Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain. |
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| Campbelle: Douce créature ♥ | |
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| Sujet: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 1:37 | |
| Fräulein/Evangeline Yamamoto: Zetsuen no tempest ♥ ~ Campbelle J. Wilson ~ "L'âme est le seul oiseau qui soutienne sa cage." Nom d'artiste : Seele. Surnom: Campy ou Camby. Âge (en apparence) : 18 ans. Sexe : Femme. Nationalité : Autrichienne. Orientation sexuelle : Aucune. Race : Homonculus. Métier : Acrobate (spécialité des rubans). Taille : 1 mètre 78 Poids : 66 kg Autre chose ? Elle a pour ambition de se lancer à la quête de son âme. You look like… Pour exprimer son âme, on n'a que son visage ♥ La douce Campbelle était debout devant sa coiffeuse, elle élança sa longue jambe sur le tabouret, elle cambra son pied et passa son bas résille pour l'enfiler jusqu'à mi-cuisse puis elle répéta le même geste avec la seconde jambe. Elle agrafa ses bas à son body, qui était suffisamment échancré pour donner l'effet que ses jambes étaient encore plus longues et élancées. Puis le buste droit, elle remonta celui-ci, dont le haut balconnet avait le don de mettre sa poitrine en valeur. Cette tenue de scène, dans laquelle elle allait devoir passer une dizaine de minutes se devait d'être confortable et sensuelle. Elle recula lentement, pour se voir intégralement dans le miroir, puis elle tourna en inspectant soigneusement sa tenue de scène afin de voir si il n'y avait bien aucune anomalie : en commençant par les pieds et en terminant par la poitrine. N'ayant remarqué aucun défaut, elle releva, alors le regard pour voir son visage autour duquel, ses longs cheveux noirs tombaient à merveille. Elle souleva ceux-ci au sommet de son crâne, tourna la tête de droite à gauche puis de gauche à droite, et les laissa chuter sur ses reins. Elle se pencha vers la petite boite en ivoire posée près du miroir et en sortit des épingles. Elle répéta l'action passée, à l'aide d'une brosse cette fois-ci, et enroula ses cheveux pour en faire un chignon, l'épingla et fit ressortir par ce fait, l'harmonie de son visage. Campbelle avait toujours eu tendance à se dissimuler derrière cette épaisse chevelure d'un noir étrange, aux reflets kaki. Désormais, on voyait clairement ses petites oreilles qui portaient de petits boutons d'or, une fine bouche d'un rose pâle, de grands yeux perçants qui paraissaient marrons au prime abord mais qui en regardant de plus près devaient être verts; de plus ses fins sourcils et ses longs cils d'un noir charbonneux en faisaient davantage ressortir la couleur et le grain de beauté sous l’œil gauche, lui donnait un air à la fois sexy et glamour. La jeune femme secoua sa tête et remarqua que le chignon tenait parfaitement: ravie elle fit un petit sourire qui fit ressortir ses pommettes rondes. Finalement, elle s'assit délicatement sur son tabouret en bois, se tourna d'un quart sur la droite pour se retrouver de profil, croisa ses jambes et se pencha le plus possible du miroir pour maquiller ses grands yeux de biche sur lesquels, elle passa un fard à paupière noir sur l’intérieur et gris sur l’extérieur. Elle estompa avec un pinceau et ouvrit enfin, dans un battement de cils, ses yeux qui avaient le don de transpercer l'âme, et porta le crayon pour dessiner avec précision les contours et en faire ressortir la forme en amande. Elle acheva avec du mascara et étira autant qu'elle le put ses longs cils. Elle se pencha en arrière une nouvelle fois, toujours assise, porta un coup d’œil à l'horloge, dont le tic-tac n'avait de cesse de lui rappeler qu'elle allait bientôt devoir entrer en scène. Elle fit la moue quelques instants comme une enfant fatiguée et passa du rouge sur ses lèvres rosées, ourlées, fines mais qui n'en étaient pas moins généreuses et charnues. La jeune femme, se poudra rapidement le nez une dernière fois, un nez aquilin, qui semblait, légèrement retroussé lorsqu'on le regardait de profil. L'artiste se cambra sur sa chaise comme pour en expulser le stress, elle amena le flacon de parfum à son cou qui était entouré d'un collier noir en cuir et se parfuma dans un dernier geste. Elle se regarda encore pour voir si tout était pour le mieux et enfila ses chaussons d'acrobates. Elle se dirigea hors de la loge et se retrouva dans les coulisses en attendant que le numéro actuel se termine... Campbelle se mit à faire de petits pas avec ses minuscules pieds qui devaient faire un 38, alors qu'elle mesurait un mètre soixante-dix-huit. Elle commença des étirements pour s'échauffer et se mettre en condition: elle ne devait commettre aucun faux pas.
