1 - Comment installez-vous une ambiance ?

J'essaie d'utiliser le plus de sens possibles, aussi bien ceux du lecteur que du personnage. Je trouve que c'est une des choses qui permet le mieux d'imaginer une scène. Pas besoin d'être trop précis, il faut laisser une part de mystère selon moi, juste de quoi attiser l'imagination.
J'essaie aussi de décrire un lieu selon une logique « filmique » (est-ce que ça se dit ?). C'est à dire que j'utilise des axes, de bas en haut, de droite à gauche, etc. pour guider le lecteur et l'aider à comprendre l'orientation et la disposition de la pièce.
J'aime beaucoup utiliser tout ce qu'un lieu peut offrir de matières pour un texte. Je trouve que parfois la puissance de l'environnement est sous-estimé alors qu'il permet énormément de choses.

Bon… expliqué comme ça, je ne sais pas si c'est très clair, mais je l'espère !

2 - Est-il / elle allergique à quelque chose  ?

À sa belle sœur ? Au reste du monde ? Si ça compte comme des allergies alors Edward en a beaucoup ! Mais si l'on parle de vraies allergies, alors non, ce brave loup ne craint rien ni personne ! Il a juste la truffe trop sensbible, ce qui le fait éternuer facilement.

Andréa a tiré le gros lot en étant allergique à la morphine. C'est souvent ce que les Lycans utilisent les soirs de pleine lune pour éviter de s'en aller gambader librement et croquer ces vilains humains qui traînent sur leur territoire.
Grâce à Dolores, le louveteau a heureusement trouvé un subtitu, mais il reste expérimental et parfois moins performant que la morphine. La Curia travaille également sur une autre substance, mais elle n'est pas encore au point.

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?

Edward est fier comme un loup de cette grande perche maigrelette qu'il a comme neveu. Pour lui c'est sa plus grande réussite, bien au-delà du Lost. Il est heureux de lui avoir permis de s'intégrer au sein du reste des Lycanthropes et plus encore de voir que le louveteau a réussi à accepter cette nouvelle nature qui lui a pourtant tout pris.

Une journée passée sans rien casser, une sortie où il n'a rien perdu, ni fait de mauvaises rencontres, un manteau conservé plus d'une semaine sans y faire de trou ou égarer un bouton, voilà ce qui fait la fierté d'Andréa. Ces petites victoires du quotidien n'ont pas de prix pour lui.

1 - Comment installez-vous une ambiance ?

A dire vrai, je ne suis pas certain d'être doué pour ça, néanmoins, j'essaie de le faire avec des phrases assez courtes, chocs, parfois même un mot ou deux, dont le sens est puissant. Il m'arrive aussi de sauter des lignes pour insister sur ces points ou de changer de police, voir de mettre en gras (assez rarement pour ces deux derniers éléments cela dit). Mais globalement j'essaie surtout d'avoir un message clair et précis. A l'instar d'Edward, j'utilise le décor et les sens pour y parvenir. Très, très rarement, j'ajoute une musique ; en partie parce que je pense qu'un bon texte peut se suffire à lui seul si le contenu est vibrant et que la musique, aussi incroyable qu'elle soit, peut aussi déconcentrer ceux qui sont déjà à fond dans la lecture. J'aime aussi à interpeler l'autre rôliste dans une situation de crise avec des injections pour être sûr d'avoir son attention et faire ressortir le caractère particulier du moment.



2 - Est-il / elle allergique à quelque chose  ?

Physiquement rien. Mais la bêtise lui semble être d'une contagion trop vive, ainsi que l'absence d'écoute dont peut faire preuve sa mère sur certains sujets. Idem pour son beau-père. Cela dit, pour lui, il n'a aucun espoir de guérison, ni aucun espoir tout court, il n'en vaut pas la peine.

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?

De beaucoup de choses en réalité. Aldrick a sur un tas de sujets divers et variés beaucoup trop de fierté (quoi qu'en pense Edward), mais la plus grande est de faire partie de plusieurs familles en même temps et pour rien au monde il ne voudrait changer ça. Que ce soit celle dont il porte le nom, celle qui lui a offert des sœurs et un frère ou celle constituée de lycanthropes. Toutes lui conviennent en dépit de leurs défauts.

J'ai du retard, mais bon...

Question au rôliste

1 - Comment installez-vous une ambiance ?

C'est quelque chose sur lequel je peine souvent. J'ai du mal à faire des descriptions des lieux, je trouve que je manque de vocabulaire. Du coup, je me concentre d'avantage sur les ressentis de mon personnage, ses sensations, ses pensées, ses troubles physiques pour permettre au lecteur d'être en phase avec mon perso.

Question à sa muse

2 - Est-il / elle allergique à quelque chose  ?

Pas à sa connaissance… Ni à la mienne. Mais il n'est pas à l'abri d'une mauvaise surprise...

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?

