur le sol, comme si cela pouvait alléger sa souffrance, même temporairement. Il sentait qu’il avait des os cassés et le sang s’évadait abondamment de son corps. Il fermât les yeux un instant, sa vision se floutant. Un son imprécis s’élevât alors près de lui mais il n’y fit pas cas et laissât Morphée droguer son esprit de sa poudre de sommeil.

Le problème, c’est que lorsqu’il se réveillât, d’accord, il n’avait plus mal, ce qui était une bonne chose, non négligeable. Mais. Il ne pouvait plus bouger non plus. Rouvrant ses yeux sombres, il expira lourdement. Ou est-ce qu’il était ? Il n’en savait rien, mais en tout cas l’endroit empestait une odeur se rapprochant de l’hôpital. Zeno y avait été une fois, plus jeune, lorsqu’il s’était cassé la jambe en faisant le guignol avec des amis. Et ça ne lui avait pas plus, mais alors pas du tout ! Il en gardait donc une trace assez traumatisante et commençât a essayer de se débattre, non sans succès puisque ce que ce qui paraissait le retenir a une table métallique commençait a crisser méchamment. C’est le moment que choisit un homme en blouse blanche pour faire son apparition dans la pièce. Oh mierda, santa maria, un médecin ! Le Zucchero haïssait ce genre de personne plus que tout ! Toujours à cause du même traumatisme, d’ailleurs. Immédiatement, tel un animal prit au piège, il se sentit obligé d’agresser son homologue, bien que sa bouche fut pâteuse à l’extrême.

    « Qui êtes-vous ? Que m’avez-vous fait !?
    -Calme-toi ! Calme-toi ! Je t’ai sauvé la vie enfin !
    -Pardon ?!
    -Oui, tu étais allongé dans une ruelle, en sang.
    -…
    -Donc je t’ai ramené ici !
    -Dans quel but ?
    -A vrai dire, tu as dormi trois semaines a causes de mes traitements, mais j’espère que tu me permettras de t’examiner un peu plus avant car les premiers résultats de mes expériences dépassent toutes mes espérances !
    -Et si je ne veux pas ?
    -Ma demande n’en était pas vraiment une, si tu vois ou je veux en venir. » déclarât l’homme plus mûr tout en s’accrochant du blond avec une paire de ciseaux.
Oui, ça lui revenait maintenant. La jolie future mariée blonde, le réveil à cause de barre de fer, la fuite par la fenêtre, la ruelle… Tout devenait infiniment plus clair pour lui, désormais. Mais ce n’était pas pour autant qu’il allait se laisser charcuter sans rien dire ou rester docilement là comme une souris en cage ! Rassemblant toutes ses forces, il fit sauter les sangles qui le maintenaient prisonnier et en profita pour décoller la mandale du siècle a l’autre pourriture avant de prendre la poudre d’escampette, ne prêtant pas attention aux protestations de son geôlier. Il finit par trouver la sortie de manière un peu beaucoup aléatoire et se retrouvât en pantalon rapiécé dans une rue parisienne, en pleine nuit. Il ne faisait pas très froid, mais le manque de vie des lieux donnât des frissons à l’italien qui s’empressât de courir aussi vite et loin qu’il le put.
Sa course folle et éreintante le guidât jusqu’au parvis d’une église qu’il contemplât une poignée de seconde avant de s’effondrer juste devant la porte. Comment il était arrivé là ? Il ignorait, mais rebelote, encore une fois il se réveillât dans un lieu inconnu, une serviette humide sur le front. Lorsqu’il vit un visage sympathique mais inconnu, il ne put s’empêcher d’exprimer la première pensée qui lui passât par la tête ;
    « Oh, vous, vous n’avez pas l’air d’être un dangereux psychopathe. »
Et il rit tout seul de sa propre bêtise, bien qu’affamé – son estomac ne manquât d’ailleurs pas de se manifester – et encore quelque peu fatigué. Mais sous les bons soins de cet inconnu dont il apprit qu’il était prêtre, il se remit vite sur pied et se liât d’amitié avec lui. Il déballât tout ce qu’il avait vécu, depuis sa plus tendre enfance jusqu’à son arrivée dans les Faubourgs de la Capitale. C’était fort sympathique, comme proximité, même s’il n’y eut rien de plus, bien entendu.

