Citation /o/

BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA.

Rejoins la Lune dans son chariot de perles

De son vivant, Bridget était le soleil rassurant de Reilly, depuis sa mort, elle est son inspiration lumineuse. Il le sait : elle veille sur lui, peu importe où elle se trouve ; lui a l'intime conviction qu'elle est l'étoile qui brille le plus, juste à côté de la Lune, son autre mère. Tout le monde disait de Bridget qu'elle était une femme exceptionnelle, un vrai rayon de soleil, un sourire superbe peu importe ses humeurs ou ses faiblesses. Aussi, un esprit des plus fins, et une réflexion des plus développées - surprenant, disait-on, pour une simple fille de pêcheur. Elle était aussi extrêmement joueuse et malicieuse, aventurière, et ne reculait jamais devant un défi ! Surtout si on mettait en question une de ses qualités... Il semblerait d'ailleurs qu'elle ait légué ces qualités à Reilly. Parfois, lui se demande s'il y avait quelque chose qu'elle ne savait pas faire, sa mère, tellement elle s'intéressait à tout et à tout le monde. D'ailleurs, elle battait aussi quiconque voulait se mesurer à elle niveau boisson. Et Reilly marche bien dans ses pas.

Way hay and up she rises~

Quoi de plus appréciable qu'un oncle qui vous apprend à attraper les papillons de nuit ? Reilly adorait Sean, inutile de le préciser, le frère cadet de sa mère était tout autant une grande inspiration pour lui qu'elle ne l'était. D'une grandeur impressionnante, tant physique que d'esprit, Sean était un irlandais tout à fait représentatif des qualités de ce pays magnifique qu'est l'Irlande. Il était aussi, pour Reilly, un excellent professeur, toujours plein d'astuces et de tours de magie. La seule tâche dans ce portrait si parfait de son oncle est sûrement le fait que c'était lui, dans ses jeunes années, qui lui coupait les cheveux. Avec un ciseau de cuisine. Enfin ! Pour un marin averti, c'était quand même pas mal. Et puis, quiconque connaissait Sean pouvait affirmer ne voir que la partie 'ours en peluche douillet' de son être. Reilly se demande encore parfois comment aucune femme n'a pu tomber sous son charme robuste. D'ailleurs, il s'est toujours demandé s'il ne s'était pas trouvé une nymphe, une sirène ou une jolie dryade quelque part, dans ses voyages en mer...

Dois-je répondre à cette insinuation à peine voilée ?

Ah Lylian...Lylian Lylian Lylian...Comment dire qu'au moment où il l'a rencontré, Reilly était loin de s'imaginer à quel point ils allaient être proches. Lylian est son meilleur ami, son confident, son conseiller, parfois, et surtout Lylian est quelqu'un qu'il admire, tant pour son franc parler que pour ses manières. Le jeune homme, noble de naissance, se fiche totalement du rang des personnes qui l'entourent, pourvu que celles-ci lui plaisent. Leur rencontre s'est déroulée sous forme de dispute courtoise pour le dernier croissant dans la boulangerie qui est, pour eux deux, la meilleure de Paris. Après dix minutes de piques verbales subtilement glissées dans le débat, Lylian avait fini par dire : "Ok, tu me plais. On partage. Allez, tu me suis !", et ses petits talons avaient claqués sur les pavés de la rue, tandis que sa main gantée -pas plus grande que celle de Reilly, d'ailleurs- avait saisi sa main sans même lui en demander l'autorisation. Après un long moment de confusion, et après une grande discussion qui avait fini par "Reilly, tu dois apprendre à te défendre, et à être moins gentil. Je vais t'apprendre.", leur amitié avait été scellée. De manière étrange, certes, mais un peu à leur façon à tous les deux. Peut-être est-ce d'ailleurs parce que leurs façons sont si étranges qu'ils sont aussi proches ?

Entre aiguilles et pinceaux !

Ah, sa maquilleuse préférée ! Ce fut une des premières avec qui Reilly a dû travailler en arrivant au cabaret. D’un an son aînée, la belle dryade est pour lui une sorte de grande soeur, quand elle n’est pas sa compagne de crimes ; oui oui, ensembles ils forment le duo des tornades du Lost, artistes des farces et autres aventures en tout genre que leur amitié les amène à concocter — au grand déboires des autres membres du cabaret, parfois, il faut bien le dire, leur humour n’est par moments pas celui de tout le monde. Jade et lui partagent quelques traits de caractère, que ce soit au niveau de leur souci du bien être de leur entourage, du fait qu’ils soient très tactiles, ce qui a facilité leur rapprochement, et dire que Reilly ne cherche pas sa dryade de coeur tous les jours pour un câlin est impensable. Aussi, le fait qu’ils aiment, chacun dans leur genre, passer la nuit ça et là leur est également commun, et il leur arrive bien souvent de prendre un verre ensemble afin de partager leurs aventures intéressantes ou plus ou moins appréciables. Quand Reilly a eu le malheur de tomber sur un libraire un peu trop collant, Jade était la première au courant ! Le petit lorialet adore également travailler à ses côtés, les soirs de représentation, afin que tenue de l’artiste et maquillage soient en raccord parfait. Et, même si parfois leurs sens artistiques s’accrochent un peu méchamment et qu’ils ne sont pas toujours d’accords, le petit couturier sait reconnaître une artiste quand il en voit une. Et il sait que, ensembles, il forment un vrai duo de choc !

Pendant que le loup n'y est pas...

Ah... le commissaire Voelsungen... bon, Reilly s'en doute : cet homme a un bon fond, il le sait, il a du flair. Mais il est impressionnant. Et pas qu'un peu. En fait, ils ont déjà discuté tous les deux, mais... ils n'ont pas du tout la même vision du monde, ça il faut bien le dire. Et puis, même s'il a l'air intéressant, ce commissaire, et qu'au fond il le trouve sympathique, Reilly ne tient pas spécialement à passer une soirée en tête à tête avec lui. S'ils sont réunis au sein d'un groupe de personnes, pas de soucis, mais rien que tout les deux... il y a un grand risque de malaisance, oui.

Citation /o/

BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA.