Darren Grant
 Messages : 1 Date d'inscription : 07/10/2021
 |  Sujet: Darren Grant, l'écossais bien loin de sa contrée.  Sam 9 Oct - 18:46 | |
|  Badou Nails / Dogs Bullets & Carnage Darren GrantPhrase de votre choix - Surnom(s) et/ou nom d'artiste : Il en a accumulé beaucoup trop et ils ne sont pas tous agréables...
Âge (en apparence) : 24 ans
Sexe : Masculin
Nationalité : Écossaise
Orientation sexuelle : Hétéro
Race : Humaine
Métier : Détective privé mais fait des petits boulots à droite à gauche.
Taille : 1m80
Poids : 65kgs
Conviction :
[X] Neutre [ ] Pro-Légendaires
[ ] Anti-Légendaires [ ] Indéterminée
Membre d'un parti
[X] Non [ ] Pro-Légendaires [ ] Anti-Légendaire
Tu m'as vu ?! Acte 1, Scène 1 : DarrenLe rideau s'ouvre sur les toits de Londres, la nuit tombe paresseusement tandis qu'une silhouette, longiligne et fine, escalade agilement une gouttière, jetant parfois des regards inquiets vers le sol qui s'éloigne de plus en plus. Elle atteint finalement le sommet et se laisse une minute pour reprendre son souffle. Puis elle se redresse et avance au centre du toit, observant les environs. Au reflet de la lune, on peut voir que l'individu est un homme d'une vingtaine d'années, possédant des habits de seconde zone. Les cheveux attachés négligemment en queue de cheval semblent flamboyer légèrement, indiquant leur rousseur.
Il sort nonchalamment un bout de papier de sa poche, le déplie et regarde avec hésitation. Puis il le range à nouveau et fait quelques pas vers la droite avant de s'arrêter de nouveau, soupire, se gratte l'arrière de la tête et cherche quelque chose par terre.Darren * fait la grimace et marmonne avec un fort accent écossais* Bon où est passée la planche...Il fouine jusqu'à ce qu'il trouve enfin l'objet, affichant un sourire de victoire. Il la ramasse, vérifie sa solidité et s'approche du bord du bâtiment, regardant celui d'en face. Il pose la planche entre les deux et avec peu d'assurance, il s'engage dessus malgré la dangerosité. Les jambes flagellent, les bras tendus de chaque côté du corps essayent de le garder en équilibre. Et finalement il rejoint l'autre côté sans incidents. Petite danse de la victoire avant de se figer, réalisant que quelqu'un l'observe.
Il n'est pas seul sur ce toit.Acte 1, Scène 2 : Darren, "Edmond Globine"En équilibre sur le sommet d'une cheminée, un homme habillé d'une redingote et d'un chapeau haut de forme le regarde. Raide comme un piquet, il détonne dans le décors. Il lève une main vers son couvre-chef et l'abaisse légèrement en guise de politesse. Le rouquin le toise avant de lever aussi la main mais pour la secouer bêtement pour faire coucou.Edmond : Agréable soirée, n'est-il pas ? Darren : * renifle légèrement* Fait pas trop froid, idéal pour se promener, mon bon m'sieur.Edmond :* lève la tête vers la lune* Le ciel est clair, la lune resplendit comme jamais.Darren : * regarde dans la même direction, dévoilant derrière ses mèches rebelles un bandeau sur son œil droit.* Bien d'accord avec vous. Comme ça au moins on ne risque pas de tomber du toit à cause de l'obscurité.Edmond : * lâche un petit rire sans joie* L'obscurité n'est point un soucis pour les miens, c'est plutôt lorsqu'il y a trop de lumière, le problème.Darren : * se mord la lèvre, analysant l'individu et faisant une déduction déplaisante. Mains dans les poches, il croise les doigts* C'est... pratique pour faire des économies en bougies. Sur ce, m'sieur, je vais continuer ma route. Bonne continua...Edmond : * se tourne vers lui, interrompant net la phrase de Darren* Dites moi... Accepteriez-vous de m'accorder quelques gorgées ?Darren : * se fige, réfléchissant à toute vitesse; son œil valide d'une couleur améthyste ne quittant pas le noble immortel. Après ce qui semble un long moment, il ouvre enfin la bouche, prenant une voix avec le moins d'accent possible et avec un lexique qu'il emploie peu.