Mais il ne supportât bien vite plus cet enfermement à l’intérieur de l’Eglise, ou le prêtre lui avait offert l’asile très gentiment. Il avait besoin de se donner constance, de bouger, et pas de faire mille et une fois le tour des bâtiments de l’intérieur. Il commençait sérieusement à ne plus en pouvoir. Le pauvre prêtre, d’abord embêter, fini par trouver une solution pour Zeno - sans vraiment l'avoir prédit cela dit...- des lors que celui-ci, un jour, parvint à soulever d’une main un confessionnal fait de pierre sans même s’en rendre lui-même compte tout de suite. La plausible attaque cardiaque passée et les deux compères remis de leurs émotions respectives – c’est en voyant l’air ahuri du prêtre que Zeno comprit qu’il y avait un problème, là, tout de suite – l’italien se vit conduire dans un étrange endroit baptisé le Lost Paradise. D’après son nouvel ami, le Zucchero devait pouvoir y trouver de quoi se remonter le moral quelque peu - ah bah oui se rendre compte qu'on a une force surhumaine, ça peut plaire, mais le blond, lui, ça l'avait plus déprimé qu'autre chose! Il vit des choses étranges et pour le moins atypiques entres ces murs-ci mais au moins, ça lui permettait de se changer un peu les idées, ce qui n'était en soit, pas un mal. Mais il était curieux et bien que la soirée se passât sans encombres, il ne voulait pas repartir maintenant. Voir même pas du tout. Assurant le prêtre que tout allait bien que que ce dernier pouvait rentrer chez lui sans crainte a son sujet, l'italien demandât a ce qu'on lui présente le maître des lieux, histoire de parler affaire. Son culot naturel - et son amour inconditionnel des problèmes, aussi - revenait à la charge. Et on lui refusât en le mettant dehors, purement et simplement. Il pestât et rageât quelque peu avant de se faire une raison et prendre le chemin du retour vers l'église. Le prêtre allait pouvoir bien se moquer de lui, tiens. Et c'est là qu'il put faire utilement étalage de sa force. En effet, a moins de dix mètres du cabaret, une calèche se retrouvait bloquer a cause d'une roue coincée dans un nid de poule. Et plus l'on essayait de faire tirer le cheval, pire c'était. Le fugitif soupira et s'approcha de la diligence qu'il souleva à une main avant de la déplacer d'un mètre vers la droite, lui permettant de repartir rapidement. Inutile de dire qu'il n'eut même pas droit a un merci et que les occupants de ladite calèche partir sur les chapeaux de roues en hurlant au diable. Nouveau soupir, il enfouit ses mains dans ses poches, de nouveau déprimé.

Mais tout n'était pas peine perdue puisqu'il sentit une main s'abattre lourdement sur son épaule. C’était un homme qu'il avait déjà aperçu dans le cabaret dont il venait de se faire jeter. Ce dernier lui dit qu'il avait peut-être de quoi intéressé le patron des lieux, finalement. Il suivit donc, docilement, bien que surpris par ce revers de situation. On le présentât à un homme a l’air tout sauf aimable. Il examina rapidement l’ex-militaire et le conduit dans une sorte de bureau ou il ne lui posât qu’une petite poignée de question, auquel le blond répondit du tac au tac.
    «Vous avez causé une belle peur aux passagers de ce fiacre M… Zucchero c'est cela ?
    - Hum. Navré d'avoir voulu me rendre utile. En revanche je n'ai pas le souvenir d'avoir évoqué mon nom une seule fois.
    - Ancien militaire je présume, votre maintient ne laisse aucun doute sur l'affaire. Auriez-vous déserté l'armée pour que vos pas vous ait portés jusqu'à Paris ?
    - Je serais tenté de vous dire que cela ne vous regarde en rien mais bon, vous on j'en suis rendu maintenant... En effet, je suis un fugitif et accessoirement j’ai servi de cobaye, c’est bon les questions maintenant ?
    - J'ai bien peur que non. Je suis quelqu'un de très curieux, il faudra vous y faire si vous désirez travailler ici. Car oui M., vous m’intéressez. Je vous offre une place dans mon cabaret, n'importe laquelle, je vous laisse choisir. Si vous acceptez, je promets d'assurer votre sécurité vis à vis ceux ce qui vous traquent. Cela vous plairait-il ?
    - Vous paraissez manquer d'effeuilleurs, donc en plus de veiller a ce qu'il n'y ai pas trop de débordements hors des moments de prestations, je peux venir compléter votre équipe. Ça ne me gêne pas.
    - Et bien M. Zuccherro, vous voilà engagé dans le plus fameux des cabarets parisien. Vous commencez ce soir. Mais avant laissez moi vous apprendre quelque chose car le Lost Paradise renferme bien des secrets ~