De ses déguisements. Quand il arrive à duper quelqu'un il est vraiment content de lui ^^
Il n'a pas de fierté ouverte, c'est quelque chose de plus personnel, il va pas se vanter (sauf pour ses déguisements) mais par exemple quand il arrive à dérider quelqu'un, à détendre une atmosphère, à sortir un bon mot, il est content de lui aussi, ça le rend heureux.
De manière plus discrète, il est fier d'être où il est parce qu'il y est arrivé par ses propres moyens.

Question au rôliste
1 - Comment installez-vous une ambiance ?
... Je n'y ai jamais réfléchi avant.

Je suppose que je la vis et qu'ensuite je "l'extrais" ? Mon écriture change automatiquement selon ce que je décris, ou pour quel personnage j'écris. J'aime "parler avec leurs mots", ce qui fait que pour Fred j'écris souvent avec des mots d'argot, je me focalise sur ce que lui retiendrait de la pièce, ce qu'il remarquerait d'une personne. Si j'écris pour un autre personnage, je zoomerai sur des choses différentes et les décrirai avec d'autres mots, je suppose...?
De la même manière, je tente à ma manière de ressentir la scène comme ils la ressentiraient, et je fais des phrases plus courtes, plus longues, plus humoristiques ou au contraire plus poétiques selon le moment vécu. La moitié du temps j'y réfléchis sérieusement. L'autre moitié du temps, c'est la scène qui m'inspire PUIS l'émotion que ça déclenche en mois dicte les mots qui me viennent pour la décrire.

Je serais bien en peine de devoir dire si je suis douée pour ça ou non. Ça se fait souvent malgré moi. Mais merci de m'y avoir fait penser ! Je pourrai y prêter plus attention les prochaines fois !


Question à sa muse
2 - Est-il / elle allergique à quelque chose  ?
Probablement. Mais quoi ?...
Fred a prit de Morgan tellement de traits aléatoires dont aucun des deux n'a conscience qu'il est fort probable qu'il soit allergique à des substances improbables dont il n'a, pour lors, pas encore conscience.
Je suppose que nous découvrirons tous desquelles il s'agit en RP

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?
De Morgan.
Y a-t'il vraiment besoin d'expliquer pourquoi ?...

Question au rôliste
1 - Comment installez-vous une ambiance ?
Question très difficile. Je sais que j'ai déjà besoin de ressentir cette ambiance, de la sentir au fond de moi ( d'où la nécessité, souvent, d'avoir de la musique ) et après... après j'écris. Je me laisse porter. Je retranscrit ce que je ressens, ce qui me fait vibrer quand je laisse mes doigts glisser sur le clavier.

Question à sa muse
2 - Est-il / elle allergique à quelque chose ?
Ashton : Pas que je sache. Par contre, il ne supporte pas l'huile de foie de morue. C'est viscéral : ça le fait vomir.
Narcisse : Je ne crois pas. Comme l'a si bien dit Billy, on verra ce que l'avenir nous réserve !

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?
Ashton : Hm... Bizarrement, Ash est assez fier de ses tatouages. Il entretient une relation compliquée avec eux, mais il les arbore fièrement. En même temps, il arbore aussi assez fièrement ses différences, en terme de vêtements ou de physique. C'est pour ça, d'ailleurs, qu'il finit aussi souvent au commissariat !

Narcisse : L'acrobatie. Indéniablement. Absolument. Toujours.

Question au rôliste

1 - Comment installez-vous une ambiance ?
Faudrait déjà que j’en sois capable. Je comprends la théorie, les bases, mais en pratique, c’est l’horreur. Chaque fois que j’ai essayé de mettre une ambiance spécifique, je trouvais ça lamentable. Principalement parce que je sais, mon point faible est justement les descriptions. Je suis nul pour décrire.
Cependant, je n’ai pas encore totalement abandonné l’idée d’y arriver un jour. Mais honnêtement, si par miracle, j’en crée une, alors c’est le plus souvent involontaire.

Question à sa muse

2 - Est-il / elle allergique à quelque chose ?
J’aimerais dire que non, mais étrangement l’eau bénite et certaines incantations ne me réussissent pas. Elles provoquent dans mon essence démoniaque une réaction des plus désagréables.

3 - De quoi est-il /elle fier(e) ?
D’être toujours vivant et en un seul morceau ! Si vous saviez, même juste le dixième des épreuves que j’ai subies, vous aussi vous seriez fier. Ça résulte presque d’une intervention divine… peut-être que je suis un dieu, tout compte fait ? Nooon, impossible ! Ce sont de grands parleurs, mais de petits faiseurs.
Je suis juste étonnement plus rusé et intelligent que les autres… ou j’ai beaucoup de chance. Allez savoir !

Ah et une autre chose dont je suis fier. Je n’ai jamais été pris par la Curia. Eux, aussi, je commence à croire qu’ils sont de grands parleurs, de petits faiseurs. Mais que voulez-vous quand on est plus malin qu’eux, il ne faut pas non plus en être surpris. Hahaha !