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Neige

Cabaret du Lost Paradise - Forum RPG

Forum RPG fantastique - Au cœur de Paris, durant la fin du XIXe siècle, un cabaret est au centre de toutes les discussions. Lycanthropes, vampires, démons, gorgones… Des employés peu communs pour un public scandaleusement humain.
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 Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ]

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MessageSujet: Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ]   Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ] I_icon_minitimeMer 1 Jan - 12:58

Présentation, Lost ParadiseFan art – Inside Llewyn Davis

llewyn O’Malley

I’m that Feckin’ man !

    Surnom(s): vieux Grincheux, L’homme au chat
    Âge (en apparence) : 30 ans ( beaucoup plus âgé en réalité )
    Sexe : Masculin
    Nationalité : Irlandais
    Orientation sexuelle : j’vais pas faire le difficile hein ?
    Race : Chat de gouttière malheureusement devenu humain
    Métier : Conteur itinérant, guitariste  
    Taille : 1m80
    Poids : 60 kg
    Pourquoi venir au Lost Paradise ? Parce qu’on peut y boire à pas cher et écouter de la musique, même si ça empeste le loup là-bas…
Autre chose ?
Kssss feckin’ pot-de-colle, t’avise pas de me pomper l’air !


You look like…

j’t’en foutrai du beau gosse moi …

Tu te promènes tout heureux dans les rues de Paris, le temps est peut être gris mais cela ne fait rien. Rien, non rien au monde ne pourrai entraver ton égoïste bonne humeur. Tout sauf la contagieuse misère des autres. Et c'est alors qu'un masque de condescendance se dessine sur ton visage, tu passes d'un pas pressé, tu passes sans voir devant ces gens qui font la manche, qui mendient. Aller ,plus que quelques mètres et tu pourras de nouveau profiter de ta petite joie de vivre. C'est alors que tu trébuches sur quelque chose et t'étales sur les pavés.

« MMmmrhf ? kssss feckin' pecnaud qui sait pas marcher ! »

Alors que tu te relèves avec difficultés, tu tournes ton regard vers la source de cette voix. La première chose que tu aperçois c'est un vieux pantalon, couvrant une paire de jambes et avec à l'opposé une vieille paire de chaussures en cuir qui semblaient avoir vécu plus de trois fois leur existence, et dont la semelle semblait avoir été recollée des centaines de fois. Soudain, les  jambes semblent se mouvoir et une étrange masse de couverture se redresse devant toi. Une grande main attrape un pan de tissu et le tire d'un manière plutôt nerveuse. Comme un rideau dévoile une scène, ces couvertures dévoilèrent un visage. Immédiatement, sans savoir pourquoi, tu assimiles ce visage à celui d'un chat de très mauvais poil. C'est un homme qui se tient en face de toi, et un instant tu détails ce visage si singulier. Une masse de cheveux bruns et bouclés, hirsutes et indisciplinés se rangeant sur cette tête dans un joyeux désordre, une paire d'yeux noirs et profonds, bordés de cils noirs et pour finir devinez quoi ? une barbe toute aussi noire, cachant légèrement des joues un peu creuses. Son teint est si pâle que chaque éléments de son visage, tous aussi noirs les uns que les autres, semblent être dessinés au charbon de bois. Son air blasé et passablement énervé rajoute en lui quelque chose d'assez sauvage et farouche. L'homme te toise et soupir

« Qu'est-ce qui a ? Me dit pas que c'est le premier vagabond que tu vois »

L'homme à une voix grave et un timbre étrangement ronronnant tout en gardant quelques sonorités nasillardes mélangées à un accent anglais. Peut-être était-ce un immigré qui n'avait pas eu sa chance en France. Il semble que tu aies froissé cet homme, et tu ne sais pas comment apaiser sa colère, dans le doute tu fouilles tes poches et lui donne quelques pièces. L'homme observe les pièces qu'il a dans la main, et reporte soudain vers toi un regard assassin qui te cloue sur place, ses pupilles, presque invisibles, confondues dans la nuit de ses yeux, semblent s'être rétrécies en deux fentes félines. Et soudain, sans que tu t'y attendes, il te balance ces pièces à la figure et se lève rageusement. «  Dis donc toi le feckin' bourge' ! Cassez-vous toi et ta pseudo-charité à la mords moi l'nœud. Je gagne pas ma vie comme ça moi ! »