C’est de cette manière que depuis lors, Zeno fait de son mieux pour concilier son emploi hors norme avec sa vie, plus ou moins humaine maintenant. Car oui, après avoir été engagé parmi cette joyeuse bande de cinglés, il apprit qu'en réalité il n'était pas tous... si humains qu'ils le prétendaient. Le panel allait du loup-garou à la goule en passant par les croque-mitaines en tout genre!
Et mine de rien, ça lui plait tout ça. Et puis ses cheveux ont repoussés, maintenant, ce qui achève de le rendre mignon à croquer. Le seul petit détail est la cicatrice qu’il arbore sur sa joue mais ça, que voulez-vous, ce sont les risques du métier. Oh p’tain, il s’est fait engueulé par Edward ce jour-là, il s’en souvient encore…

Et toi, Invité, comment agiras-tu avec lui, dis-moi ? ~



Sous le masque

Give me everything tonight... lulz;

    Surnom(s) : Omnos
    Âge : 21
    Expérience en RP : Je rp depuis... mai 2010 o/
    Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : Rien, si ce n'est que ça m'a fait bizarre de ne pas voir les connexions récentes des membres °^°
    Comment avez vous connu le forum ? En papillonant de partenaire en partenaire ~ Kufufufu
    Avez vous lu le règlement ? {Code Validé petit padawan} Oh, comme c'est joliment dit et que j'approuve ♥


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Valentine Lefevre
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeSam 2 Mar - 17:17

PREMS /POUTRE/

Bienvenue !!! -si tu es un petit nouveau- j'ai hâte de voir ce que va donner ta fiche ^^

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Edward White
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeSam 2 Mar - 19:32

Et un petit nouveau, un !
Bienvenue jeune homme /o/

Alors euh… Deux petites choses pour ta fiches.

La première c'est qu'effectivement tu ne peux pas être cuisinier et effeuilleur.
J'aurai bien accepté que tu puisses être cuisinier dans un autre bâtiment que le Lost Paradise, mais ça me parait compliqué car les représentations sont très certainement en même temps que les services dans les restaurants et autres.
Mais les artistes sont très bien payés hein ! ;P

Ensuite, j'ai une autre remarque, mais ça avec un peu plus de réserve.
Normalement les humains sont interdits en temps qu'employé au cabaret, à moins que tu ais les moyens de te défendre tout seul contre démons, loups-garous, vampires et autres monstres sans être un surhomme ou sans t'habiller en collants bleu et slip rouge ~
Mais comme je ne connais pas encore ton personnage, c'est surtout à titre préventif. /o/

J'ai hâte de savoir qui se cache derrière Zeno en tout cas x)

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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeSam 2 Mar - 19:36

Bienvenue, monsieur Sucre ! /sbaff/

J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves \o
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeSam 2 Mar - 23:43

un Italien !
Fais gaffe, mon nez et mes oreilles te guêtent kkk...

BREF. Beau début de fiche tout ça *w* J'ai hâte de lire la suite fufu.
Bon courage pour l'histoire, et puis... bienvenue chez nous~

Edit : bon bah en fait, plus besoin de t'encourager, t'as fini XD donc... WELCOME ! 8D
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeDim 3 Mar - 13:32

Eh bien, le moins qu'on puisse dire Zeny (et un surnom, un!) c'est que tu aimes écrire!