-Et maintenant, Mesdames et Messieurs, je vous présente la jolie "Seele" et son fabuleux numéro d'acrobatie. Enfin, le moment fatidique se dévoila, le présentateur venait de prononcer son nom et d'annoncer sa prestation. En pleine panique, elle tenta de retrouver son calme habituel en portant ses mains tremblantes sur ses joues bouillantes, qui avaient certainement, tourné au rouge pivoine. La chaleur lui montait jusqu'aux paupières, elle lâcha alors un grand souffle. Dans un ultime effort, tandis que son cœur tout affolé, lui criait de ne pas y aller, elle concentra tout son courage et elle s'élança sur la scène. Soudain, un silence se fit. La lumière des projecteurs fit scintiller sa peau laiteuse et opaline et découpa sa silhouette pour la projeter sur l'ensemble de la salle. Les lumières se baissèrent et se firent plus intimes ainsi la jeune femme se laissa porter par la musique pour les dix minutes à suivre... ... Elle effleura la scène de la pointe des pieds et ils vinrent se poser doucement l'un à côté de l'autre. Campbelle se redressa, lança un regard à toute la sale, croisa ses jambes et s'inclina devant les spectateurs pour les saluer et accompagna sa main douce et fragile à sa bouche, dont le rouge à lèvre carmin s'accordait parfaitement avec le vermeil de ses ongles. Campbelle embrassa tendrement le creux de sa main et porta le baiser à toute la salle en tendant son bras dans sa direction en signe de remerciement. Elle se tourna rapidement, le chignon céda après tant de mouvements et ses cheveux se déroulèrent de nouveau, jusqu'à ses reins, laissant ainsi au publique pour dernière vision: ces cheveux d'un noir étrange et fascinant. ~Les rideaux se fermèrent et un tonnerre d’applaudissements retentit. You are… Les sources de la beauté sont souterraines et secrètes.
"Je serais toujours admiratif devant la douceur qui émane de tout ton être" lui disait-il. Campbelle s'en souvient encore. Lors de sa conception, son maître voulut en faire une femme magnifique mais surtout une femme au cœur d'or. Il la voulut intelligente pour qu'elle puisse être à son niveau, mais amusante car à son âge, après avoir perdu sa femme, il voulait une personne qui le fasse rire aux éclats. Il la voulait attachante pour ne jamais être lassé d'elle, mais mystérieuse pour qu'elle ne se dévoile pas aux autres et par conséquent, qu'aucun autre homme ne soit épris d'elle: elle était sa convoitise. Sensuelle pour qu'elle le fasse rêver et fasse renaître l'espoir qu'il y a encore de magnifiques choses sur cette planète, mais enfantine pour ne pas tomber dans le désir sexuel et pour pouvoir la protéger. Il voulait que Campbelle le regarde avec des yeux d'enfants, qu'elle le regarde comme quelqu'un d'important, qu'il soit tout pour elle. Élégante car l'alchimiste avait toujours été fasciné par la beauté des gestes et des mouvements de la Femme, mais bagarreuse car elle se devait de pouvoir se défendre en son absence. Joviale pour que l'heure soit toujours à la fête, mais aussi silencieuse pour qu'elle apprenne la beauté des mots et leur importance. Mais surtout il la désirait timide et douce, pour qu'elle le prenne dans ses bras dans les moments difficiles, pour qu'elle s'assoit à ses genoux le regardant avec amour comme si il était sa raison de vivre, le centre de sa vie puis qu'elle s'approche de son oreille et lui susurre: " Je suis là ! ". Il voulait qu'ils soient tout l'un pour l'autre et ne jamais se quitter. Il concentra alors toute la douceur qu'il pu trouver dans ce bas monde, en son éducation. Ainsi, Cambpelle devint la personnification de la douceur: une femme élégante, gracieuse et raffinée. Aujourd'hui, elle est une femme, plutôt silencieuse, elle ne parle que très rarement, tout passe par son regard. Elle a une forte réticence pour les effusions. Si elle aime quelqu'un que ce soit charnel ou platonique, elle ne le dit pas, elle le montre. Bien qu'elle soit belle, elle ne le sait pas ou du moins ne l'assume pas alors quand une personne le lui dit, la jeune femme, tellement timide le vit plutôt mal, sa timidité en est même maladive. Campbelle fait partie de ces êtres qui ressentent absolument tout: l'amour comme la haine. Son hyper sensibilité à fleur de peau pourrait la rendre vulnérable mais est en fait, sa plus grande arme. Elle est ,par ce fait, quasiment pas manipulable ou influençable. Elle passe le plus clair de son temps à observer les autres, afin de mieux les cerner; d'un tempérament pacifiste, elle ne se bat jamais mais le jour ou sa colère éclatera, elle sera des plus noires, violentes et destructrices. Malgré, son naturel distant au premier abord, Campy aime énormément prendre les gens dans ses bras, elle est très tactile, elle aime tout simplement leur donner de l'affection mais cela ne se fait pas avec spontanéité. Si elle en vient à réconforter quelqu'un, c'est qu'il y avait une bonne raison, un besoin. Enfin, si la jeune femme est si pure et aimante, c'est qu'elle pense ne pas posséder d'âme et cherche ainsi à être le plus charitable possible, pour ne pas être condamnée à errer sans cesse, telle une âme damnée. Once upon a time… L'enfer c'est les autres !
Les gens de la salle s’assirent après que l'un des juges le leur ait ordonné. La voix du juge se fit entendre dans tout la salle "Faîtes entrer l'accusée". Se suivit un long silence. Deux policiers accompagnés d'une femme entrèrent. Un murmure parcourut la salle et les gens la regardèrent d'un air indigné. Certains la pointèrent même du doigt.
-Silence ! cria le Juge de sa voix rauque.
La jeune femme prit place au banc des accusés. Elle scruta la salle, les yeux brillants. Elle était chamboulée, choquée mais il était hors de question pour elle qu'elle n'assume pas son acte même si cela était terrible. Comment, elle, l'incarnation de la douceur et de l'amour pu tuer un être avec une telle violence ?