Surpris, tu restes sur les fesses pendant que l'homme te toise de toute sa hauteur. Il est plutôt grand et fin, cette impression accentuée par son long trench tout mité et râpé. Après un dernier regard marqué de dédain, l'homme ramasse ses quelques affaires, une guitare et un vieux sac, et s'en va, d'un bon pas dans la ruelle opposée. Un éclair Orangé surgit d'à côté de toi et court en direction de l'homme. C'est un chat roux qui le suit fidèlement et bondit dans ses bras. Tu restes un instant sans voix, intrigué et bouleversé au plus au haut point par cette étrange rencontre. Tu n'as plus envie de reprendre ton chemin maintenant, la curiosité prend le pas sur toi et te pousse à suivre cet étrange personnage. Tu cours dans la ruelle, sur les traces de cet étrange vagabond. Mais comment savoir quel chemin il a pris  ? Au moment où tu t'apprêtes à rebrousser chemin tu remarques un petit amas de gens qui  semble regarder quelque chose avec intérêt . Intrigué, tu t'approches. Au fil de tes pas, une douce musique se faufile dans tes oreilles.
.



Alors que tu arrives enfin vers cette petite réunion, tu reconnais immédiatement ton vagabond. Il joue au centre de cette petite ronde, une douce mélodie, grattant sa guitare de ses grandes mains. Sa voix est douce, une voix qui n'a rien à envier à d'autres plus puissantes, plus aigüe et nasillarde que son timbre  habituel, tu restes à l'écouter pantois. Tu commences à t'émouvoir devant cet homme qui en chantant, laisse tomber son image de rustre, et montre une sensibilité insoupçonnée. Son chat roux, vient se frotter à tes jambes en ronronnant, puis part s'installer dans la house vide de la guitare. Quand enfin sa chanson s'arrête, tu te sens touché, étrangement plus mélancolique mais heureux. Tu mets ta main dans ta poche et sens le métal froid des pièces contre la pulpe de tes doigts. Sans trop savoir pourquoi tu les sors et les déposes dans un vieux chapeau prévu à cet effet. L'homme te regarde et sourit, cette fois dans son regard, tu ne vois pas de la haine, mais un remerciement.


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You are…

qu'est ce t'as feckin' pot-de-colle ?

La nuit est tombée, et tu repars chez toi le cœur léger. Sur le chemin, tu repenses à ta journée et à l'homme que tu as rencontré... Peu après son petit numéro, tu étais resté avec lui, sans savoir pourquoi. Mais il semblerait que tu ais sentis chez cet homme un besoin de compagnie. Tu avais donc fait plus ample connaissance avec ce Llewyn. Oh cela n'avait pas été chose facile. Jamais de ta vie, tu n'avais vu d'homme aussi buté et grognon. Un vrai Grincheux trouvant à médire sur tout et n'importe quoi en rajoutant fuck a toutes ses phrases, fuckin' ceci , fuckin' cela. Ou plutôt quelque chose ressemblant à « Feckin' » à cause de son fort accent irlandais. Mais au fond, était-il possible d'être aussi hermétique à un peu de joie de vivre ? pensais-tu en caressant distraitement le chat (celui-ci n'avait pas de nom bien arrêté, l'homme l'appelait chaque fois différemment ) alors que tu étais assis sur le trottoir à côté de Llewyn  qui se roulait une cigarette tout en médisant encore à propos de quelque chose. Tu hochais la tête distraitement, mais tu étais perdu dans tes pensées, c'est la voix de l'homme qui te réveilla.


«  Tu m'écoutes pas, n'est-ce pas, feckin' pot-de-colle ? »


Son ton n'était absolument pas réprobateur et lorsque tu levas timidement la tête pour lui faire face, tu aperçus sur son visage un sourire amusé. Il continua en te disant que tu n'avais peut-être pas envie d'écouter un vieux grincheux te raconter sa vie, tu rétorquas, lui disant qu'il n'était pas si vieux, que tu lui donnais à peine la trentaine. Tu fus surpris de l'entendre rire, d'un rire sonore et sincère, alors tu ris avec lui. Ce fut un déclic et votre conversation en devint plus plaisante. En fait, il suffisait d'apprivoiser l'homme pour le rendre moins sauvage. Tu découvris un type franc et honnête, au caractère plus complexe qu'il n'y paraissait, et, à la spontanéité très poussée, ce qui est une qualité mais bien souvent un défaut. Quelques heures plus tard un petit accrochage te conforta dans une idée : tu ne trouverais aucun intérêt à l'énerver.