* Hélas, apprenez, mon cher Monsieur, que je suis actuellement en train de travailler, je ne serais en mesure d'assurer mon poste si je devais me séparer ne serait-ce que de quelques gouttes de mon précieux sang. Voyez comme ma carrure est maigre, je faillirais immédiatement, à ne point douter. Et je ne voudrais pas vous incommoder de l'odeur de tabac dont mes habits sont imprégnés.Edmond : * l'écoute attentivement, trouvant son discours passionnant. Malgré le refus, il sourit* Vous m'en voyez navré. Je comprends cependant votre refus et n'abuserais donc pas plus de votre temps.Darren : Me voilà fort aise. Si vous n'être point rebuté par la basse société, je ne saurais que trop vous conseiller de demander à quelques gens du bas peuple. Contre quelques piécettes, certain vous offrirons un peu du breuvage que vous appréciez tant. Ce soir est un jour maigre, beaucoup doivent lorgner les Pubs avec envie dans l'attente du jour de paye. Il ne serait surprenant qu'ils veuillent remplir un peu leur bourse.Edmond : Vraiment ? J'en prends note et vais vous laisser. Bonne nuitée à vous, cher ami.Darren : * le regarde s'élancer dans le vide et disparaître sans un bruit* ... de même.Il soupire, soulagé. Pour se redonner de l'énergie, il fouille dans sa veste et ressort un paquet de cigarettes, en prenant une et l'allume grâce à un briquet plus vieux que lui. Il ne reprend la route qu'une fois le bâtonnet de tabac consumé de moitié. Se dépêchant pour rattraper son retard, il prend de l'élan et saute sur le toit suivant, plus bas et plus proche que le précèdent. Il parvient à se réceptionner sans trop de casses et trottine jusqu'à l'autre côté, arrivant à destination. En face se trouve un hôtel particulier de grande ampleur. Le rouquin s'en approche, aussi discret que possible. Il écrase sa clope et repère une fenêtre ouverte. La lumière étant éteinte à l'intérieur, il tente et escalade le mur pour grimper dedans. Malgré son apparence maigrichonne, il parvient malgré tout à se hisser et disparait dans l'ouverture.Acte 1, Scène 3 : Darren
Darren avance presque accroupit, de façon complétement ridicule mais il s'en moque, concentré. Personne dans la pièce. Ou presque, ça ronfle dans le lit et si le rouquin part du principe que si lui ne le voit pas alors la personne ne le voit pas non plus, il continue sa route sans un bruit. Arrivé à la porte, il l'ouvre délicatement et se glisse dans le couloir. La lumière le dévoile un peu plus, montrant sa peau un peu trop pâle héritée de sa rousseur. Curieusement, pas de tâches de rousseur sur son visage émacié de trop de repas manqués. Son regard est vif, il analyse ce qu'il a autour de lui et repère un chariot laissé par une servante tandis qu'elle semble nettoyer dans une chambre. Il s'en approche, faisant mine de traverser simplement l'endroit et d'un geste adroit il attrape le passe-partout qui pendouille sur le rebord. Clé en main, il accélère et file dans la cage d'escaliers. Vérifiant en haut et en bas que personne ne s'y promène, il ressort son bout de papier, mais ne l'ouvre pas, lisant un griffonnage inscrit dessus. Il fronce les sourcils dans l'effort de décryptage et fait la moue en marmonnant dans la barbe qu'il n'a pas, étant imberbe. Darren : * en regardant les lettres manuscrites un peu plus près de la lumière* Mais qui a écrit comme un cochon ?! Clyde espèce de ... merde c'est mon écriture ça...Un peu honteux, il range le papier et file vers le haut, s'enfilant trois étages dans les jambes avant de s'arrêter, reprenant son souffle, épuisé. Gros fumeur, il perd toujours rapidement son souffle, même si ça ne l'empêche pas de tracer quand le danger guette, quitte à faire de l'apnée. Finalement requinqué, il se redresse et s'avance vers le nouveau couloir, jetant un coup d’œil à droit, puis à