On doit être trop underground pour les bourges'

Ceux qui sont invisibles mais pourtant bien présents, dans les rues, sans le sou. Ce sont les gens que Llewyn côtoie tous les jours, la "société des faubourgs" comme ils se plaisent à le dire. Ici y'a de tout, des immigrés de n'importe quel pays, des ouvriers, des prostituées, des arnaqueurs, des voleurs, des taulards, des anciens militaires, des humains, des légendaires, des gens qui dans leur vie passée ont été astronomes, scientifiques, professeurs ou musiciens. Prolétaires, vagabond, mendiants et autres sans domiciles : ils forment le réseau le plus organisé de tout Paris, connaissant chaque recoins, chaque boutiques ou bon plan. Si jamais vous avez vos tickets dans cette société, vous pourriez obtenir tout ce qui vous fait envie, un objet, une vengeance ou un renseignement. Bien sûr il faut avoir des contacts et savoir y mettre le prix.

fille de joie pas très joyeuse.

Pauvre Lizzie, pauvre petite chose. Pour sûr qu'elle a pas eu une enfance facile, mais un récit qui ressemble à tant d'autres destinées tragiques : une mère morte en couche, un père alcoolique et la voila maintenant qui tapine à 19 ans pour gagner sa vie. C'est pas facile de vendre son corps ainsi, aussi la demoiselle n'a pas souvent le moral, alors Llewyn la réconforte comme il peut. Il l'apprécie énormément, et elle aussi l'apprécie; tellement qu'elle à finit par faire un transfère affectif, le prenant un peu pour son père de substitution. Alors quand elle lui fait la morale parce qu'il boit trop, il ne dit rien et pose sa bouteille car il sait que c'est juste qu'elle a peur qu'il finisse comme son vrai père.
Dans le métier, les gens l'appellent "Lizzie la Porcelaine" à cause de sa peau blanche et de son air fragile, mais il ne faut pas se fier aux apparences car la petite a du caractère et connait bon nombre de sales petits secrets de ses clients, parfois des gens éminents...

Comme un dictionnaire, mais dans le desordre

L'humain le plus vieux qu'il ait rencontré, si vieux qu'il se demande parfois si il est véritablement humain ou déjà mort. Dans sa jeunesse l'homme avait dû être comme lui un grand voyageur, il avait tout vu, tout lu : un véritable puits de connaissance. Mais, jamais il ne parle de sa vie passée, comme s'il n'était que savoir brute doué de parole, une expérience qui parlerait d'elle même. Si vous avez besoin de savoir quelque chose, venir le voir est le meilleur moyen d'avoir une réponse... Si vous avez de la chance. Oui parce que le vieux perd un peu la boule, il ne se souvient jamais de la date, de l'heure, de s'il vous a déjà souhaité la bonne journée. En plus de ça il perd la vue et ne peut presque plus bouger de son fauteuil ou il semble s'enraciner, emmitouflé dans sa longue barbe sale où des oiseaux ont élu domicile.

donne moi du scotch, une ficelle et un tourne-disque| le macgyver du XIXeme

Benjamin, est un gamin des rues qui avait toujours le don pour réparer des choses, voir les améliorer. Son truc ? la recup. Il passe son temps à fouiller partout dans l'espoir de trouver les pièces rares pour ses créations. Il est très côté dans la société des faubourgs en raison de ses tarifs vraiment pas expansif, pouvant être payé par un système de troc. Llewyn va souvent le voir dans son atelier, caché dans le vieux cellier d'une maison abandonnée, pour qu'il repart sa guitare. En échange, le chat lui raconte des histoires, souvent un peu grivoise, pour faire rêver ce jeune homme qui n'est jamais sorti de Paris.

Un voleur au grand coeur

Ce type est plus silencieux et agile qu'un courant d'air, aucune porte, aucune poche ne lui résistent. C'est surement le plus grand voleur de tout Paris. Lors de petites réunions de prolétaires le soir autour d'un feu, il arrive au brun de le croiser. Il est toujours habillé pareil, avec ses habits sombre et est toujours sur ses gardes. Il en imposerait comme ça, avec ça tête balafrée et ses poignards caché sur lui. Mais en fin de compte, dès qu'il ouvre la bouche, c'est tout un mythe qui s'effondre, il a une voix toute douce et mal assurée, hachuré par un terrible bégayement. Llewyn a découvert qu'il s'agissait en fait d'un homme très agréable, qui n'hésite pas a partager son butin avec ceux qui en ont besoin.
Une rumeur au sein des faubourgs dit qu'il se serait fait sa cicatrice en voulant dérober quelque chose au lost paradise... mais le principal concerné refuse d'en parler.  

tant que ça se cuit, ça se mange.