-Campbelle Jones Wilson, c'est bien ça ?
Campbelle tourna son regard vers le juge et répondit le plus sereinement possible: Oui, c'est bien moi.
-Jurez-vous de ne dire que la vérité et rien que la vérité ?
-Je le jure !
-Nous allons commencer par relater les faits.
-Vous assumez avoir commis un meurtre ? demanda le second juge.
-Oui.
-Vous-êtes bien l'arme du crime ?
-Je suis l'arme du crime.
-Vous confirmez avoir déclenché un incendie qui a endommagé plusieurs habitations ?
-Oui.
-Bien ! Maintenant, validez-vous avoir été créée par "Andrew Jones Wilson" alchimiste Anglophone de renommé qui s'est exilé en 1855 en Autriche pour rejoindre un ami de longue date et où il donnera votre naissance, si je puis dire, en ce même lieu le: 1° Novembre 1873.
-Je confirme.
-Que représentait-il pour vous ? Était-il plutôt un père ou... Un amant, Mademoiselle Jones Wilson ?
-Je suis navrée mais je ne pense pas que cela vous regarde...
-Dans la mesure où vous avez tué un être vivant cela nous regarde.
-Ce n'est pas lui que j'ai tué ! dit-elle toujours calmement.
-Je vous prie de répondre, mademoiselle Jones !
-Et bien... Je ne saurais que répondre... Il était protecteur comme un père mais jaloux comme un amant. Cela vous convient-il ?
-Bien, continuons.
Le second juge passa la parole au troisième.
-Mademoiselle, comment décririez-vous votre maître en un mot ?
-Extraordinaire.
-Vous l'admiriez donc ?
-Oui.
-Ça mort a dut être une véritable douleur, une déchirure, une perte de repaire pour vous ?
-Oui mais encore une fois, je ne vois pas le rapport avec cette affaire.
-Nous y venons. Je passe la parole ...
-Lorsque vous avez été placée dans les mains de "Erzac Levenstein" ami intime de votre "père", vous avez du éprouver de la colère ?
-Je ne vois pas en quoi.
-Je vais vous dire pourquoi... Nous savons tous, que Monsieur Jones Wilson a été empoisonné et n'est pas mort naturellement. Qui d'autre hormis lui ou vous, aurait pu l'empoisonner, tandis qu'il ne sortait que rarement pour ne pas vous laisser seule.
-En effet, mais je vous garantie que jamais je n'aurais tué mon père. s'indigna-t-elle.
Le cinquième juge pris la parole:
-Nous le savons. L'assassin de votre créateur n'est autre que son ami de longue date et vous avez voulu vous venger car vous aimiez votre père, n'est ce pas ?
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
-Campbelle, le corps de monsieur Levenstein a été retrouvé dans un piteux état. Une telle violence inhumaine ne pouvait venir que d'un légendaire, tel que vous. Un tel acharnement ne pouvait venir que de la vengeance d'une femme amoureuse ! De plus, l’absence d'arme... Les blessures étaient nettes et précises, tels des coups de rasoir, comme si la personne avait voulu que les blessures soient parfaites.
-Oui, j'assume l'avoir tué. Je ne l'ai jamais nié.
-Certes, nous voulons savoir pourquoi maintenant, puisque vous semblez être au courant de l'empoisonnement de votre père. Nos révélations, ne vous ont pas étonnée.
-J'étais au courant bien avant vous.
-Comment ? Puisque l’enquête a été menée en toute discrétion et qu'une lettre du légiste vous a été adressée pour vous informez de la dite "mort naturelle" de votre maître.
-Car j'étais présente le soir du crime.dit-elle froidement.
-Je vous demande pardon ? Veuillez nous expliquer pourquoi vous avez caché la cause de la mort de votre père, ne pas l'avoir empêchée si ce fut ensuite pour tuer son ami.
-Je vais vous le dire... Campbelle releva la tête et foudroya la salle d’audience du regard et reprit : Tout a commencé un beau matin, nous étions seuls...
-"Campbelle, viens ici, il faut que je te parle de quelque chose", cria Andrew à sa muse. Elle alla donc voir ce qu'il avait à lui dire et il lui confia un secret qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. Il l'a mis en garde et lui fit promettre de ne rien dire, jusqu'au jour fatidique: le jour où elle devra tout mettre en œuvre pour obtenir son acquittement. Suivre ces instructions organisées au millimètre près, fut la tâche la plus douloureuse et complexe de toute son existence. Sa naïveté ne pouvait encaisser un tel choc. Andrew qui l'aimait d'un amour tendre, était prêt à tout pour protéger Campbelle et cela même contre sa propre vie.