Je me suis demandé si par hasard j'arriverais un jour à poster à la suite tellement il y avait de mots! O.O Incroyable. Ensuite malheureusement pour moi, j'ai commencé alors que tu n'avais pas encore corrigé, ce qui hélàs a augmenté cette impression de longueur sur ta fiche. Maintenant que tu as corrigé, je suis au regret de t'annoncer qu'il reste des fautes et pas des moindres. Tu es faché avec les "s", et pas avec eux uniquement... >.< Nath' t'en parleras sûrement mieux que moi.

Ceci étant, la fiche en elle-même est assez sympathique. Ca me fait un peu bizarre de lire ce genre de propos, je revois une mentalité que j'avais plus ou moins autrefois, du coup, ça m'a surpris. Tout autant que la discussion avec Ed, que j'imagine peu se dérouler ainsi, mais ça reste un détail et si l'intéressé n'y vois pas d'inconvénient, je n'ai rien à y redire de plus.

Pour le physique, je dois dire que tu m'as fais rêvé, c'était original et bien présenté, et j'ai particulièrement aimé la comparaison avec le chat. Présenté ainsi, je n'avais qu'une seule envie: balancé Zeny à l'eau juste pour voir cet air de chat maltraité sur son visage. *Aly mode sadique activé*

Pour conclure, ta fiche est très très très détaillée, tant que je dois dire que parfois, j'avais presque envie de prendre Zeny par les épaules et le secouer en lui disant: "Mais viens en au fait bon sang!!!"
Je n'ai du reste pas de question particulière concernant l'histoire vu que tout est bien expliqué. Je te souhaite donc la bienvenue au Lost! En espérant que tu t'y plairas et qu'on ait bientôt la joie de te lire en rp!

BIENVENUE ZENY!




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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeDim 3 Mar - 16:32

Bienvenue parmi nous et bon courage pour les corrections !

Oh, ce serait bien qu'il y ait un autre humain au cabaret, tout de même *^* Dans mes bras, mon chou ~ *hugouille*
Edward White
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeDim 3 Mar - 17:26

Zeny ? Aly quel surnom farfelu tu as encore trouvé là !

Enfin, passons ce détail pour nous concentrer sur ta petite fiche o/

J'aime bien la façon dont tu écris.
Je rejoins Aly sur le fait que c'est très détaillé, mais on ne s'y perd pas, ça se lit tout de même très bien et je pense que ça fait aussi un peu partie de la folie de ton personnage.

Les descriptions physique et morale sont très amusantes. J'aime beaucoup la façon dont tu l'adules dans la première partie pour mieux le descendre à grands coups "d'illuminé" et "d'idiot" dans la seconde XD

J'aime bien l'histoire aussi. Rondement menée quand on sait en combien de temps tu l'as écrite ! J'aurai pensé que le scientifique aurait un lien avec l'armée italienne, mais en le mettant en France il y a moyen pour que tu retombes sur lui un de ces jours, donc ça peut-être intéressant.
Tout comme cette Ludivine, vas tu la revoir ? /o/

Bref, voilà pour le contenu qui est tip top.
Maintenant reste juste la forme. Il reste en effet des fautes qui piquent un peu les yeux ><
Beaucoup moins qu'au début cependant et je te remercie pour ce nettoyage efficace !
Les "s" font en effet parties des fautes les plus récurrentes, mais il y a aussi un petit soucis avec la troisième personne du singulier pour les verbes du premier groupe.
Zeny a écrit:
il décidât // un son imprécis s’élevât // il fermât etc.
Oublie le "ât" ! Un simple "a" suffit, alors pourquoi se compliquer la vie ? XD

Tout ça pour dire de faire attention à bien relire tes prochains RPs /o/
Bref, Zeno tu es VALIDÉ !!

Je m'en vais t'ajouter aux artistes et je te laisse suivre les indications suivanteuh ~

Bienvenue au
Lost Paradise

Il faut maintenant…
Faire ta demande de rang ici.
Pour les relations, c'est par .
Pour une demande de RP c'est ici.
Pour suivre l'intrigue c'est !

Et bon RP parmi nous !