Pendant qu'il jouait distraitement de la guitare, un homme dans la petite foule de spectateur, n'arrêtait pas de lui lancer des piques idiotes. Llewyn ne s'en formalisait pas, et continuait de jouer avec, accroché au visage, cet air blasé qui ne le quittait jamais lançant de temps en temps à l'imbécile un regard désintéressé. La chanson fut finie, la foule se dispersa, mais l'homme resta. Et avec un peu de recul, tu te mis à penser qu'il aurait mieux fait de partir. L'homme s'avança et dit :


« tss, les clodos, ça vous casse les oreilles dans les rues, plus que ça ne passe de temps à chercher du travail, vous n'êtes pas dans la misère pour rien, c'est à ça que ça sert l'éducation. »


Dans une calme froideur, Llewyn écrasa sa cigarette puis se leva, faisant face à l'homme. Et puis d'un coup, tranchant avec son air blasé, il attrapa brusquement l'homme par le col, le souleva de terre, et colla son visage au sien . Il était en colère et feulait presque comme un chat sauvage.


«  Tu crois que t'en sais quelque chose feckin' bastard ? Tu crois que les gens choisissent de vivre dans la misère ? ça les amuse surement de crever de faim dans la rue, pendant que toi et ton p'ti cul de bourge' sont posé sur une chaise devant une table. Education de mes deux, c'est ça que t'apprend dans ton école ? A dénigrer tes semblables ?"


Llewyn cracha par terre, rageusement pendant que l'autre c'était mis à trembler comme une feuille. Le brun le regarda un instant puis le lâcha violement.



« T'as de la chance aujourd'hui je suis avec un ami... allez, casse-toi ! »


L'autre s'en alla sans se faire prier. Llewyn revint s'assoir à côté de toi, renfrogné, tu lui fis gentiment remarquer qu'il avait plutôt le sang chaud. Celui-ci se détendit et t'expliqua qu'il ne supportait pas les gens de ce type, et que malheureusement, son caractère lui avait souvent rapporté des ennuis. Pour appuyer ses propos, il défait les trois premiers boutons de sa chemise et montre quelques cicatrices, souvenir de quelquesunes de ses mésaventures. Tu le soupçonnes d'en avoir beaucoup d'autres, tu en avais déjà remarqué sur son front et ses poignets, séquelles de sa vie de voyageur. C'était un nomade, un homme qui avait beaucoup bougé. Lorsqu'il te parla de ses voyages, de son ton de conteur, tu vis briller dans ses yeux noirs l'étincelle de l'émerveillement enfantin, et tu te dis qu'au fond, son habituel air blasé n'était pas celui d'un homme dédaigneux et froid, mais celui d'un homme qui avait côtoyé la souffrance de près.


Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ] Tumblr10


Once upon a time…

Happy end de mes deux, les fées c'est toutes des feckin' salopes. ;

 Depuis plus d'une semaine tu avais pris l'habitude de revenir voir Llewyn, tu avais fini par t'attacher à lui et à tisser un semblant de relation. Tu avais même découvert, qu'il était plutôt quelqu'un d'inquiet et paternel avec les gens qu'il aimait bien. Pour ne pas l'inquiéter plus que de raison, tu hâtais vers la ruelle où souvent, vous vous retrouviez. Quelle ne fut pas ta surprise de le voir entouré de plusieurs gamins l'écoutant sagement. Tu t'approchas doucement, mais n'osas pas déranger. C'est alors que le brun te remarqua et te héla de façon tonitruante, chose dont il avait le secret.


« Hoy, l'ami ! Viens donc t'assoir, j'étais sur le point de raconter une histoire à cette bande de feckin' mouflets ! »


Une histoire ? Tu allas t'assoir avec hâte car tu savais que ton ami avait un vrai talent pour les raconter. Alors, il conta.
" Mon histoire prend place il y a longtemps, il y a une centaines d'année peut être moins peut être plus, dans les terres vertes et sauvages de l'Irlande, haut lieu de magie, abritant en son sein créatures magiques en tout genre. A cette époque, dans ces contrés reculées, les gens côtoyaient la magie. Il y avait perdu au milieu de verts près et vertes plaines, un petit village semblable à beaucoup d'autre. Un doux est quiet petit village, dont la seule particularité était d'avoir un sorcier. Les humains en ces temps jadis avaient conscience de la magie, mais ne la voyaient pas. Depuis toujours les créatures se cachaient de leurs yeux, seul certains connaissaient leur existence mais ils étaient rares, de tout temps seuls les animaux avaient su reconnaitre les créatures magiques et les âmes des défunts usant de leur mystique 6eme sens. Ce sorcier était bien vieux, oh ce n'était pas un mauvais bougre, loin du cliché du méchant sorcier qui vous transforme en grenouille, il était prêt à aider les habitants contre rémunération. C'est ainsi qu'il gagnait sa vie : expulsant un lutin trop parasitant, démasquant un changeling évitant un massacre inutile d'enfant. Tous dans le village se sentaient en sécurité grâce à lui.