Il signa son arrêt de mort à l'instant même où Campbelle prit forme. En lui donnant la vie : il tira définitivement un trait sur la sienne, et cela dès le début de la soirée du 1 Novembre 1873 à Linz en Autriche, dans un de ses laboratoires secrets. Il prit la décision ce soir là de créer un être artificiel né de l'alchimie. Cette décision fut prise suite à la terrible perte de sa femme dans le mystérieux incendie de son appartement Londonien, alors qu'il n'avait que 30 ans. Il envisagea de quitter cette ville pleine de douloureux souvenirs. Il devait s'éloigner, il était à l'origine de cette mort à cause de son passé sombre. Il fallait qu'il disparaisse. Il était le seul fautif. Mais peu de temps après, il apprit que la femme qu'il avait tant chéri durant toutes ces années le trompait déjà depuis longtemps et en avait apparemment qu'après sa fortune. Bien que sa mort était malheureuse, son regard sur elle, et sur les femmes en général changea du tout au tout. Il se sentait déshonoré, il était déshonoré. Il se jura de ne plus jamais leur faire confiance, du moins il n'eut plus aucune attache envers celles-ci et s'exila en Autriche où il retrouva un vieil ami : Un satyre du nom de Erzac Levenstein: homme drôle et souriant qui n'avait jamais tourné le dos à Andrew. Il avait été, fut un temps un des disciples du grand alchimiste. Ce dernier plaça toute la confiance qu'il lui restait en lui et signa de ce fait, dans son testament que toute fortune, lors de sa mort, lui serait confiée, y compris sa création. Il se savait en danger, condamné et se devait de placer en sécurité ses trouvailles.
Ainsi, durant près de Vingt ans, l'alchimiste demeura avec son ami dans sa résidence privée qui s'étendait sur plusieurs hectares, puis il eut envie de mettre ses connaissances à l'épreuve. Il s'accorda une dernière folie en tentant de créer la femme parfaite. Ce fameux soir, il découvrit la créature exactement comme il l'avait imaginée. Elle lui apparut comme dans un rêve, une lumière aveuglante s'abattit dans le laboratoire, puis quand elle disparut, un corps nu était recroquevillé sur le sol froid en plein milieu du sceau tracé à la craie par l'alchimiste. Il se précipita vers le corps qui était celui d'une jeune femme. Il enleva sa veste et la posa sur elle, quand elle leva la tête toute apeurée, elle ouvrit ses grands yeux de biches brillants de reconnaissance et elle le regarda tendrement comme personne ne l'avait jamais regardé, comme il l'avait toujours espéré. De la cambrure de ses pieds à la pointe de ses cheveux, elle représentait pour Andrew, la perfection et malheureusement, il en tomba immédiatement fou amoureux. Ce fut la rencontre la plus fabuleuse de toute son existence et réciproquement. Il ne voulait pas obliger Campbelle à éprouver plus que de la sympathie ou de la gratitude pour lui. Il voulait laisser faire le temps. Il fit de Campbelle sa princesse. C'est à cet instant que le drame commença car...
Hélas, l'envers du décors était bien plus sombre et tragique. L'alchimiste n'en était pas à son premier Homonculus, il en avait créés bien d'autres avant. Leur rôle était de le protéger envers et contre tout. Il avait perdu des tas de créations et n'en était pas vraiment affecté car généralement les gens pensaient les Homonculus comme des créatures sans âmes et démunies d'émotions, par conséquent Andrew n’éprouvait aucun remord si l'un d'eux périssait pour le sauver. Il s'agissait même de leur devoir. L'unique but de leurs vies: Naître pour mourir. Les pratiques peu légales de Monsieur Jones Wilson qui s’était voué à certaines pratiques en Alchimie qui ne plaisaient pas tellement à la justice et même certaines découvertes menaçantes, attirèrent quelques convoitises sur ses écrits . Cependant, étant descendant d'une famille d'Alchimistes et de plus, fortunée, il avait déjoué la justice plus d'une fois, mais des alchimistes en avaient après ses écrits, ses découvertes et voulaient sa tête plus que tout. Le rôle prédestiné à Campbelle était de le protéger et d'être sa compagnie. Mais l'aimant d'un amour tendre et véritable, elle en perdu sa fonction d'origine. Par ce fait, durant près de 18 ans, il éduqua sa « fille » de la meilleure façon qu'il soit. Il lui apprit l'alchimie, les sciences, la littérature Française, Anglaise et Autrichienne. Il lui apprit comment une femme devait se comporter en société. Et la préserva, le plus possible, du monde extérieur. Elle ne manqua pas pour autant d'épanouissement, il la laissait faire ce qu'elle voulait aux abords de la maison à condition qu'il puisse l'accompagner et la surveiller. Cette liberté se limitait au jardin, à la forêt environnante et approximative, à l'étang et à l'arrière cour de la maison. Il en avait fait une machine de guerre mais pas pour sa propre protection. Il voulait qu'elle se protège, elle-même. Par ailleurs, Elle était interdite de sortie en ville ou dans des lieux publiques, tout contacte avec des humains faisait parti du domaine du rêve pour elle: l’extérieur était trop dangereux et elle demeurait bien trop fragile. Elle était prisonnière de la résidence privée, elle n'avait pas réellement de place dans la société, seulement celle dans le cœur de son créateur. Campbelle était son plus beau bijou et Andrew se mit ainsi volontairement en danger.
Un triste soir, l'alchimiste fut retrouver mort dans des circonstances étranges et des plus suspectes. Le corps fut enterré le plus tôt pour éviter toute dégradation de celui-ci. La justice plaça l'affaire comme « mort naturelle ». Erzac reçu comme convenu la garde de la jeune Homonculus et c'est à ce moment que la mission qui lui avait été confiée s’enclencha. Campbelle avait le devoir de le tuer mais elle devait attendre le moment approprié pour éviter que cela se retourne contre elle. Erzac quand à lui ne comptait pas la tuer : tout d'abord, il la pensait inoffensive, puis il savait que si un second meurtre était commis en ce même lieu en si peu de temps, la justice mènerait une enquête. Mais surtout, le laboratoire de Andrew était sécurisé et le seul moyen d'y pénétrer était Campbelle. Multiples sceaux scellaient l'entrée et elle en était la clé. Le fameux soir se présenta, après qu'Erzac ait bu, il rentra dans une rage folle et se jeta sur la jeune femme. Elle se devait de se défendre et étant ivre, il n'était pas en mesure de riposter. Elle durcit son corps, le transforma en acier et transperça nettement l'abdomen de l'homme. La mort de la créature fut rapide et il eut à peine le temps de souffrir. Elle laissa le corps étendu dans le salon et alla dans le cœur de la maison: le laboratoire, pour y déclencher un incendie. C'était pour elle, le seul moyen de mettre fin à tout ceci, bien que Andrew le lui avait formellement interdit...