Elsa est la propriétaire d'un magasin de tartes ,« le macchabé geignard », qui tombe en ruine au fond d'un cul de sac, les gens de la société s'y retrouvent mais il ne consomment jamais de plats, connaissant que trop bien la propriétaires, les autres ? et bien pour sûr après avoir mangé ici ils n'ont plus eu le loisirs de manger autre chose, si ce n'est les pissenlits, par la racine. La femme est attachante, mais complètement folle à lier : un étrange contraste qui met bien souvent mal a l'aise. Le chat n'aime pas venir dans son établissement, ça sent la pourriture et la chaire en putréfaction, ce qui n'est pas très étonnant, Elsa est une goule. Les goules sont elles douées pour la cuisines ? cela reste a voir, mais Llewyn ne toucherai pas à ses tartes, même crevant de faim. La femme a parfois un côté très maternel, quand elle croise Llewyn dans la rue elle ne peut s'empêcher de lui faire des remontrances, surtout par rapport à son poids, elle le trouve trop maigrichon et lui propose des tartes tout le temps.
Il semblerait qu'elle entretienne une sorte de relation malsaine avec le fou aux cartes...  

Le maitre du jeu

Le Baron des jeux d'argents clandestins. Ce type est fou, complètement malsain. Rare sont ceux qui ont pu l'approcher, Llewyn a eut cette chance. Après tout, Llewyn met les gens en confiance, il est libre et n'a pas vraiment de morale humaine, alors vous pouvez bien être humain, légendaire ou fou a lier ça lui est égal. Peut être est ce pour cela que ce si singulier personnage vient le voir de temps en temps, cherchant une histoire pour le faire rire, ce fou ne pense qu'a ça : rire. si jamais il vous vient l'envie de tenter le diable, ou le joker dans ces cas là ils sont synonymes,  et que vous avez envie de participer à l'un de ces jeu d'argent, il suffit de demander auprès de la société, ils ont les meilleurs tuyaux pour savoir où jouer chifoumi-7familles-belotte/poker, le dernier jeu très en vogue dans les bas-fonds.

dat feckin clebs

Oh god comme ce chien lui tape sur le système, en même temps entre chien et chat ça fait des étincelles, les lois de la Nature  rattrapent à grands pas ces deux énergumènes qui ont chacun un caractère bien trempé ! Alors c'est normal que quelques fois leurs échanges se finissent en coup de poings sur la face. Mais Llewyn ne déteste pas Loki, loin de là c'est même une des rares personnes de qui il se sent proche, surement à cause de leur part animale et du fait qu'ils soient tout deux perdus dans un monde d'homme. Alors parfois, il aime bien se retrouver en sa compagnie et médire un peu des habitudes bizarres et idiotes des humains.

Miss Lafouine

Le matou doit avouer que la d'moiselle a le caractère bien trempé, ce qui n'est pas pour lui déplaire, lui qui aime bien les gens qui osent imposer leur point de vue. Mais d'un autre côté elle peut se révéler très agaçante quand elle veut, avec toutes ses questions ou quand elle s'interpose entre les échanges "entre gentlemen" qu'il a avec son chien, non mais oh ! ... enfin, quand elle les réprimande aucun d'eux ne la ramène, elle a de l'autorité.
Surtout que malgré lui c'est l'une des rares personnes qui connait sa véritable nature , ce qui l'inquiète un peu, il ne sait pas s'il peut avoir une totale confiance en la journaliste...