Et ma petite June, il y a de forte chance pour que tu sois la seule humaine "pure souche" au cabaret. Désolé
Ton statut de protégée du grand patron t'offre cette "chance", Edward n'est pas encore assez fou pour oser mélanger monstres et hommes 24 h/24 ;P
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeMar 5 Mar - 11:54

Bienvenuuuue sur le forum \o A la bourre, je sais, mais pas moins chaleureusement Wink

Je suis contente, mon personnage n'est plus le seul à être devenu un 'monstre' des suites d'une expérience *^* Même si Horace était consentant (sauf pour que ça dégénère), lui xD J'ai bien aimé ton histoire, malgré quelques longueurs qui ne m'ont pas tant dérangé que ça, puisque j'aime moi même en faire parfois. Et je dois dire que c'était une bonne idée de mettre l'expérience humaine à Paris et non dans le cadre du service militaire de Zeno. Au moins, on ne s'y attendait pas (en tout cas, moi et Edy). Et en plus, comme l'a si bien souligné notre cher patron, ce serait vraiment trop fun qu'en RP tu te retrouves face à lui ~hihi.

Je répète sans doute ce qu'ont dit les autres, mais la succession de tes deux descriptions était juste trop bien mise en place. Passer du physique d'un Adonis qui nous séduit et nous fait rêver à un caractère dégradant, c'est bien vu Wink Et ouiiii, Aly, jetons-le à l'eau ensemble pour voir la tête qu'il va nous tirer >D

Alors, pour la forme en elle-même, tu écris bien et de façon fluide, ce qui facilite la lecture de ta fiche et la rend plus agréable ^^ Les fautes d'orthographe, je n'y reviendrai pas. Néanmoins, je dois t'avouer que certaines expressions m'ont fait tiquer et ont, je trouve, un peu cassé le rythme et la beauté de ton écriture car ils me semblaient trop familier et plus présents dans le langage courant que dans l'écriture. Pour te montrer un exemple, ton "un peu beaucoup carrément barge sur les bords". J'ai trouvé l’enchaînement du 'un peu', suivi du 'beaucoup' et du 'carrément' beaucoup trop lourd. Mais bon, ce n'est que mon avis et je ne vais pas non plus critiquer ton style d'écriture, j'en fais aussi des comme ça ^^' M'enfin voilà \o

Bref, encore bienvenue et amuses-toi bien sur le forum ^^ Oh, et il nous faut un lien ! Entre sujets d'expériences, faut bien se soutenir parfois Wink Et si un RP te tente, maintenant que j'ai un peu plus de temps, ce serait avec plaisir \o
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitimeMar 5 Mar - 17:33

Merci à tous et toutes de cet accueil! *^* (c'est tellement rare d'en avoir de tels, maintenant ;w;)
Je...Je suis désolé d'avoir écorché vos yeux avec mes fautes d'orthographes... Ayant été traumatisé plus jeune par une [CENSURE] de prof de français qui voulait qu'on conjugue de cette manière à toutes les sauces ( oui, je sais, c'est bizarre... Mais bon, elle est pas restée prof très longtemps de toute façon ... ) Bah, malheureusement, ça m'est resté...

Le pire! Sur papier, aucun problème, je ne fais pas de fautes! Mais dés que je me retrouve sur un clavier... Hasta la Vista Orthographe-san! *meurs*
M'enfin, j'essaierais de m'appliquer et de faire attention à l'avenir, en RP, promiiiiis ><

Je remercie encore une fois Edward qui m'a permis de trouver une bonne fin à mon histoire et tout et ... Non, lâchez moi, je ne sais pas nageeeeeer D8 *plouf*

Ahem, Horace, ce sera avec un graaaaand plaisir pour le lien et éventuellement le RP par la suite :3 Je te propose que l'on voit ça par MP pour pas flooder etc... Mais c'vrai, entres cobayes, il faut se serrer les coudes! ♥


EDIT : SACRILÈGE! J'allais oublier de rendre son câlin à la délicieuse June ♥♥♥ *hugatise* ♥♥♥
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MessageSujet: Re: Zeno, pour votre plaisir ~ End ~   Zeno, pour votre plaisir ~  End ~ I_icon_minitime

 

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