Car voilà l'intrigue : Le maître confia ce fameux soir, à Campbelle le terrible acte de tuer Erzac. Durant plusieurs années il avait été fidèle mais cela était révolu. Les autres alchimistes avaient corrompu cet ami. Il avait plusieurs fois essayé de s'introduire dans le laboratoire pour consulter les écrits mais Andrew, l'avait chassé. Il avait bien menacé Andrew de le tuer mais il en avait que faire. Il savait qu'il ne pourrait fuir éternellement. Mais si il mourait, il faudrait que quelqu'un récupère sa création, le seule moyen pour qu'elle se délivre serait qu'elle se retrouve devant le grand public et soit jugée comme un être humain le serait. Que l'on voit qu'elle est capable d'avoir des émotions, des regrets, bien qu'elle soit un être artificiel. En l’abandonnant, elle saurait d'avantage se défendre contre l'ami corrompu, elle saurait protéger les écrits, les trouvailles incroyables et dangereuses de l'alchimiste. Andrew voulait sauver sa muse et ses recherches. Pourtant, la jeune femme préféra tout détruire. Cela éviterait une guerre interminable et cela fut ce qu'elle choisit : La paix. La liberté. La délivrance.
Suite à son acte Campbelle traîna le corps à l’extérieur de la maison, assez loin pour que les flammes ne l'atteignent et le couvrit d'un linge. Elle alla par la suite, se promener au bord de l'étang, recouverte de sang. Elle marcha longuement pour se calmer et chercher la solution la plus sage après ce qu'il venait de se passer: Elle alla se rendre au commissariat le plus proche en pensant que c'était la seule chose à faire. Elle ne dit pas un mot de toute la soirée. Elle était en état de choc. On lui posa des questions quand aux circonstances du crime et c'est seulement le lendemain, au petit matin, qu'elle avoua. Ainsi la décision prise fut que la jeune femme serait jugée dans son pays comme convenu. Et selon la décision prise par la cour, Campbelle serait amenée en France pour son nouveau lieu de résidence ou bien emprisonnée à Linz. C'est de cette façon qu'elle se retrouva dans cette salle d'audience pour faire son procès.
Campbelle se mit à sangloter de façon incontrôlable. Elle expira un grand coup: -Je vous prie de m'excuser... Excusez-moi.
-Allons ! Continuez, Campbelle !
-Je l'ai donc transporté à l’extérieur bien qu'il soit mort, bien que je l'aie tué, il ne méritait pas d'être réduit en cendre, durant des années Erzac a été présent, je l'ai tué car on me l'a demandé. Il y avait aussi de la vengeance, j'avais de la colère, de la rancune, de la rancœur mais surtout de la déception envers lui. Il était lui aussi... De ma ... Famille. Seulement il nous a trahi. Il était devenu menaçant. Puis... Je me suis rendue car je savais que je ne pourrais fuir et... Je me devais d'être jugée, de me purifier l'âme. Dit-elle en achevant son récit.
La salle resta quelques instants silencieuse. Les juges se regardèrent estomaqués. Cependant, la sincérité du témoignage réussit à les convaincre. Campbelle n'avait à aucun moment hésité, elle avait juré de ne dire que la vérité. Après que les juges se soient concertés afin de délibérer, l'un d'eux prit la parole :
-Mademoiselle ?
-Oui ? Dit-elle en relevant la tête de façon lascive.
-Nous avons décidés à l'unanimité que… Dit le quatrième juge alors que les gens retenaient leur souffle.
-Vous serez placée en liberté surveillée au sein du cabaret de Edward White. Il sera votre tuteur légal jusqu'à nouvel ordre... Vous êtes libre, Campbelle !
Une partie du public se leva pour crier sa joie, pendant que l'autre se contentait de huer la jeune femme. La salle fut aussitôt évacuée et la jeune femme entraînée vers la sortie.
Les policiers l'accompagnèrent pour sa nouvelle demeure le soir même. Le voyage prit quelques jours, elle passa la majorité du trajet à dormir ou à fixer, de temps à autre, le paysage défilant sous ses yeux. Cet événement l'avait complètement épuisée: physiquement, émotionnellement et moralement. Quand elle descendit de la calèche, il faisait nuit noire, seuls les lampadaires étaient source de lumière, ils faisaient luire les pavés: il avait dut pleuvoir dans la journée. Le ciel était d'un bleu des plus sombres et il était parsemé d'étoiles étincelantes qui se reflétaient dans l'eau claire des fontaines. La lune immense, quant à elle, brillait de son jaune d'or qui ressortait d'autant plus par la noirceur de son ciel, et sa présence imposante donnée une dimension féerique à la scène qui se déroulait sous les yeux de la jeune femme. Le silence planait, pourtant il n'était pas tard et il y avait peu de personnes. Quelques couples, dont les pas résonnaient sur le pavé et claquaient sur les flaques d'eau, sortaient de l'opéra. Les hommes étaient élégants et les femmes à leurs bras, présentées comme des bijoux par ces hommes, portaient de belles robes qui les mettaient magnifiquement en valeur. Campbelle était émerveillée par ce cadre enchanteur, les Français étaient beaux et fascinants, tout aussi mystérieux que la capitale: Paris. Elle découvrait enfin le mythe des Français. Ici, elle était prête à se repentir. Elle avait été la terrible meurtrière, elle souffrait d'une blessure intérieur qu'elle allait pouvoir apaiser car elle était libre et sereine, aujourd'hui... Au sein du Lost Paradise du moins et demain elle serait l’innocentée.