gauche. Personne. Il fait quelques pas, observe les numéros de chambres et prends la direction souhaitée avant de s'arrêter devant une porte qui semble lui plaire. Le passe partout toujours en main, il déverrouille délicatement et tend l'oreille. Pas de bruits suspects, il entre...Acte 1, Scène 4 : Darren, Edgar Sons, le Père Vert.Finalement, il s'était trompé. Pas de chambre, non. Par contre, il a raté les pleurnichements. Et c'est pour cela qu'il se retrouve dans une pièce tamisée mais occupée par deux personnes parfaitement réveillés, l'observant avec surprise. Parmi eux, un homme bedonnant, chemise ouverte et visage lubrique choqué de l'apparition du roux. Père Vert : * balbutie sous la surprise* Qu... qu... qui êtes vous ?!Darren : * pointe son doigt vers le gros monsieur, outré et cherchant par tous les moyens d'excuser son intrusion* AH ! Qu'est-ce que c'est que ces manières ?! On vous a jamais dit que c'est pas beau de voler ?! Je viens récupérer ce que vous avez dérobé, ordure de... Hein ?!Le rouquin qui se tétanise en réalisant que l'homme n'est pas seul. Un des jeunes garçons rôdant dans les rues, qu'il a l'habitude de croiser, se retrouve également là. Sauf que celui-ci semble pas vraiment approuver la situation, coincé dans un coin de la pièce, les larmes aux yeux. L'écossais en perd le fil de son plaidoyer. Tournant la tête vers le mioche, commençant à comprendre la situation, il se reprend et menace à nouveau l'homme de son doigt inquisiteur.Darren : * se rapproche d'eux lentement* Oooooh, c'est pas du joli joli tout ça ! Vous n'avez pas honte ?! Écœurant, vous...Il remarque sur le petit buffet derrière eux l'objet de sa présence ici, une sorte de tissu mal lavé et vieillit par le temps, mais il repère également un col blanc réservé aux ecclésiastiques, posé à côté. Père Vert : Sortez d'ici ! Manant !Darren : * fait une grimace de dégoût qui met en colère le gros monsieur* Ah bah bravo, je remercie pas l'autre andouille, fallait que je tombe encore sur un lubrique qui se croit au dessus des lois... Bon je crois qu'il n'y a plus qu'à... Avant de terminer sa phrase et que le religieux ne réagisse, Darren attrape un drap sur le lit et le lui jette à la figure, le coince dessous et habilement, lui saute dessus, le faisant tomber, s'empressant de l'immobiliser. Il fait un signe au gamin de déguerpir, celui-ci hésitant un moment, puis s'enfuit à toute allure. Une fois certain que le petit est loin, il repousse la boule de gras, qui se débat comme un dingue, et s'empare du bout de tissu avant de prendre les jambes à son cou, lui aussi. Espérant ne pas tomber dans les escaliers, il dégringole les marches jusqu'au hall d'entrée et file sans demander son reste dans l'avenue, pestant de la situation catastrophique dans laquelle il s'est encore mis. et d'esprit Présentation psychologie (En 300 mots minimum) Histoire d'une vie Histoire (En 500 mots minimum) Impact de l'Heure Pourpre Il n'a pas été plus surpris que ça. A vrai dire, à force de crapahuter il a finit par voir des choses qui sortaient beaucoup trop de la normale pour être expliquées. Et puis on lui avait déjà, à plusieurs reprises, sous-entendu la chose. Venant d’Écosse, les fables et légendes l'ont toujours entourés. Au moins à présent il n'a plus à débattre sur l'existence des fantômes ou non. Aussi, à part se dire que cela allait être un vrai bordel à gérer, il reprit ses activités comme si de rien n'était. Un client reste un client, tant que celui-ci ne cherche pas à le becter.
Sous le masque - Surnom(s) : Izana/Hika/Val
Âge : 31 (Luke, je suis vieux...)
Expérience en RP : 14-15 ans je dirais (avec des pauses)
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Comment avez vous connu le forum ? DC
Avez vous lu le règlement ? Englouti par un lycan affamé
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