the policeman| le compagnon clopeur

Llewyn n’est pas le genre de type qui demande des choses aux inconnus, où même un service en general. Mais un jour où le besoin de nicotine avait pris le pas sur son amour propre, il avait demandé une cigarette à ce fumeur qui sentait le loup a plus de dix mètres. Les rencontres tiennent vraiment au hasard, car grâce à ces cigarettes  il eut l’occasion de faire une belle rencontre. Aldrick est une des personnes avec qui il s’entend le mieux, peut être à cause de leur caractère ou du fait que le loup ne lui pose jamais de questions lorsqu’il n’a pas envie de répondre. Oh, mais bien sûr ça ne leur empêche pas de se taper dessus, quand ils s’énervent ou que le lycan essaie de faire entendre raison à cette tête de mule qu’est Llewyn. Il arrive souvent à celui-ci de passer ses nuits en garde à vue, se faisant volontairement attraper par un des sous-fifres du commissaire, ou par le commissaire lui-même, mais loin de vouloir le punir c’est plus pour lui sauver la mise.
Il ne lui avoue jamais vraiment en face, sauf quand il a bien bu, mais il est vraiment très attaché à ce type.

Faire chanter la Brume

Il y a de ça bien des années, bien avant la création du cabaret, Llewyn s’était déjà aventuré dans les rues de la ville lumières. Bien différente de la ville actuelle, c’est là qu’un soir il assista à une étrange scène : devant lui se décharnait dans des cris, une banshee.
Comment savait-il pour cette femme ? Son instinct animal lui avait déjà fait sentir la particularité de la belle, mais plus que cela le mythe des banshees faisait partie de son pays natal et en bon conteur il avait toujours en tête les histoires mettant en scène nombre de créatures merveilleuses. Lorsque la belle eu fini tremblante et déconnectée comme vidée de sa substance (un esprit d’ailleurs a-t-il une substance ?) Il s’approcha sans un mot et tel un chevalier servant(oui j’ai trop aimé ta comparaison), il la veilla jusqu’à ce qu’elle reprenne contenance, le chat ne connaissant que trop bien les dangers courant dans les rues. Leur début ne furent pas facile car les deux énergumènes n’étaient pas du genre a placer leur confiance en un parfait inconnu, ce n’est qu’après des longues phrases sibyllines, des demis vérités et autres engeulades qu’un dialogue commença à s’installer. La jeune femme (qui ne l’était pas tant)devait se sentir redevable aussi offrit elle le gite au chat qui n’avait nulle part où loger. La suite de leur soirée fut tout aussi tendue et silencieuse, chacun lançant un regard a l’autre pour savoir s’il n’allait pas venir le poignarder dans le dos. Mais la pression craqua quand La banshee se mit à fredonner un air. Instantanément Llewyn aima sa voix. Même chat, il avait toujours aimé la musique, aussi ce fut un vrai cadeau pour ses oreilles sensibles que d’écouter la douce voix de la brume. Aussi prit il sa guitare pour l’accompagner. Et ainsi ils improvisèrent tout deux jusqu’à l’arrivée du matin, pour le bonheur des chats de gouttière et le calvaire des voisin.
La breveté de leur rencontre ne fit qu’en renforcer l’intensité, car ils durent se quitter, le chat repartant en voyage dans une autre contrée…
En revendant à Paris, Llewyn ne s’attendait pas à ce que, après tant d’année, Rita soit toujours là. Mais la surprise laissa la place à la joie des retrouvailles, le brun heureux de voir que la brume avait trouvé un travail dans un cabaret et qu’elle semblait maintenant tout autre que la fille en difficulté qu’il avait rencontré.
Alors les revoilà maintenant, les deux compères pouvant swinguer jusqu’au bout de la nuit. La belle ne prévient pas, elle vient juste le trouver et tous deux expérimente musique et chant dans tous les genres par tous les temps : pour le bonheur des passant et rameutant avec eux d’autre musiciens des rues se créant un orchestre de briques et de broc.
Llewyn aime faire chanter la brume, aime composer pour elle, et serait prêt à ronronner pour ses beaux yeux comme il lui dit sur le ton de la plaisanterie. Mais en vérité, il ne lui avouera jamais.
En fait, Llewyn a déjà rencontré Rita, mais il ne s'en souvient pas. Il l'a rencontré à la mort de son maître sorcier, alors qu'il était encore avec son frère. Mais cela remonte tellement loin, et la tristesse avait un peu embué leurs souvenir. Mais l'instinct reste et aussi est ce pour cela qui s'est plus facilement ouvert a la banshee

Feckin' sale gosse.

BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA.

Viens ici, que je te tire les oreilles !