~FIN~ ♥ Sous le masque ~L'Homme est libre au moment qu'il veut l'être... Surnom(s) : On va dire: Sasa. Âge : 17 ans. Expérience en RP : Tout juste un an et demi, peut être deux ans. Mais vraiment active: sûrement un an et des poussières. Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : Joli et je ne sais pas pourquoi mais ça me fait penser aux musiques de "Caravan Palace", notamment: "Jolie Coquine". Probablement, le design qui me fait cet effet... Comment avez vous connu le forum ? Ma sœur qui m'a demandé de la rejoindre ♥ Avez vous lu le règlement ? Evidemment, voyons. D'ailleurs il m'inspire un vieux proverbe: Le loup gourmet ne mange que le code qui lui plait ~.
Dernière édition par Campbelle Jones Wilson le Lun 30 Juin - 0:17, édité 47 fois |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 10:19 | |
| Bienvenue, miss !
Bon courage pour ta fiche ^.^
Eeet..curiosité oblige...qui est ta soeur ? xD |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 10:58 | |
| Merci beaucoup. ♥ Alors pour ta curiosité... Ma soeur est *roulement de tambour* La sublime *roulement de tambour encore plus long* la magnifique *interminable roulement de tambour* la fantastique (elle m'a payé cher pour dire ça, ne m'en voulez pas): Sinead O'donnell :3 *Retourne à sa fiche*
Dernière édition par Campbelle Jones Wilson le Ven 25 Avr - 12:43, édité 1 fois |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 12:06 | |
| Il a suffit que je lise un seul nom " caravan palace " pour que je t'aime déjà toi o/ vive l'electro swing Rita et moi même allons être content ~ En tout cas bienvenue, j'ai hâte d'en savoir plus sur ta jolie demoiselle o/ |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 13:48 | |
| C'est génial "Caravan Palace" ♥ et Merci beaucoup pour cet accueil des plus chaleureux :3 |
| | | Valentine Lefevre
○~ Héroïne de contes ~○ Messages : 1671 Date d'inscription : 22/02/2011 Age : 34 Localisation : Partout, même là où vous ne l'imaginez pas 8D
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 18:16 | |
| Bienvenue ^^. Une autrichienne, hein, Bastian ne sera plus le seul. Par contre pour le règlement, si tu l'as vraiment lu, tu verras qu'il y a quelque chose en particulier à répondre à la toute dernière question |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Ven 25 Avr - 18:25 | |
| Oui, je sais, le code x3 Mais je le poste à la fin. Et merci beaucoup :$ |
| | | Edward White l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS lMessages : 2449 Date d'inscription : 21/12/2010
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Dim 11 Mai - 12:06 | |
| Hellow miss o/ Me voici pour la presque-validation de ta fiche ! En effet, vu que tu as oublié d'indiquer le code, je ne pourrais pas te valider immédiatement, mais je peux quand même te dire ce qu'il en est pour ta fiche. C'est parti ! Alors, en ce qui concerne la description physique, pour moi aucun problème. J'ai trouvé que c'était une excellente idée de décrire la préparation du numéro de Campbelle, qui s'accorde tout à fait avec l'idée qu'on se fait de ton personnage lorsque l'on en voit l'avatar. De plus, la lecture est fluide et efficace, bien que les quelques fautes repérées cassent un peu le rythme de ton récit, ce qui j'ai trouvé dommage ! La partie sur le moral est toujours aussi bien rédigée. J'aime beaucoup le parallèle entre la volonté de l'alchimiste et la réalité actuelle, cela permet de brosser toutes les qualités et les défauts de ton personnage en le rendant complet, mais également très humain pour un homonculus. Un petit bémol selon moi, pour la ponctuation. J'ai trouvé que cela manquait de virgule, comme tu as beaucoup de "mais" qui n'en sont pas précédés, on perd un peu notre souffle à la lecture, de même que la compréhension de certaines phrases devient plus longue. Ce n'est rien de bien méchant toutefois ! /o/ Et nous arrivons au passage crucial de l'histoire ! *roulement de tambour* Dans l'ensemble, je trouve que c'est réussi. Le début est très aguicheur, avec la scène du tribunal avec laquelle tu t'en es très bien sortie, puisque tu es la première à avoir tenté l'expérience. J'ai aussi apprécié l'espèce de double jeu dans lequel Campbelle se retrouve mêlée bien malgré elle, avec ce rebondissement sur la trahison du grand ami d'Andrew. C'était bien pensé de sa part, et le fait de pousser le vice de l'amour jusqu'à faire de sa muse une criminelle est vraiment quelque chose de fort. Ça se lit toujours très bien d'ailleurs o/ Après je pense qu'il y a des problèmes de cohérence à certains endroits, dont le plus flagrant concerne les lieux. Il n'est mentionné à aucun endroit que Campbelle et Erzac, aient quitté l'Autriche pour la capitale française, or, la mort du satyre semble se dérouler à la fois à Paris et en Autriche puisque tu signales que : - Campbelle a écrit:
- • Suite à son acte Campbelle alla se promener au bord de la scène […] // (Que je suppose être Seine.)