L'homme était certes seul, mais ne trouvait pas satisfaction en la compagnie des humains. Pour passer son temps, il s'évertuait à créer mille potions et sortilèges plus farfelus les uns que les autres. Son Œuvre était un philtre qu'il avait mis des années à préparer, le philtre d'humanité. Comme vous l'avez surement compris, ce philtre était si puissant qu'il avait le pouvoir de rendre toute chose vivante homme. Mais voilà... Il n'avait rien à rendre humain...
Pendant que le sorcier se morfondait dans son coin, une toute autre histoire se déroulait à côté. Un matou mité, noir comme une boule de suie se trainait dans les rues. Il avait froid, il avait faim et il était tout seul. Il arrivait en temps normal à se débrouiller, à voler un morceau par-là, à faire les yeux doux par-ci pour manger. Mais la famine faisait rage partout et le pauvre matou n'avait plus que la peau sur les os. Mais tout n'était peut-être pas perdu, il aperçut une fenêtre ouverte et d'un bond agile sauta sur le rebord. Il passa sa tête par l'encadrement et vit un vieil homme se morfondre, peut être que celui-ci voudrait bien lui donner un petit quelque chose ? Imprudent le jeune chat sauta dans la maison et vint se frotter contre les jambes du vieux. Vous l'avez deviné, ce n'était autre que le vieux sorcier. Celui-ci vit le chat comme un don du ciel, et lui donna son philtre à boire, croisant les doigts, priant les dieux pour que l'œuvre de sa vie fonctionne. POUF ! Un épais nuage entoura l'endroit où se trouvait le chat. Le sorcier espèra un instant que le chat ne soit pas vaporisé dans cette épaisse fumée noire, mais il soupira de soulagement quand il entendit tousser à travers l'opacité de ce rideau. Un jeune homme, nu comme un vers, était assis sur son planché.
Ainsi commença l'histoire du chat qui fut transformé en homme. Oh ça ne fut pas facile pour lui au début, marcher sur deux pattes, se servir de ces mains pleines de doigts glabres et sans coussinets, ce corps plus grand et la magnifique découverte des mains et de toutes leurs utilités ! Mais cette transformation n'était pas totalement parfaite, car le bougre n'avait pas tout d'un humain, loin de là. Il lui restait quelques choses de sa condition de chat : la nyctalopie, les pupilles en fente, l'agilité, le flair, le ronronnement et ce 6eme sens si particulier aux animaux. Il arrivait même que parfois l'homme reprenne sa forme originelle, sous le coup d'un choc ou d'une grosse surprise, mais ceci de façon temporaire. Ce n'était pas chose facile pour le chat que d'être homme, mais il s'en accommoda. Chat ou homme ? Reste la question...
Mais non loin du village, caché dans les landes, à un endroit où même les moutons les plus gourmands n’osaient s’aventurer vivait un autre Sorcier. Un mauvais sorcier. Et bien sûr deux sorciers si opposés et si proches l’un de l’autre se font la guerre. C’est dans la nature humaine après tout. C’était d’ailleurs leur rituel, un combat qui durait depuis des années, bien avant que le chat de fusse transformé.
Alors, en bon fils adoptif qu’il était, il suivait le vieux sorcier dans ses petites croisades à l’autre bout de la lande. Il s’asseyait sur un muret non loin du spectacle et appréciait le divertissement. C’est là qu’il fit la connaissance de l’autre. L’autre était un chat, mais un chat étrange. Il sentait la magie noire même s’il avait l’air fainéant et banal. Un chat quoi. Il s’approcha de lui, surement intrigué par sa personne : avouez qu’un homme qui sent le chat il y a de quoi vous étonner. Amusé il voulut tendre la main pour saluer le compère, mais celui-ci était fort farouche et partit en feulant sous le rire de l’homme chat, amusé de la réaction.

Le premier Hiver du chat fut rigoureux, et pourtant plus doux que tout ceux qu’il avait eu à affronter de sa condition de chat : il avait maintenant un foyer où brûlait l’âtre chaud de la cheminée et un père, professeur, un puit de science pour passer l’hiver.
Alors qu’il sortait chercher du bois pour le feu, il sentit une drôle d’odeur près de lui. Il tourna la tête buches dans les bras et vit le chaton démoniaque du sorcier voisin, celui dont les yeux brulaient, batifoler dans la neige. Il le regarda plonger, replonger, attraper les flocons comme un petit fou. C’est vrai que pour les chats qui rencontraient pour la première fois la neige elle résultait d'un mystère : on pouvait parfois marcher dessus comme sur un solide, quand pourtant elle nous mouillait comme un liquide.
Puis, il sentit ses crocs s’aiguiser, ses jambes de le démanger lui criant d’aller rejoindre ce camarade de jeux. Après tout, il était encore tout jeune et l’appel du jeu pour un chat était irrésistible. Alors il le rejoignit, laissant son fardeau tomber à terre. Depuis, chaque combat dans la lande voisine n’était plus qu’une excuse au spectacle, c’était un moyen de revoir cet ami félin et d’observer avec lui les bizarreries des hommes.