[RP en cours]

M'en font voir de toutes les couleurs

Le chat les a rencontré pour la première fois, à l'epoque ou ils faisaient encore des spectacles de rue. Il venait tout juste de se poser à Paris, que déjà il jouait dans les rues et contait des histoires. Et ses histoires semblaient avoir intéressé ces deux jumeaux qui souvent venaient l'écouter. Rah, mais ces sales gosse ne lui rendaient pas la vie facile, un bon nombre de fois il avait fini par perdre patience face à leurs pitrerie, mais au fond, il aimait bien cela. Les jumeaux Lenoir étaient un vrai petit numéro à eux tout seuls, et en fin de compte ils l'attendrissaient tout de même un peu... Un peu hein ?
Même s'ils ne se croisaient pas énormément, ils avaient décelé chez les uns et les autres leurs " particularités", souvent le sujet de leurs piques était lié à cela, Frederic ayant prit l'habitude de le surnommer " Mister Cat" en anglais qui plus est. Mais, pour éviter tous dangers, dans un accord silencieux ils évitaient de se faire trop repérer.
Aujourd'hui les jumeaux travaillent au Lost Paradise, et souvent  Frederic revient le voir dans la rue, pour une histoire ou juste pour parler en partageant du thon grillé dont lui seul à le secret.
Et malgré ce que pourra vous dire le matou à leur sujet, il ne peut s'empêcher de les apprécier.

Do you want to sing in the rain ?

Meow

dat Feckin' English bastard

ce type horripile Llewyn, a un tel point qu'il ne peut s'empêcher de feuler en le voyant approcher. Ses beaux costumes, son air de rodeur, il sent les p'ti fours et les mondanités a plein nez mais semble pourtant au dessus de tout ça. Et puis, il peut bien se les garder  ses conseil non mais ! De toute façon, leurs échanges finissent souvent par des crises de nerf et des coups de points. Vu comme ça on pourrait croire que Llewyn déteste Randon, ce qui serait prudent car l'homme est un danger pour les êtres surnaturels et qu'en plus de ça c'est un -je cite- " feckin' English ", le chat ne pouvant pas se retenir de cracher sur ce peuple voisin du sien, ce qui ne fait qu'attiser le feu entre eux. Mais, car il y a un mais, il n'arrive pas a le détester totalement. Peut être parce qu'il sent que cette charité dont il se targue n'est pas le reflexe d'un bourgeois essayant de se faire bien voir, mais plutôt un moyen d'exorciser une souffrance personnelle. Il le sent, ce type a vécu la misère, dans un sens c'est un compatriote alors parfois il se tait et accepte son aide. Et puis, il doit avouer qu'il adore essayer de lui faire perdre ses moyens, au moins ça fait passer le temps d'embêter un rosbif et ça rappel un peu le pays...  

La traversée du desert

Argentine, il y a quelques année déjà. Llewyn avait rencontré Ashton alors qu'il s'apprêtait à traverser le désert d'Atacama, aussi les deux légendaire décidèrent de faire le trajet ensemble. Malgré quelques piques et bouderies de la part de Llewyn surtout, le voyagea se passa plutôt, jusqu'a ce que l'eau commence à leur manquer. Jusqu'a ce que morts de soif et de fatigue ils se fassent récupérer par un camp de quelques pauvres âmes installées dans le désert. Malheureusement alors qu'ils repartaient la tempête se leva et une transformation malencontreuse d'Ashton vint troubler le calme du desert. Llewyn eut la chance de s'échapper, courant tant qu'il pu jusqu'à tomber de fatigue dans les dunes. Se réveillant quelques heures plus tard, quelques temps de errance dans les dunes le ramenèrent au camps ou un carnage l'attendais, Ashton inconscient au milieu de tout ça. Il récupéra le canidé et entrepris de s'éloigner le plus possible du site du massacre. Lorsque Ashton émergea Llewyn n'eut pas le coeur de lui raconter ce qui s'était passé et pour éviter toutes questions mit les voiles dès que le désert fut traversé. Quelques années plus tard il retrouva Ashton dans un bar, celui-ci réclamant la vérité, quelques mots et haussement de voix furent echangés : laissant les deux comme chien et chat

ça se passe de mots

Et bien voila, une vieille rancune du à cette invasion qui lui a fait quitter son pays et des querelles de clocher entre ces deux nations... Le chat ne perd jamais une occasion de cracher sur les anglais.