• Elle laissa le corps étendu dans le salon et s’introduisit dans le laboratoire pour détruire les écrits. // (Les écrits d'Andrew étant, logiquement, toujours chez lui en Autriche.) Donc là, je crois qu'il y a un gros souci. Je pense que c'est le lieu du tribunal qui t'a forcé à tenter cette pirouette. Alors afin de te rassurer, sache que le tribunal est accessible depuis tous les pays. C'est une espèce de lieu unique, qui donne sur différentes portes du monde humain, ces dernières n'étant accessibles que par les personnes connaissant leur existence, évidemment. Donc tu peux laisser Campbelle en Autriche lors de l'assassinat du Satyre. Ce que je préfèrerai d'ailleurs, car je doute qu'Edward accepte d'engager une jeune fille qui a fait la une des tabloïds pour meurtre. Il y a d'autres petits "bugs", dont celui où tu expliques dans un premier temps que Campbelle est libre d'aller où elle le veut en compagnie d'Andrew, avant de te raviser en signalant qu'elle était prisonnière de la maison. Sinon ton histoire est bien, mais ces problèmes de logiques pêchent un peu ton histoire dans laquelle on a tendance à se perdre sur la fin, ne comprenant plus vraiment où en sont les personnages. Une dernière chose, tu écris dans ton texte que "tout le monde" considère que les homonculus sont des êtres "sans âme". C'est une erreur. Ton maître peut le considérer de la sorte, mais toutes les Créations des légendaires ont les mêmes droits que leur créateur. Ce qui en fait des êtres à part entière. Mais là c'est surtout un détail pour lorsque tu débuteras le RP o/ Je pense qu'une relecture complète va t'être nécessaire pour corriger au moins ce gros problème de lieu, ainsi que les fautes d'orthographe et d'accord qui parsèment tes textes. Tu es un peu fâchée avec les terminaisons "ait", "er", "é," non ? xD Voilà une grosse partie de ce que j'ai relevé, j'en ai certainement loupé, mais si tu pouvais avoir la gentillesse de relire tranquillement, quitte à utiliser des correcteurs en ligne comme Bon Patron ou Scribens. - Correction : Edward a écrit:
- Description morale:
- […] ses longs cheveux noirs tombaient à merveilles.
- Elle se pencha vers la petite boite en ivoire posée près du miroir et en sortit des épingles. Elle répéta l'action passée […]
- […] de grands yeux perçants qui paraissaient marron […]
- […] en faisaient davantage ressortir la couleur et le grain de beauté sous l’œil gauche, lui donnait un air de glamour.
- Elle estompa avec un pinceau et ouvrit enfin, dans un battement de cils, ses yeux qui avaient le don de transpercer l'âme […]
- […] ses joues bouillantes qui avaient, certainement, tourné au rouge pivoine.
- La chaleur lui montait jusqu'aux paupières, […]
- […] le rouge à lèvre carmin s'accordait parfaitement […]
Descritpion morale :
- […] son maître, voulut en faire […]/ Il la voulut intelligente […]
- […] dans les moments difficiles […]
- […] elle sera des plus noires […]
Histoire :
- Campbelle, l'état dans lequel le corps de monsieur Carter a été retrouvé était dans un piteuse état. (Là c'est surtout un problème dans la phrase o/)
- Oui, j'assume l'avoir tué. Je ne l'ai jamais nié […]
- Veuillez nous expliquer pourquoi vous avez caché la cause de la mort de votre père, ne pas l'avoir empêché si ce fut pour ensuite tuer son ami.
- […] Il prit cette décision
- […] toute la confiance qui lui restait […]
- […] quand elle disparut […]
- Il ne voulait pas obliger […]
- Le fameux soir se présenta, après qu'Erzac ait bu […]
- […] cela fut ce qu'elle choisit […]
- Elle était en état de choc.
- Je l'ai donc transporté à l’extérieur bien qu'il soit mort, bien que je l'aie tué […]
- […] elle avait juré de ne dire que la vérité.
Voilou ! Je te laisse donc ajouter le code, relire ta fiche et corriger les fautes et surtout la partie concernant le mélange "Paris/Autriche" et dès que ce sera fait, tu seras validée ! N'hésite pas à nous contacter, Aldrick ou moi, si tu as des questions, ou pour nous dire lorsque tu auras terminé ~ |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Dim 11 Mai - 13:02 | |
| Alors alors merci d'avoir lu ma fiche.
Pour tout dire oui je voulais dire "seine" mais ... Je sais pas pourquoi j'ai écrit cette horreur. Ensuite pour le lieu j'y ai pas fait attention, je pensais juste dire qu'elle a été jugée en Autriche puis exportée en France (son lieu de résidence) après je vais ajouter la ponctuation parce que justement, je fais attention, soit y en a trop, soit pas assez (je ne connais pas de juste milieu) après pour les terminaisons, désolée mais je n'ai absolument pas corrigé hier alors je vais faire ça. ^^"
Et désolée. Merci !