Et comme un cadeau du destin, ce jour qu’il garda en mémoire toute sa vie arriva.
Il faisait encore frais dehors, le sorcier était parti se battre, mais cette fois ci le chat n’avait pas été autorisé à l’accompagner. Tout ça parce qu’il avait joué à l’apprenti sorcier avec ses philtre et qu’il avait transformé l’affreux chien de sa voisine en affreux chien jaune canard, qui jappait comme un canard. Lui avait trouvé ça très drôle, pas les voisins, ni le sorcier. Il était donc condamné à rester ici pour préparer le repas du soir, pelant des pommes de terre avec peu d’entrain alors que dans l’âtre mijotait une marmite de cuivre.
Entendant la porte de la masure s’ouvrir et bon nombre d’odeurs s’infiltrer dans la bâtisse il tendit l’oreille et alla vite accueillir le sorcier. Et quel ne fut pas sa joie de voir que celui-ci n’était pas seul mais lui ramenant un nouveau frère : Le chat du sorcier voisin.
Echangeant quelques paroles joyeuses avec son père l’homme chat perdit vite de sa verve. Il s’avérait que le sorcier voulait aussi transformer ce nouveau chat en homme. Il grogna, pesta beaucoup plus tendu à présent. Même s’il était heureux de sa vie maintenant, il n’aimait pas sa condition d’homme. Il avait mis du temps avant d’accepter le geste égoïste du sorcier, qui l’avait transformé dans le seul but de contraindre sa solitude, il avait mis du temps à comprendre que rien ne serait plus comme avant pour lui. Il était cruel d’arracher un être à sa vrai nature, il ne voulait pas que l’autre chat se retrouve face au même dilemme. Mais le sorcier invoqua sa nature démoniaque, le fait qu’il le  fallait pour qu’il soit soustrait aux enfer, jouant de son autorité et de quelques arguments il réussit à faire entendre raison à son premier fils. Celui-ci attrapa la boule de poil entre ses bras, le regard un peu triste et l’emmena dans le laboratoire du sorcier en compagnie de celui-ci. L’expérience se déroula avec succès, le sorcier ayant eu le temps d’améliorer son philtre grâce à ses observations de «  la première expérience », et peut être la nature magique du second chat aidant aussi.

Le second chat, nommé Félicien en raison de ses origines Bretonnes était légèrement plus jeune que lui, aussi il le couva comme un grand frère, voir comme une mère poule. Dès ce jour ils devinrent inséparable, il lui apprit tout ce qu’il avait eu le temps d’apprendre auprès du sorcier, tout ce qu’il avait découvert sur les humains, le chat des enfers en savaient encore moins à ce sujet, les enfers ne devaient pas être trop renseignés sur la façon de vivre des mortels. Et puis, c’est surtout un véritable complice pour ses plans les plus fou qu’il rencontra en la personne de son frère, il nous faudrait une nuit entière pour narrer leurs exploits, leurs rencontre et amusement avec les créatures environnante, leurs frasques et leurs bêtises les plus inventives : quelle mauvaise idée d’aller rouler un Leprechaun ou d’embêter les keplies…
Si l’homme-chat était protecteur et espiègle avec un caractère assez insupportable il fut surpris de voir que son frère , bien que créature de l’enfer, était insouciant et amoureux de toutes les belles choses de la vie, au point de lui faire parfoit les plus grosses frayeurs de sa vie se mettant seul dans des situations impossibles ouù le grand frère devait venir le dépêtrer, à croire que ça l’amusait. Mais ce n’était pas une excuse valable pour relâcher leur garde. Leur nature était, et devait rester un secret pour tous.

Des années passèrent et le vieux sorcier n'en finissait pas de vieillir, il devint vieux, vieux, tellement vieux, qu'il mourut ! Et aussi étrange que cela puisse paraitre les chats n'avaient presque pas pris une ride ! Comment cela fut-il possible ? Nul ne le sais, peut être le philtre avait-il inversé chez eux leur horloge interne ? La dernière personne en mesure de nous le dire était le sorcier, paix à son âme. Ainsi, les chats se retrouvèrent seul. Mais leur malheur ne s'arrêta pas là. Au fil des années la misère prenait de plus en plus le pas sur la vallée, changeant les paysages et les gens. Cette période de paix avec la magie environnante c'était transformée en peur fanatique, chasses aux sorcières, massacres d'enfants le peuple Irlandais s’empêtrant dans une guerre de religion que les chats n’étaient pas en mesure de comprendre... Les gens, eux même s'en trouvèrent changé, ils devinrent méfiants, soupçonneux, haineux les uns envers les autres ... Et cela se retourna contre eux. En 1749 les chosent devinrent trop compliquées, les forces armées avançant dans le pays. Près de Cent ans avaient passé entre temps et ils furent obligés de fuir. Que diraient les gens s’ils apprenaient que deux hommes vivaient au même endroit depuis plus de cents ans ? Ils crieraient à la magie noire et se serait leur fin assurée sur un beau buché. Ou pire, l’homme qui a peur se révèle très inventif en matière de torture.
Leur seule chance de fuite était de quitter le pays : quitter les landes, rejoindre la côte et de là prendre un bateau pour la France. A partir de là ils aviseraient.
Partir. La chose était dure. Partir voulait dire faire ses adieux, faire le deuil de toute une enfance et d’une vie qui n’était plus qu’un lointain souvenir. Il le fallait pourtant. Quitter et laisser derrière eux l’œuvre de leur père adoptif qui avait passé sa vie a étudier le monde des créatures de légende, la magie, il fallait pourtant partir vers le sud et laisser aux mains des fanatiques ces fantastiques ouvrages qui ne tarderaient pas à être brulés.
Si le chat n’avait jamais vraiment apprécié les humains, ceux-ci le dégouttaient de plus en plus.

Vivant de broutilles dans leur périple, dormant dans des taudis ou à la belle étoiles ils rencontraient sur leur chemins de nombreux compagnons de route d’autre créatures prenaient la fuite. Ce pays qui jadis était si prospère, si riche en magie et en mythe se vidait. Il était gangréné par les dogmes et leur pensée rectiligne qui l’amputaient de son essence.

Alors qu’ils faisaient une halte dans une ville pour acheter des vivre pour continuer leur périple ils se cachèrent dans les ruines d’une maison. Le brun intima à son petit frère de rester caché ici, qu’il ne serait pas long, il allait juste au marché avec quelques refugier qu’ils avaient rencontré à cet endroit, une femme et son fils, un ancien marchand et un vieux luthier. Mais le sort en décida autrement…
Il se trouva face à une foule bouillonnante d'une rage mystique, un détachement des Côtes de fer, ceux qu’ils fuyaient jusqu’à maintenant. Ils mirent à feu et à sang la ville, pillant, tuant sans remords. Utilisant leurs armes sur leurs semblables et les lynchant de pierre ou de torches. Le matou avait été touché à plusieurs endroits, mais plus que le filet d'eau rougeoyante qui lui coulait sur le visage, il ne comprenait pas pourquoi l’humain avait toujours peur du loup, du mystique, de ce qu’il ne comprenait pas. Au final la plus redoutable créature en ce monde restait bien l’humain lui-même. Il était donc bien affreux : apeuré, il devenait plus féroce qu'un loup et entrainait toute sa meute avec lui.
Prit d’un élan de panique et n’ayant cure de ses blessures il tenta tant bien que mal de rejoindre l’endroit où il avait laissé son frère. Rien. Les ruines étaient fumantes et son odeur n’était plus là. Partout il chercha quitte à s’approcher trop près des tueurs, courant comme un fou hurlant le nom de son frère. Mais ce n’était qu’un cri de plus au milieux de ceux de milliers de personnes affolées. Tant et tant de personnes qui couraient en sens inverse, un flot, une marée, une vague déferlante. Il reçut un coup, impossible de savoir d’où tant la foule était noire de monde, mais celui-ci fini de l’achever et il sombra.

Il se réveilla beaucoup plus tard dans une caravane qui emmenait quelques refugier vers les ports. Il reconnut le vieux luthier qu’il avait rencontré plutôt, ce fut celui-ci qui lui annonça que tous leurs compagnons, dont son frère, étaient mort. Il est dur de conter dans une histoire toute la tristesse que le chat ressenti en apprenant la mort de son frère bien aimé. Il n’est pas toujours aisé de mettre des mots sur les chose quand celles-ci dépassent l’entendement. Et puis après la douleur, il y eu la haine, viscérale, le dégout profond pour toute l’humanité qui dans sa bêtise lui avait pris son frère.
A partir de ce jour, il n’en devint que plus aigri, beaucoup moins proche des humains perdant totalement confiance en eux, allant jusqu’à s’enfermer dans la solitude pendant des centaines d’années.