Ps:Une autre incohérence que vous n'avez pas remarqué ! AHAHAHAH.
J'ai dit qu'elle s'introduit dans le labo' pour détruire les écrits. Hors j'ai dit qu'elle a mis feu à la maison, donc elle n'est pas allée dans le laboratoire. Je corrige ça immédiatement. |
| | | Aldrick Voelsungen
Man & Wolf : I'm armed Messages : 2050 Date d'inscription : 02/06/2012 Age : 36 Localisation : Pas si loin de vous...
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Dim 11 Mai - 19:40 | |
| Bienvenue officiellement au Lost o/ Alors comme Edy a déjà exprimé le fond de sa pensée pour te couvrir de recommandations, voici venir mon tour. Ça devrait être plus circonscrit- enfin normalement... ^^" Tout d'abord je tiens à dire que ta plume est plutôt fluide et qu'on la lit assez bien dans l'ensemble, que c'est très détaillé et qu'on imagine de ce fait, Campbelle sans soucis agir de telle ou telle façon. Je n'ai pas particulièrement accrochée à ta description, mais c'est une question de goût personnel : le maquillage et moi, étant loin d'être une histoire d'amour... Alors en entendre vanter les vertus, même avec une si charmante créature me passe, je le reconnais, un peu au dessus de la tête. En revanche, ce fut l'effet inverse pour le caractère ! ^^ J'aime beaucoup l'idée de l'opposition ainsi mise en scène, et je trouve qu'elle colle vraiment bien avec un homonculus, surtout vis à vis d'un humain. /o/ Ce passage m'a charmé, véritablement. L'histoire enfin, là, tu t'en doutes, ça se corse un peu, alors je vais parler en priorité de ce qui coince. Déjà merci pour les modifications que tu y as apporté, je pense que tu as supprimé le plus gros des fautes si j'en crois la liste d'Edy. Côté conjugaison je te demanderais juste d'éditer celle-ci dans le premier paragraphe s'il te plait : "Un murmure parcourra la salle" => Parcourut. Pour le reste ça va pour moi. Même si je ne saisis pas bien en revanche pourquoi de temps à autre apparait une majuscule au milieu d'une phrase ou un mot manque à l'appel mais ce n'est pas très grave au fond, et ça n'enlève rien au récit, rassures toi Dans le contenu à présent, il n'y a que la fin qui me tracasse un peu. Le reste étant assez fluide, et facile à imaginer, je ne peux que saluer ta plume avide de détails colorés. Compte tenu du dénouement, je crains que le terme "acquitter" ne soit pas le plus adéquat. Car bien que suivant les ordres de son Créateur, (le véritable coupable en définitive) de par son crime avoué, et de la peine qui en découle, il serait plus judicieux -il me semble- de parler là de "liberté surveillée". Car si la Curia la place sous la tutelle d'Edward, pour qu'elle fasse ses preuves au Lost, c'est bien qu'elle n'est pas jugée suffisamment fiable en temps qu'individu pour pouvoir jouir de sa propre liberté. Par ailleurs, tuer un être vivant, Légendaire ou non, reste un acte puni par la loi, ce n'est pas anodin, même en sachant qu’elle n’est pas incriminée comme meurtrière à part entière. Je crois d'ailleurs qu'au fur et à mesure de tes rps futurs tu pourrais glisser que les agissements de son Créateur à l'encontre de ses premiers homonculus ont été découverts après sa mort. Mais là, hormis pour l'acquittement, et la parution dans les journaux -dont te parlait Ed- et que tu as dû oublier je pense, inutile de modifier. Autrement, je salue ta volonté à traiter de la Curia, bien qu'elle ne soit pas encore détaillée sur le forum. L'exercice n'est pas aisé, et pourtant l'idée est originale. Même si cela ne correspond pas vraiment avec notre vision définitive d'une comparution, tu as le mérite d'avoir été hors des sentiers battus et d'avoir tenté par là de t'approprier, non seulement le monde des Légendaires, mais aussi la vision de Campbelle dans une période trouble de son existence. Ce qui est tout à ton honneur et rend l'homonculus attachante. Il y a donc juste les trois points cités plus hauts à modifier, et on devrait pourvoir te lire prochainement sur le forum /o/ Encore bienvenue au Lost ! |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Dim 29 Juin - 18:54 | |
| Je pense que tout est en règle ~ J'attends votre sentence |
| | | Edward White l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS lMessages : 2449 Date d'inscription : 21/12/2010
| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ Lun 30 Juin - 21:07 | |
| Bon retour parmis nous o/ Après relecture, je pense que tu as corrigé l'ensemble de ce qui t'a été demandé. Il reste quelques fautes de participes passés, mais rien de bien méchant et si tu y fais attention pour tes prochains postes il n'y aura pas de soucis o/ Je t'annonce donc que tu es VALIDÉE !! Je vais tout de suite t'ajouter au groupe des artistes /o/ Je te laisse suivre les instructions suivantes pour terminer ton entrée au Lost Paradise ~ Bienvenue au Lost Paradise Il faut maintenant… ♤ Faire ta demande de rang ici. ♧ Pour les relations, c'est par là. ♢ Pour une demande de RP c'est ici. ♥ Et pour suivre l'intrigue c'est là
Et bon RP parmi nous ! |
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| Sujet: Re: Campbelle: Douce créature ♥ | |
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