Il vagabonda, voyagea énormément, sa durée de vie exacerbée lui permit de faire tout ce qu'une vie n'aurait pas pu lui permettre. Ces voyages, ces différents métiers, ces différentes vies, ces enmerdes plus dangereuses que celle qu’il avait eu étant jeune… Toutes ces rencontres qu’il fit lui permirent de regagner un peu de foi en l’espèce humaine, de se créer une nouvelle vie histoire d’oublier l’autre, trop douloureuse à son gout. Si parfois à cause de son grand âge la mémoire lui faisait défaut, jamais il n’arrivait à oublier vraiment. Mais il eut beau traverser moult et moult pays, l'appel de la terre natale se faisait chaque fois plus fort. Il arrive un moment dans l'existence ou tout homme regrette la terre qui l'a vu naitre. Le chat s'en retourna donc au pays, après toutes ces années de voyage il foula à nouveau vert prés et vertes plaines. Mais il y avait longtemps déjà que la vie ici, n'était plus. Désert et abandon avaient pris le pas sur la vie qui jadis colorait ces murs. Le chat n'avait plus rien, plus de chez lui, même plus un semblant de connaissance. Les gens avaient trop changés, rendus haineux par les centaines d’années écoulées, ces années où on leur avait pris leur terre, leurs croyances… Il eut d’ailleurs un diffèrent dans un village, jadis son village, qui le marqua à vie, sur toute la longueur de ses bras. Il n’y retourna jamais après, la terre lui manquait certes, mais peut-être ne voulait-elle plus de lui, créature abjecte qu’il était. Qui était-il d’ailleurs ? lui qui était seul… tellement seul ? Aah, s'il n'avait jamais été humain, s'il était resté chat, il n'aurait cure de tous ces problèmes existentiels, il serait déjà mort depuis longtemps bien heureux. Et maintenant ? Il était condamné à se trainer, à vivre sa vie, sa loooongue, si longue vie, trop lâche qu'il était pour y mettre fin maintenant. Alors, le chat repartit en voyage... Toujours seul et se contentant d’essayer de se distraire de l’ennuie que lui procurait sa longue existence vouée à la solitude. Voilà, ici se termine mon histoire. »


Et les enfants le regardèrent indignés, quelle triste histoire, dit l'un d'eux, pourquoi ton histoire ne finit pas bien ? Pourquoi une bonne fée ou quelque chose ne vient pas l'aider ? Llewyn sourit tristement et tapota la tête du gamin avec ses grandes mains.


«  Parce que les fées, c'est toutes des feckin' salopes. Elles ne viendront jamais t'aider, alors ne passe pas ton temps à les attendre, toi seul peux te sortir de ta merde, avec l'aide des gens qui comptent pour toi »


Les enfants s'en allèrent, mais au fond de toi le doute persista ; Tu pensas, tu réfléchis et te rendis compte que ce n'était pas une simple histoire. Et alors tu sus, et lui sut que tu savais. Il te regarda tristement et dit en se levant.


« C'est tout ce que tu sauras l'ami... »


Il ramassa ces affaires, et d'un pas chancelant, toujours suivi de son chat, il s'en alla.
Tu restas un instant, jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse. Tu restas te demandant qui pouvait bien être cet homme que tu croyais connaitre...




Sous le masque

The who I am

    Surnom(s) : Güliette, Ziggy, the leprechauns’ queen !
    Âge : 16 ans
    Expérience en RP : ça va bientôt faire un aaaaaans !
    Avis/Suggestions/Questions concernant le forum : euh … 42 ?
    Comment avez vous connu le forum ? Ceci est un D.C mouhhahaha, bon, je sais que j’ai pleins de Rp à faire, mais je suis inspirée pour lui, et ça me bloque dans mes autres rp, Du coup je commence à le poster, pour m’obliger à le finir :3 Effectivement, il est tout de suite moins sympathique que Ziggy huhuhu.
    Avez vous lu le règlement ? {Validé !}


Dernière édition par Llewyn O'Malley le Ven 31 Oct - 14:26, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ]   Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ] I_icon_minitimeMer 1 Jan - 14:03

Rebienvenu 8D (ouais je sais dire bienvenu sert à rien mais j'avais envie huhu)
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MessageSujet: Re: Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ]   Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ] I_icon_minitimeMer 1 Jan - 16:32

Wouah, rien à voir avec le cute Ziggy ! %ais j'ai hâte de voir ça :p
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nom nom nom comme c'est bien décrit tout ça ^^
ça promet pour le reste de la fiche  :love2: 

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merci les gars !
c'est sympa d'accueillir si gentiment mon vieux grincheux !
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MessageSujet: Re: Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ]   Llewyn O'Malley - I'm not a feckin' aristocat ! [ terminadido o/ enfin , tout est relatif ] I_icon_minitimeVen 3 Jan - 0:36

desolé pour le feckin' double post... juste pour dire que y'a du nouveau o/
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*se remet toujours pas des fées feckin salopes xD*

miam miam miam qu'elle est chouette cette fiche ! =3
je sais que c'est pas l'endroit, mais moi je veux que Fred soit pote avec ton caaaat ^____^


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ahaha merci beaucoup **
bon je vais m'atteler a une relecture parce qu'il reste pas mal de fautes !
Valentine Lefevre
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Eh bien eh bien, en voilà une drôle d'histoire ! En tu as raison, un lien s'impose entre ton chat et mon Loki huhu... je sens que ça va etre drole.

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Of course compadres !
Je suis sûre que ça lui ferai plaisir au matou mité ( même s'il risque de pas de le montrer tout de suite ahaha )
C'est sur qu'un lien avec loki pourrait mener à quelque chose de drôle !
Edward White
l Dans l'ombre du loup l BIG BOSS l
Edward White

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*Arrive un peu à la bourre*
Et me voilà !!

Désolé d'avoir mis un peu de temps à m'occuper de toi ! Je m'en vais immédiatement rattraper mon retard.

Commençons par le commencement, la description physique /o/
J'aime beaucoup, je trouve que c'est bien amené et bien décrit et le fait que tu utilises la deuxième personne du singulier permet d'accrocher rapidement à l'histoire. J'adore l'image du dessin au fusain que tu as utilisé, ça correspond tout à fait à Llewyn !
Petit bémol selon moi, j'ai trouvé quelques répétitions qui cassent un peu le rythme du récit. C'est dommage, mais ce n'est pas bien méchant. Ça concerne surtout le deuxième paragraphe de la narration avec le verbe « sembler » ou le mot couverture ;P
En tout cas, c'est un début prometteur !
La partie sur le mentale est tout aussi agréable à lire.
On partage sans mal les pensées du narrateur qui s'attache à ce vagabond au franc parlé, tout comme ce fut le cas pour moi en te lisant. Ça donne vraiment envie de creuser d'avantage, d'apprendre à la connaître et de savoir ce qui l'a mis dans un état pareil..

On en arrive donc à l'histoire.
Ça m'a vraiment plu, c'est toujours aussi bien écrit et il y a quelques passages où l'on a vraiment l'impression d'entendre la voix de Llewyn.
Je trouve l'idée du chat transformé contre son grès touchante et ça permet de donner un autre point de vue sur l'homme en général ; pas tout à fait humain, ni tout à fait légendaire.
Tu laisses un peu de suspense et de mystère sur ses voyages, son arrivée à Paris, et au final difficile de ne pas vouloir essayer de se lier d'amitié avec ce grand bonhomme à la guitare et au chat.
Bref, c'est encore un personnage très réussi et tout en poésie, bravo à toi !

Ensuite… Excepté les petites répétitions qu'on trouve ça et là (majoritairement dans la description physique), je ne te cache pas qu'il reste encore des fautes, dont quelques unes d'inattention ! ;P
Je n'ai pas tout relevé, mais en voici certaines :

Llewyn a écrit:
Description physique :
    […] qui semblaient avoir vécu plus de trois fois (?) leur existence […]
    […] bordés de cils tout aussi noirs […]
    […] chaques éléments de son visage […]
    […] quel chemin il a pris  ?


Histoire :
    […] les créatures magiques set et (?) les âmes des défunts […]
    Les gens, eux même s'en trouvèrent changés […]
    Ils lui jetèrent des pierres, et toutes autres choses […]
    Il ramassa ses affaires […]


Je te laisse relire et corriger celle que tu retrouveras à l'occasion.
Mais dans tous les cas je t'annonce avec plaisir que tu es VALIDÉ !

Je vais t'ajouter au groupe des civils, et même si tu connais déjà tout, je te laisse suivre les indications suivantes pour achever ton inscription o/


Bienvenue au
Lost Paradise

Il faut maintenant…
Faire ta demande de rang ici.
Pour les relations, c'est par .
Pour une demande de RP c'est ici.
Pour suivre l'intrigue c'est !

Et bon RP parmi nous !
https://lostparadise.forumgratuit.org
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